Besoin de vacances ? TOKYO ?

Tokyo est la capitale du Japon et la métropole la plus peuplée du monde.

Elle se situe dans la baie de Tokyo, dans la région du Kanto, sur l’île de Honshu, la plus grande du Japon.

Le climat est doux au printemps, chaud, humide et ponctué de typhons en été.

En automne, le climat est frais et en hiver, froid et sec.

Il neige rarement, mais il est possible d’apercevoir quelques flocons les premiers mois de l’année.

Tokyo compte deux aéroports internationaux : Haneda et Narita.

Elle compte 14.264.798 habitants pour 2.190,93 km².

Les incontournables à visiter à Tokyo sont :

  1. Le Temple Sensoji

Senso-ji est le plus vieux temple bouddhiste de Tokyo, situé dans le quartier d’Asakusa au bord de la rivière Sumida.

Érigé en l’honneur de la déesse Kannon, il est aujourd’hui l’un des lieux touristiques préférés de la capitale pour ses couleurs flamboyantes et l’atmosphère populaire et commerçante qui y règne.

Cette longue allée marchande, appelée Nakamise-dori, joint la majestueuse porte au bâtiment principal du temple.

Ouverts en continu jusqu’en soirée, près de 90 magasins défilent sur 250 mètres.

Entre stands de nourriture et boutiques de souvenirs populaires, les visiteurs ont l’embarras du choix.

Les boutiques ont été reconstruites pour prendre leur apparence actuelle à l’ouverture le 26 décembre 1885.

Quant aux pagodes et aux bâtiments du Senso-ji, il faut reconnaître la superbe reconstruction post Seconde Guerre mondiale, ainsi que l’entretien et l’éclairage qui, s’ils sonnent peu traditionnels, ont le mérite d’offrir une vue magnifique.

La lanterne de la grande porte d’ailleurs, qui pèse 700 kilos, est changée tous les 10 ans par l’entreprise Kyotoïte Takahashi Chochin, en service depuis 1730.

Toutefois, son côté clinquant et très commerçant lui confère à certains égards un caractère peu authentique.

Car il y a également cette étonnante proposition de jinrikisha, les pousse-pousse pour lesquels il faut parfois compter jusqu’à 9.000¥ (+/- 55,31€) la demi-heure !

L’adresse est : 2 Chome-3-1 Asakusa, Taito City, Tokyo 111-0032, Japon.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

2. La Tour

Imaginée par l’architecte Tachu Naito (1886 – 1970) et achevée à l’automne 1958, la tour de Tokyo s’inspire évidemment de la Tour Eiffel, à ceci près qu’elle la dépasse d’une bonne douzaine de mètres.

Du haut de ses 333 mètres, elle se place comme l’une des plus hautes tours de métal au monde.

Elle s’avère, en revanche, bien plus légère puisqu’elle affiche quatre mille tonnes sur la balance contre plus de dix pour sa consœur parisienne.

Il semblerait que l’inspiration de cette structure permette une meilleure résistance aux séismes.

On reconnaît la belle à sa robe rouge caractéristique, striée de bandes blanches.

De nuit, les illuminations la mettent superbement en valeur.

Au pied (80 mètres de côté, tout de même) un centre commercial baptisé « Foot Town » accueille les visiteurs, ainsi que de nombreux restaurants.

Depuis avril 2022, Red Tokyo Tower est le nouvel espace de loisirs dédié à l’eSport et au jeu électronique sous toutes ses formes qui a pris place au sein de Foot Town.

Il accueille notamment des compétitions de simulation de courses automobiles, une salle de concerts à imagerie virtuelle, des espaces de gaming et de jeux de société, le tout installé dans des décors futuristes.

La Tokyo Tower possède deux observatoires :

  • Le premier intitulé « Main Deck » à 145 mètres du sol, rénové de mi-2017 à septembre 2019, est d’ailleurs accessible aux plus courageux par un escalier. On y trouve un plancher vitré ainsi que, pour la petite anecdote, le sanctuaire shinto le plus élevé de la préfecture de Tokyo.
  • À 250 mètres se situe l’observatoire spécial, rénové pendant près de deux ans et renommé « Top Deck » à sa réouverture le 3 février 2018, situé juste au-dessous de la haute antenne. De là-haut, le mont Fuji s’aperçoit bien sûr par temps clair.

L’adresse est : 4-chōme-2-8 Shibakōen, Minato City, Tokyo 105-0011, Japon.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 4 ans, 1.400 ¥ (+/- 8,58 €) pour les 4 – 6 ans, 2.000 ¥ (+/- 12,25 €) pour les 7-11 ans, 2.800 ¥ (+/- 17,15 €) pour les 12 – 18 ans et 3.000 ¥ (+/- 18,38 €) à partir de 19 ans.

3. Shinjuku Gyoen National Garden

Avec ses 58 hectares, le Shinjuku Gyoen est l’un des plus grands parcs de Tokyo avec les jardins du Palais Impérial et Yoyogi.

Situé à quelques centaines de mètres du cœur électrique de Shinjuku, il s’étend jusqu’à Sendagaya.

Aménagé sur des terres du clan féodal Naito, devenu notamment jardin botanique puis jardin impérial à la fin du XIXème siècle, il adopte sa configuration actuelle en 1906 et ouvre au public à partir de 1949.

Contenant plus de 20.000 arbres, le parc est notamment célèbre pour ses 1.500 cerisiers qui se déclinent en trois sortes de sakura pour une floraison échelonnée dès la fin de l’hiver avec les kan-zakura.

Au même moment, les pruniers japonais préparent également l’arrivée du printemps, permettant aux visiteurs de début mars d’apprécier un spectacle parfois confondu avec ohanami.

Les autres saisons ne sont pas en reste, avec les hortensias en été, les momiji  et chrysanthèmes en automne et autres jonquilles et indigo en hiver.

L’adresse est : 11 Naitomachi, Shinjuku City, Tokyo 160-0014, Japon.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 15 ans, 500 ¥ (+/- 3,07€) pour les 16 – 64 ans et 250 ¥ (+/- 1,54€) à partir de 65 ans.

4. Le Musée national

Le Musée national de Tokyo est un complexe regroupant plusieurs bâtiments d’exposition, situé à Ueno dans l’arrondissement de Taito, au nord-est de la capitale japonaise.

Inauguré en 1872, il s’agit du plus ancien Musée national de l’archipel. C’est aussi le lieu où l’on peut admirer le plus grand nombre de Trésors nationaux et Biens culturels importants du Japon.

Les différentes collections sont réparties dans cinq pavillons, eux-mêmes intégrés dans un jardin japonais parsemé de quelques maisons de thé à l’architecture traditionnelle.

  • Honkan : Bâtiment principal et le plus ancien du complexe inauguré en 1938, il est classé Bien culturel important en 2001. Il abrite la plus grande galerie du Musée dédiée au Japon et à son raffinement artistique de l’Antiquité à l’époque d’Edo au XIXe siècle. La richesse de la collection tient plutôt dans la diversité des œuvres exposées (kimono, porcelaine, armure, sabre, calligraphie, estampe, etc.) que dans la quantité. L’espace intérieur est vaste, avec une circulation fluide. Un fort intérêt est placé dans la contemplation : peu d’œuvres dans une même salle et de nombreux sièges invitent les visiteurs à devenir spectateurs.
  • Heiseikan : Autre espace consacré à l’art japonais, il s’agit en ce lieu d’une approche archéologique avec une salle qui présente des objets et des poteries datant des époques préhistoriques de Jomon et Yayoi, ainsi que des premières ères historiques de Kofun et Asuka entre autres.
  • Galerie des trésors du Horyu-ji : Rénové en 2016, ce pavillon moderne accueille un patrimoine historique et culturel de premier ordre. Plus de 300 trésors de l’Antiquité, offerts par le temple bouddhique Horyu-ji de Nara à la famille impériale, s’exhibent pour le plus grand bonheur des amateurs d’art.
  • Tokoyan : Cette galerie de l’Asie expose de façon permanente des œuvres artistiques et pièces d’artisanat qui proviennent de la Chine, de la Corée, d’Asie centrale jusqu’aux frontières de l’Ouest.
  • Hyokeikan : Reconnaissable par son dôme vert, ce dernier édifice à l’architecture occidentale est également désigné comme Bien culturel important. Il ne se visite pas en dehors de manifestations spéciales.

L’adresse est : 13-9 Uenokoen, Taito City, Tokyo 110-8712, Japon.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans, 1.000 ¥ (+/- 6,11€) pour les 19 – 69 ans et gratuit pour les 70 ans et +.

5. Le Meiji-jingū

Il s’agit en réalité d’un immense complexe shintoïste, d’abord via la balade dans le jardin impérial qui y mène (Meiji Jingû Gyôen), après le passage sous les 2 premiers grands Torii.

Puis la visite se poursuit à travers cette forêt de cent mille arbres, jusqu’à l’enceinte intérieure qui héberge plusieurs mariages traditionnels chaque week-end.

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la construction de Meiji-jingu et sa forêt environnante remonte seulement du début du XXème siècle.

Il fut édifié en hommage à l’empereur Meiji et à l’impératrice Shoken.

Le sanctuaire tient également une place-clé pour les photographes qui souhaitent immortaliser des cérémonies de mariage shinto, ou tout simplement pour les visiteurs curieux.

L’adresse est : 1-1 Yoyogikamizonocho, Shibuya City, Tokyo 151-8557, Japon.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

Sans oublier :

  • Le marché aux poissons de Tsukiji
  • La statue de Hachikô
  • Temple Sengaku-ji
  • Le palais impérial
  • Tournoi de sumo
  • La Tokyo Skytree
  • Le Musée Ghibli
  • Le parc Yoyogi
  • Le parc Ueno
  • Le canal de Sumida
  • Les ruelles de Yanaka
  • Shibuya
  • Shinjuku
  • Ginza
  • Asakusa
  • Akihabara
  • Ueno
  • Roppongi
  • Harajuku
  • Odaiba
  • Ikebukuro

De quoi passer de très bonnes vacances !

Verrines de poulet à l’ananas

Une petite entrée simple et délicieuse.

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 60 gr de riz
  • 200 gr de filets de poulet
  • 1 piment rouge
  • 2 jeunes oignons
  • 150 gr de tomates cerises
  • 150 gr d’ananas
  • 1 cuillère à café de poivre de Cayenne
  • 1 cuillère à café de curry en poudre
  • 1 cuillère à café d’origan
  • 2 cuillères à soupe de miel
  • 50 gr d’épinards
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Faire cuire le riz dans une casserole d’eau bouillante salée, le temps indiqué sur l’emballage, l’égoutter et le laisser refroidir.
  • Découper le poulet en dés.
  • Emincer le piment rouge.
  • Nettoyer et découper les jeunes oignons en rondelles.
  • Couper les tomates cerises en quartiers.
  • Découper l’ananas en dés.
  • Faire cuire les dés de poulet dans une poêle huilée.
  • Ajouter le piment, le poivre de Cayenne, le curry, l’origan, le miel et laisser refroidir.
  • Dans un saladier, mélanger les dés de poulet froid, le riz, les épinards, les dés d’ananas et les quartiers de tomates. (Réserver un peu d’épinards et de tomates pour la déco).

Conseil de présentation : Dans chaque ravier, incorporer le mélange poulet – riz et décorer avec 1 feuille d’épinard, 2 quartiers de tomate et 1 morceau d’ananas, saler et poivrer.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 30 minutes
  • Cuisson : 15 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment réagir face au harcèlement scolaire

Cela fait 10 jours que l’école a repris.

Avec cette reprise, la crainte des parents que leur enfant subisse du harcèlement scolaire, véritable fléau de ces dernières années…

Voici quelques conseils pour vous aider à réagir face au harcèlement scolaire :

  1. En tant qu’enseignant(e)

Si vous avez connaissance d’un cas de harcèlement scolaire dans votre école ou dans votre classe, surtout ne pas faire l’autruche.

Il est important de parler avec vos élèves de ce que cela engendre pour la personne harcelée et les conséquences pour la personne harceleuse.

Pour cela :

  • Créer un groupe de paroles où tout le monde peut exprimer ses émotions et où personne ne peut le contredire.
  • Donner un « bâton de parole » à la personne qui souhaite se confier et durant son temps de parole, elle ne peut pas être interrompue.
  • Demander à la personne qui parle de ne nommer personne explicitement, ni de le désigner, ni de l’accuser mais de toujours parler en « Je » (Ex : Je suis triste parce qu’on se moque de moi).
  • Vous pouvez faire appel à la solidarité au sein du groupe en demandant ce qui peut être mis en place pour que la personne ne soit plus triste ou en colère.
  • Refaire un groupe de paroles la semaine suivante pour savoir comment se sent la personne et comment cela a évolué à la suite des propositions faites par le groupe.

2. En tant que parents

Votre enfant / ado a changé depuis quelques temps.

Il est renfermé, triste et agressif et vous ne savez pas que faire pour l’aider.

Voici quelques conseils pour l’aider à se confier à vous :

  • Donner la possibilité à votre enfant / ado d’exprimer ses émotions sans crainte d’être contredit et sans s’exposer au risque que la situation s’aggrave.
  • Ne pas minimiser ou dramatiser le harcèlement subi, le prendre au sérieux et comprendre son ressenti.
  • Ne pas suggérer à votre enfant / ado de réagir par ses propres moyens pour sortir de cette situation.
  • Offrir un espace de parole avec les personnes en qui il a le plus confiance pour qu’il puisse s’exprimer ses émotions et favoriser un changement.
  • Restaurer le triple lien de confiance qui a été rompu : confiance en soi, dans les autres et dans la capacité des institutions à se mobiliser.

Voici quelques phrases à dire à votre enfant / ado :

  • C’est fini, ce n’est plus ton problème mais c’est devenu notre souci d’adultes et nous savons comment nous y prendre pour que cela cesse.
  • Tu n’es pour rien dans ce qui t’arrive, ce n’est pas parce que tu es trop ceci ou pas assez cela, c’est tombé sur toi mais ça aurait pu tomber sur quelqu’un d’autre.
  • Tu as raison de ressentir ce que tu ressens, cette émotion t’appartient et personne ne peut la contredire ou la contester.
  • On ne lâchera pas tant que ce n’est pas complètement fini.

Voici quelques phrases à NE PAS dire à votre enfant / ado :

  • C’est de ta faute, tu te laisses trop faire.
  • Ne te comporte pas comme un trouillard et réagis.
  • Nous, on ne peut rien faire, c’est à toi de réagir.
  • On t’avait dit de ne pas aller sur les réseaux sociaux.
  • Ce n’est pas grave, ce ne sont que des enfantillages, des disputes d’enfants.
  • C’est terrible, tu es faible et tu ne t’en relèveras jamais.

Rien ne justifie le harcèlement scolaire.

Alors, il faut réagir pour que cela s’arrête car chaque année, trop de jeunes mettent fin à leur jour à cause du harcèlement scolaire !

Comment pratiquer le Pilates

Pas de temps pour caser des séances de sport ?

Alors, voici quelques exercices à effectuer au fil de la journée pour garder la forme :

  1. Au lit, avant de vous lever !

Cela va vous prendre à peine 5 minutes…

  • Faire tourner les chevilles l’une après l’autre dans les deux sens, 5 fois en étant allongé(e) sur le dos.
  • Remonter les genoux sur la poitrine, les attraper et réaliser des cercles 5 fois.
  • En position assis(e), rouler les épaules, les soulever vers le haut, puis vers l’arrière 5 fois.
  • Toujours assis(e), effectuer des rotations de la tête de 360° puis tourner la tête de droite à gauche et de gauche à droite 5 fois.

2. Dans la salle de bains

  • Pendant le brossage des dents, soulever et abaisser les talons en s’étirant le plus possible vers le haut 5 fois.
  • Attraper la serviette par les extrémités bras tendus, soulever les bras vers le haut puis vers l’arrière 5 fois.
  • Reculer d’un mètre du lavabo, placer les mains dessus en les écartant de la largeur des épaules, s’incliner à angle droit et tenir pendant 2 minutes.
  • Mains dirigées vers l’avant en appui sur le lavabo, épaules ouvertes, ventre rentré, bras serrés le long du corps, plier les coudes et les déplier 5 fois.

3. Sur le canapé

  • Assis(e) sur le bord du canapé, mains derrière la tête, coudes dans le champ de vision, s’incliner en arrière en inspirant, dos plat et remonter en expirant 5 fois.
  • Soulever les fesses et les avancer dans le vide, omoplates serrées comme si les coudes devaient se toucher, monter et descendre en gardant les épaules basses 5 fois.

4. Dans la cuisine

  • En attendant que le café passe, jambes écartées, dos droit, plier les jambes et les remonter 5 fois.
  • En appui sur une chaise, décaler une jambe vers l’arrière tout en tirant le nombril vers le haut, soulever et abaisser la jambe 5 fois puis changer de côté.
  • Placer les bras en position « génie », rentrer le ventre et soulever les genoux jusqu’aux coudes 5 fois.

5. Au bureau

  • Croiser les mains, tendre les bras vers l’avant en faisant le dos rond en expirant, remonter les bras au-dessus de la tête en inspirant, 5 fois.
  • Pieds à plat, tourner le buste en gardant les fesses stables (comme pour parler à quelqu’un derrière vous) 5 fois.
  • Tirer le côté droit de la tête avec la main gauche et la pousser vers la droite en créant une légère résistance et faire cela 5 fois de chaque côté.

Ce sont les petits mouvements cumulés jour après jour qui viendront tout changer !

Prenez soin de vous !

Tartare de maatjes et pomme

Une petite entrée qui va ravir les papilles gustatives…

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 3 maatjes
  • 1 pomme Granny Smith
  • 2 branches de céleri
  • 2 radis
  • 1 concombre
  • 1 citron vert
  • 4 cuillères à soupe de crème épaisse
  • 2 cuillères à café de wasabi
  • 1 poignée de cerfeuil
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Découper les maatjes en dés de 0,5 cm.
  • Découper la pomme en dés de 0,5 cm.
  • Couper le céleri en petits dés de 0,5 cm.
  • Découper les radis en fines tranches.
  • Découper un tronçon de 8 cm dans le concombre et en faire des bâtonnets.
  • Découper le reste du concombre en petits dés de 0,5 cm.
  • Dans un bol, mélanger les dés de maatjes, de pomme, de céleri, de concombre, ajouter le jus de citron, saler et poivrer.
  • Dans un autre bol, mélanger la crème épaisse et le wasabi.
  • Dans les verrines, disposer le tartare de maatjes.
  • Napper de crème au wasabi.
  • Garnir avec les rondelles de radis, les bâtonnets de concombre, un brin de cerfeuil et du poivre.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 25 minutes
  • Cuisson : 0 minute
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Besoin de vacances ? SAINT-DOMINGUE ?

Saint-Domingue est la capitale de la République Dominicaine.

Elle est située sur la côte sud de l’île d’Hispaniola que le pays partage avec Haïti.

Elle est située en bordure de la mer des Caraïbes, à l’embouchure de la rivière Ozama.

Fondée à la fin du XVème siècle par Bartoloméo Colón, le frère de Christophe Colomb, elle a célébré son 524ème anniversaire le 5 août 2022.

En grande partie piétonnier, le centre historique se visite facilement en une journée et concentre une multitude de merveilles architecturales coloniales transformées en boutique hôtels, musées, restaurants ou cafés.

Saint-Domingue est classé au patrimoine de l’Unesco depuis le 12 février 1985.

Elle compte 1.029.110 habitants pour 104,43 km².

Les incontournables à visiter à Saint-Domingue sont :

  1. La Cathédrale Notre-Dame de l’incarnation

La cathédrale Notre Dame de l’Incarnation est la plus vieille cathédrale des Amériques !

Certes Colomb mis pied à terre à San Salvador, mais il a été contraint d’installer sa première garnison à l’emplacement de la futur Saint-Domingue.

Le 26 mars 1514, la première pierre calcaire a été posée par le premier évêque de Saint-Domingue, Mgr Francisco Garcia de Padilla .

Il a fallu 17 ans pour la construire, ce qui est un temps record pour l’époque !

Elle n’a toutefois pas les dimensions d’une cathédrale européenne.

Elle comporte 14 chapelles, 7 par côté.

Chaque chapelle a été inspirée par une femme différente.

Le sol est en brique, les meubles en acajou massif.

La porte du pardon a été la première à être construite, et symbolisa longtemps la terre d’asile.

En effet, le fait de toucher la cathédrale permettait de se mettre sous la protection de l’Eglise.

Plus large que haute, sa longueur est de 54 m dans l’allée centrale pour une largeur de 23 m, tandis que la plus grande hauteur du sol à la voûte atteint 16 mètres, le tout représentant une surface construite supérieure à 3.000 m2.

L’adresse est : F4F8+696, Cjón. de los Curas.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

2. Le Palais Alcazar de Colón

Don Diego Colón a fait construire sa nouvelle résidence à son arrivée sur l’île, avec l’aide de maçons espagnols qui étaient chargés de diriger 1500 indigènes.

La construction, à base de rochers de corail, a été réalisée entre 1510 et 1514, en suivant un style qui mélangeait la Renaissance espagnole et italienne, avec le gothique et le mudéjar.

Ainsi, le bâtiment monumental a été érigé avec 55 pièces et un total de 72 portes et fenêtres qui ont été témoin des réunions les plus importantes des conquérants, tels que Cortés, Velázquez ou Balboa, pour coloniser le Mexique, Cuba ou le Pérou, entre autres.

La caractéristique la plus remarquable de son architecture, et qu’il est encore possible de contempler, est l’absence de clous pour la construction des salles et des pièces du palais.

La résidence a joué le rôle de maison de la famille Colón de Toledo jusqu’en 1577 à peu près.

En 1586 le redoutable corsaire anglais Francis Drake a envahi la ville, en prenant un bon nombre d’objets artistiques de l’Alcazar.

Au fil des siècles, le bâtiment est tombé en ruines et, afin de le protéger, il a été déclaré Monument National en 1870.

En 1955, une importante rénovation de ce splendide palais été mise en route.

Pourtant elle a été difficile, à cause du manque de respect du style original, ce qui l’a fait devenir une construction architecturale éclectique car elle incorpore deux cubes à chacun de ses côtés et les galeries des deux façades.

Aujourd’hui, le Musée Alcazar de Colón montre vingt-deux pièces conservées parmi les cinquante-cinq qu’il y avait à l’origine.

Vous pouvez les parcourir en découvrant le décor des différentes salles, avec leurs meubles et leurs éléments décoratifs qui datent des XIVème, XVème et XVIème siècles et qui témoignent d’un style de vie du XVIème au XVIIIème siècles.

L’adresse est : Place d’Espagne, Zone Coloniale.

Le prix d’entrée est de 100 RD$ (+/- 1,50 €) pour tout le monde.

3. La Forteresse Ozama

Cette simple et solide construction a été érigée par les espagnols entre 1502 et 1507 sous l’ordre du gouverneur du moment Nicolás de Ovando.

À l’origine, elle a été construite afin de protéger la ville face aux attaques des conquérants anglais, portugais, français et des pirates qui tentaient de la piller ou de la prendre.

Au fur et à mesure que l’on se rapproche de la forteresse, on a l’impression qu’il s’agit d’un authentique château médiéval, composé d’un ensemble architectural vraiment fonctionnel.

Ainsi, le monument historique est composé de plusieurs parties différentes :

  • La Porte Carlos III, érigée en 1787 sous son règne et qui donne accès à l’enceinte.
  • La Statue de Gonzalo Fernández de Oviedo, le premier chroniqueur des Indes et le gouverneur de la forteresse entre 1533 et 1557.
  • Le donjon ou Tour de l’hommage ainsi nommé en mémoire des conquérants espagnols.

C’est le bâtiment qui attire le plus l’attention, par son aspect de château médiéval de 18 m de hauteur, où le drapeau dominicain flotte au vent.

Sa construction a commencé en 1503, et en 1509 elle est devenue la résidence du vice-roi Diego de Colón, de sa famille et des soldats qui l’accompagnaient.

De même, la tour a été l’endroit où Fernández de Oviedo a écrit son célèbre ouvrage  » Histoire Générale et Naturelles des Indes  » et elle a également fait office de prison jusqu’au XXème siècle.

Le polvorín (la poudrière) est une construction de plan carré, composée de murs de trois mètres d’épaisseur et qui date du XVIIIème siècle.

Sur la façade, il y a sur les armoiries du roi Charles III ainsi qu’une niche contenant la statue de Santa Bárbara.

Les plate-formes de tir constituent deux éléments remarquables de l’ensemble.

D’une part, il y a la plate-forme dite « basse », qui date de 1570 et qui possède des créneaux et des canonnières, et d’autre part, une plate-forme postérieure dite « haute » qui date du XVIIème siècle.

Vous ne pouvez pas non plus manquer la guérite de Santiago ou le fort de Santiago, les restes de l’ancien fort du XVIème siècle qui faisaient partie de l’ensemble.

À la fin du XVIIIème siècle, l’Espagne a envoyé un nouveau régiment et il a été nécessaire de construire un autre espace pour le loger dans la partie ancienne des remparts.

De plus, à l’intérieur de la forteresse, il reste encore des tunnels et des cachots où les prisonniers étaient placés.

L’adresse est : Rue Las Damas, Zone Coloniale.

Le prix d’entrée est de 70 RD$ (+/- 1,10 €) pour tout le monde.

4. Le jardin botanique national

Le jardin connu comme Jardin Botanique Dr. Rafael María Moscoso, a été construit en l’honneur du premier dominicain qui a écrit un catalogue de la flore de l’île Hispaniola.

Il est le plus étendu des Caraïbes, avec une superficie de 2.000.000 m².

À l’intérieur, il est possible de contempler plus de 69.000 espèces botaniques classifiées et il a été inauguré en 1976 afin de préserver et de contribuer à la recherche de la flore variée de l’île.

Parmi les différentes zones du Jardin, vous pouvez trouver la Place Centrale, qui accueille les visiteurs et qui est composée d’un bon nombre d’étangs où il est possible d’observer des plantes aquatiques et des poissons de plusieurs couleurs.

Par ailleurs, il faut remarquer l’Horloge Florale, l’une des plus grandes au monde qui dispose de 20 m de diamètre et 3,5 m de hauteur, avec des aiguilles de 5 mètres de longueur qui marquent l’heure.

Il y a autour de lui un étang circulaire plein de plantes aquatiques.

Le Jardin Japonais offre une belle vue paysagère décorée de bambous, d’araucarias, de sabines et de beaucoup d’autres plantes et fleurs asiatiques.

En plus, il y a des lacs et des ponts « torii » symbolisant l’entrée au ciel pour les japonais et donnant une sensation de tranquillité au parcours.

Un autre espace important est l’espace connu comme Herboristerie, qui expose des plantes aromatiques, médicinales, toxiques et urticantes, ainsi que l’explication de leurs propriétés.

Il y a aussi le Musée Écologique, où l’on explique les raisons de l’existence de différents écosystèmes.

La zone nommée Plantes Endémiques ressort aussi tout particulièrement car vous pourrez contempler de vos yeux la flore autochtone de l’île, par exemple la petite cloche créole, le camélia rouge ou la langue de vache, entre autres.

Par l’extérieur du jardin, on arrive à la zone connue comme Arboretum, où il y a 1.500 espèces d’arbres à peu près, en tenant compte tant de ceux qui sont endémiques que des étrangers.

À côté de la population du guanito, vous pourrez découvrir d’autres populations d’un énorme intérêt, telles que celle du palmier triangulaire ou celle de queue de poisson.

De plus, l’un des traits les plus remarquables du jardin botanique est la consécration de 40 % de la superficie du jardin à une réserve naturelle.

D’une part, il est nécessaire de noter la Gran Cañada (Grande Gorge), qui donne au jardin une ambiance spéciale et qui occupe une superficie d’1,6 kilomètres carrés traversant la réserve naturelle et se jetant dans la rivière Isabela.

À l’intérieur, des plantes exotiques poussent, telles que le Ginger, le Costus, la petite banane sauvage, la fleur en cire et beaucoup d’autres.

D’autre part, on trouve les pavillons.

Le premier est centré sur les plantes aquatiques telles que le lotus, l’eneas, les lilas d’eau, etc.

D’autres sont dédiés aux fougères, aux bromelias, aux plantes exotiques et aux canastas et un autre est centré sur les orchidées (vous aurez l’opportunité d’observer jusqu’à 300 espèces d’orchidées différentes).

L’adresse est : Avenue República de Colombia.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 75 RD$ (+/- 1,15 €) pour les 6-17 ans et 150 RD$ (+/- 2,30 €) à partir de 18 ans.

5. Lancien monastère de San Francisco

Le bâtiment d’origine du monastère de San Francisco a été construit en bois en 1508 en haut d’une colline afin d’être utilisé par l’ordre de San Francisco.

C’est à cause de la fragilité du matériel, des phénomènes météorologiques et des assauts qu’il s’est écroulé et que l’on a décidé de le reconstruire, en pierre cette fois.

Le nouveau bâtiment en pierre a été construit entre 1523 et 1664, même si ce ne sont que les restes des rénovations du XVIIIème siècle qu’il est encore possible d’observer.

Lors de la Bataille de Palo Hincado du XIXème siècle, une partie de la voûte a été sectionnée en la remplaçant par un canon, mais au deuxième coup de canon, le bâtiment s’est effondré en entier.

De plus, pendant l’occupation des haïtiens, le monastère a été gravement endommagé, car ils ont volé des pierres et des détails architecturaux.

En raison de l’abandon de la construction, les voûtes se sont finalement écroulées, bien qu’il soit encore possible d’observer l’endroit où la Chapelle du Tiers Ordre, le couvent et l’église étaient placés.

L’adresse est : Rue Hostos coin Emiliano Tejera. Zone Coloniale.

L’entrée est gratuite pour tout le monde.

Sans oublier :

  • Parc Colón
  • Hôtel de Ville
  • Place d’Espagne
  • Museo de las Casas Reales
  • Couvent des Dominicains
  • Ruines de l’hôpital de San Nicolás de Bari
  • Chuchu Colonial
  • Reloj de Sol
  • Panthéon National
  • Casa de Bastidas
  • Casa de Hernán Corté
  • Casa de los Dávila
  • Palacio de Borgellá
  • Maison du Cordon
  • Maison de la Monnaie
  • Iglesia de las Mercedes
  • Fort de San José
  • Fort San Gil
  • La plage Boca Chica
  • La plage de Guibia

De quoi passer de très bonnes vacances !

Scampis à l’aigre-douce

Une recette délicieuse pour un apéro réussi.

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 12 scampis avec queue
  • 1 piment rouge
  • 1 orange
  • 2 cuillères à soupe de crème épaisse
  • 12 brins de coriandre
  • 3 cuillères à soupe de sucre
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre de vin blanc
  • 1 cuillère à soupe d’huile
  • Sel
  • Poivre de Cayenne

2. Préparation

  • Eliminer les graines et émincer la chair du piment.
  • Zester l’orange.
  • La presser pour obtenir le jus.
  • Dans un poêlon, mettre le jus d’orange, la moitié des zestes, le sucre, le vinaigre et porter à ébullition.
  • Ajouter le piment et laisser épaissir jusqu’à l’obtention d’une sauce sirupeuse.
  • Dans une poêle huilée, faire cuire les scampis pour qu’ils soient croquants, saler et poivrer.

Conseil de présentation : Disposer un peu de crème épaisse au fond des cuillers, poser un scampi par-dessus, napper de sauce et décorer avec le reste des zestes et la coriandre.

Autre petit conseil : Pour gagner du temps, utiliser une sauce aigre-douce prête à l’emploi.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 10 minutes
  • Cuisson : 15 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Quelle est la routine idéale de nettoyage pour chaque type de peau

Le nettoyage est crucial pour obtenir une peau saine et éclatante.

  1. Pour les peaux sèches
  • Utiliser une eau micellaire douce à l’acide hyaluronique pour vous démaquiller sans assécher car cette version nettoie et hydrate en même temps.
  • Laver le visage avec un gel nettoyant qui ne retirera pas l’huile naturelle présente à la surface de l’épiderme.
  • Appliquer le tonique exfoliant sur un coton et tapoter le visage préalablement nettoyé afin d’éliminer les peaux mortes et redonner de l’éclat à l’épiderme.

2. Pour les peaux grasses

  • Appliquer un baume ou une huile nettoyante qui élimine les particules liposolubles.
  • Utiliser un nettoyant matifiant afin de retirer toutes les particules hydrosolubles et garantir qu’aucune saleté ne demeure présente.
  • Appliquer un exfoliant chimique à l’acide glycolique afin de purifier les pores, de prévenir des impuretés et donner un éclat sain à l’épiderme.

3. Pour les peaux sensibles

  • Utiliser une eau micellaire non-parfumée pour les peaux sensibles et réactives.
  • Utiliser un nettoyant doux afin d’éliminer les saletés et résidus de maquillage sans assécher la peau.
  • Appliquer un tonique ne contenant ni alcool, ni parfum, afin d’apaiser l’épiderme et lui donner un boost d’hydratation.

Nettoyer sa peau le soir est incontournable…

Prenez soin de vous et de votre peau !

Quelles sont les utilités de la marche ?

La pratique de la marche quelques minutes par jour peut transformer votre santé, votre corps et votre esprit.

  • Pour faire baisser la probabilité d’AVC de 30 %, 2 heures de marche par semaine suffisent.
  • Marcher 40 minutes 3 fois par semaine protège la partie du cerveau associée à la mémoire et à la planification.
  • Marcher 30 minutes par jour peut faire baisser de 36 % les symptômes d’un état dépressif.
  • Marcher 45 minutes la plupart des jours de la semaine fait baisser considérablement le risque de problème cardiaque.
  • Marcher 4 heures par semaine peut diminuer le risque de fracture de la hanche de plus de 43 %.
  • Faire 3.500 pas par jour diminue le risque de diabète de 29 %.
  • 75 minutes de marche soutenue par semaine peuvent prolonger l’espérance de vie de près de 2 ans.
  • Marcher 1 heure par jour diminue le risque d’obésité de 50 %.

Il est temps de se mettre à marcher !

Prenez soin de vous !

Baklava rhubarbe pistache

Un dessert traditionnel simple et rapide à réaliser.

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 375 gr de compote de rhubarbe
  • 225 gr de pistaches non salées
  • 1 orange
  • 180 gr de cassonade blonde
  • 15 feuilles de pâte filo
  • 180 gr de beurre fondu
  • 22 cl de miel
  • 2 cuillères à café de fleur d’oranger
  • Quelques feuilles de menthe

2. Préparation

  • Dans un bol, verser la compote de rhubarbe.
  • Hacher grossièrement les pistaches.
  • Râper le zeste d’orange.
  • Mélanger le tout à la rhubarbe avec la cassonade.
  • Couper les feuilles de pâte filo à la dimension du moule.
  • Beurrer 4 feuilles de pâte filo à l’aide d’un pinceau.
  • Les empiler les unes sur les autres dans le moule.
  • Verser la moitié du mélange à la rhubarbe.
  • Recouvrir de 3 feuilles de pâte filo beurrées.
  • Verser le reste du mélange à la rhubarbe.
  • Terminer par 3 feuilles de pâte filo beurrées.
  • Avec un couteau, découper des diagonales dans les couches de pâte.
  • Faire cuire pendant 35 minutes dans un four préchauffé à 180°C jusqu’à ce que le baklava soit bien doré.
  • Faire chauffer le miel avec le jus de l’orange et l’eau de fleur d’oranger.
  • Verser sur le baklava et laisser refroidir au frigo.
  • Avant de servir, décorer de pistaches supplémentaires et de feuilles de menthe.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 30 minutes
  • Cuisson : 40 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !