Faire revenir les scampis dans une poêle avec un filet d’huile, saler, poivrer et réserver.
Dans la même poêle, faire revenir les échalotes et l’ail pendant 5 minutes.
Ajouter les épinards et laisser réduire.
Déglacer avec le vin blanc, le bouillon de poisson, saler, poivrer et laisser réduire 3 minutes à feu vif.
Ajouter la crème, les feuilles d’estragon et laisser mijoter à feu doux pendant 6 minutes.
Remettre les scampis dans la poêle, assaisonner du jus du citron, saler et poivrer.
Faire cuire les tagliatelles dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 12 minutes.
Les égoutter et servir avec les scampis et la sauce.
A vous de choisir si vous mettez du parmesan sur vos tagliatelles mais sachez que le parmesan sur le poisson, les crustacés ou les fruits de mer est un sacrilège pour les italiens…
Vilnius est la capitale de la Lituanie et l’une des plus belles villes d’Europe centrale et orientale.
C’est la plus grande ville de Lituanie avec plus de 574 000 habitants pour une superficie de 401 km².
Elle est fondée par Gediminas en 1323 à la confluence des rivières Neris et Vilnia.
La Lituanie majoritairement catholique de nos jours, fut le dernier pays en Europe à se convertir au Christianisme d’état en 1387.
Les incontournables à visiter à Vilnius sont :
Le palais présidentiel
La construction du palais a eu lieu à la fin du XIVe siècle, sous les auspices du premier évêque de la ville de Vilnius, Andrzej Wasilko.
Ensuite, le bâtiment a été progressivement agrandi et rénové.
Au cours de la Renaissance, le palais a été rénové, une fois de plus, et les parcs et jardins autour de l’immeuble ont été élargis.
Un certain nombre d’événements dramatiques ont eu lieu au palais au XVIIIème siècle : Le bâtiment lui-même a été gravement endommagé par deux incendies majeurs en 1737 et 1748.
Le palais a été reconstruit en 1750 sous la supervision de l’architecte Laurynas Gucevičius.
Après la reconstruction du palais, il a été utilisé comme résidence officielle pour les empereurs et les visiteurs de haut rang.
Le tsar Paul Ier y a habité en 1796.
Le palais a servi ensuite de résidence pour les gouverneurs de la Russie impériale, comme le comte Mikhaïl Mouraviov.
Il a également été habité par le comte de Provence en exil, le futur roi de France Louis XVIII, en 1804.
Après l’indépendance de la Lituanie en 1918, le palais abrite le ministère des Affaires étrangères et l’agence de presse ELTA.
Il a été restauré dans les années 1930 par Stefan Narębski.
Le palais a été progressivement réaménagé comme résidence présidentielle, et depuis 1997 il sert de résidence officielle au président de la Lituanie.
Un drapeau affichant les armoiries du président est hissé lorsque le président est présent dans le palais ou dans la ville.
Au cours des visites, il est possible de découvrir le domaine privé du président et la chancellerie.
À l’intérieur l’architecture est somptueuse, tout comme le mobilier agrémentant les différentes salles et les nombreux bureaux du bâtiment.
Les plus chanceux auront la chance d’apercevoir le bureau du président.
Derrière le palais, les jardins se composent d’une cour pittoresque entourée de pelouses luxuriantes et de magnifiques massifs de fleurs.
À un endroit, une petite zone d’herbe est parsemée de sculptures en pierre.
En fin de journée, il est possible d’assister à la relève de la garde, et le dimanche midi à la fascinante cérémonie du lever du drapeau.
Les soldats de la Garde d’honneur des forces armées lituaniennes observent ce rituel traditionnel.
Ils sont identifiables à leur tenue de cérémonie du XIVème siècle et à leur armure médiévale.
L’adresse est : S. Daukanto a. 3.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
2. La Cathédrale Saint-Stanislas
C’est la principale église catholique de Lituanie.
La cathédrale est située dans la partie médiévale de la ville de Vilnius qui est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Elle est au cœur de la vie spirituelle en Lituanie et est vouée à saint Stanislas et saint Ladislas.
La Cathédrale St-Stanislas, dont l’architecture évoque un temple grec, a été construite au XIIème siècle.
Symbole du christianisme du pays, la cathédrale est rendue au culte en 1990.
Aujourd’hui les statues des trois Saints ont retrouvé leur place sur le fronton de l’Édifice.
A l’intérieur de la cathédrale se trouve au fond, la Chapelle de St-Casimir, un chef-d’œuvre de l’art baroque.
La cathédrale et le beffroi ont été entièrement rénovés de 2006 à 2008.
Les façades ont été repeintes, améliorant ainsi l’aspect extérieur des bâtiments et de leurs éléments qui n’avaient pas été rénovés depuis la restauration de 1990 en l’honneur de l’indépendance de la Lituanie.
Mgr Jan Cieplak, serviteur de Dieu, est enterré à la cathédrale en 1926.
L’adresse est : Šventaragio g.
Le prix d’entrée pour visiter le clocher est de 6 € pour tout le monde.
3. La Tour de Gediminas
La tour de Gediminas est la seule partie restante du château de Vilnius.
Elle est située sur la colline du même nom.
Elle abrite une exposition des découvertes archéologiques de la colline et ses alentours.
Elle offre également un excellent point de vue sur la ville de Vilnius.
Elle revêt une grande importance historique et constitue un symbole de la ville de Vilnius et de la Lituanie elle-même.
Elle est représentée sur la monnaie nationale, le litas, jusqu’au 31 décembre 2014, et est mentionnée dans de nombreux poèmes patriotiques lituaniens et des chansons folkloriques.
Le drapeau de la Lituanie a été à nouveau hissé au sommet de la tour le 7 octobre 1988, pendant le mouvement indépendantiste qui a abouti à la recréation de l’État de la Lituanie, le 11 mars 1990.
L’adresse est : Arsenalo g. 5.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans, 6 € pour les 18 – 59 ans et 3 € pour les 60 ans et +.
L’église Saint-Jean-Baptiste-et-Saint-Jean-l’Évangéliste est une église monumentale de style baroque tardif, située à Vilnius dans le quartier de l’université de l’ancienne ville.
Une église de bois est construite sur la place du marché en 1387sous le règne de Jagellon, à l’emplacement d’un ancien temple païen.
Une église gothique en pierre à trois nefs, consacrée en 1427, la remplace.
Elle est confiée aux Jésuites polonais en 1571 de la part du roi Sigismond-Auguste, et ceux-ci la transforment entièrement dans le style Renaissance.
Elle fait alors 68 m de long sur 27 m de large pour contenir 2 320 fidèles.
On érige un clocher au tournant du XVIème et du XVIIème siècle, ainsi que par la suite des chapelles, des cryptes, etc.
L’église accueille solennellement :
Le roi Étienne Bathory
Le roi Sigismond III de Pologne
Le roi Ladislas IV
Le roi Jean-Casimir
Ils sont tous souverains élus de la Pologne unie à la Lituanie.
L’intérieur est remanié en 1825-1829 et la façade est entièrement reconstruite avec des colonnes de l’ordre corinthien néo-classiques.
À l’époque de la république socialiste soviétique de Lituanie, l’église abrite les ateliers de typographie de journaux, puis est transformée dans les années 1960 en Musée de la Science, après restauration.
Elle est restituée à l’Archidiocèse de Vilnius en juillet 1991.
Elle sert d’église à l’université de Vilnius.
Des pères jésuites y disent la messe en lituanien en semaine et en latin le dimanche. Sa chapelle Sainte-Anne est particulièrement remarquable.
L’adresse est : Sv. Jono gatvé 12.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
5. Le parc national de Dzukija
Le parc national de Dzūkija se situe en Lituanie en Dzūkija sur les bords du fleuve Niémen.
Le parc est la plus grande zone protégée de Lituanie.
Il a été créé en 1991 dans le but de préserver les forêts de pins (qui constituent 80 % du parc), les paysages et les villages de la région sur une surface de 58.519 ha.
Dans ce parc national, vous pourrez voir :
La pyramide de Merkine
Le plus grand marais de Lituanie
L’ensemble du monastère de Liskiava
Le parc Grutas, un jardin de sculptures avec statues de Lénine, Marx, Staline et autres de l’époque soviétique.
L’adresse est : Vilniaus g. 3.
Le prix d’entrée est assez cher : 100 € pour tout le monde.
Cela en vaut vraiment le coût car la visite dure +/- 8h avec un guide…
Sans oublier :
Le quartier bohème d’Užupis
Se balader le long des rives de la Vilnia ou de la Néris
Église Sainte-Anne
Église Saint-Barthélemy
Église Saint-Constantin-et-Saint-Michel
Église Saint-Nicolas
Église orthodoxe Saint-Pierre-et-Saint-Paul
Musée national de Lituanie
Musée Juif Gaon
Musée de l’illusion
Musée Ferroviaire
Le jardin Bernardine
Le parc zoologique
Le parc Vingis
Le marché Halès
Visiter Trakai
Le quartier bohème d’UžupisLe quartier bohème d’UžupisSe balader le long des rives de la Vilnia ou de la NérisSe balader le long des rives de la Vilnia ou de la NérisÉglise Sainte-AnneÉglise Sainte-AnneÉglise Saint-BarthélemyÉglise Saint-BarthélemyÉglise Saint-Constantin-et-Saint-Michel Église Saint-Constantin-et-Saint-Michel Église Saint-NicolasÉglise Saint-NicolasÉglise orthodoxe Saint-Pierre-et-Saint-PaulÉglise orthodoxe Saint-Pierre-et-Saint-PaulMusée national de LituanieMusée national de LituanieMusée Juif GaonMusée Juif GaonMusée de l’illusionMusée de l’illusionMusée FerroviaireMusée FerroviaireLe jardin BernardineLe jardin BernardineLe parc zoologiqueLe parc zoologiqueLe parc VingisLe parc VingisLe marché HalèsLe marché HalèsVisiter TrakaiVisiter Trakai
Varsovie est depuis 1596 la capitale de la Pologne et depuis 1999 le chef-lieu de la voïvodie de Mazovie.
Elle est située sur la Vistule, à environ 320 km de la mer Baltique et des Carpates.
Peuplée par plus d’1,8 million d’habitants pour 517,24 km², la capitale polonaise est la plus grande ville du pays et dispute à Budapest la 8e place parmi les plus grandes villes de l’Union européenne.
Varsovie se divise en dix-huit arrondissements.
Les incontournables à visiter à Varsovie sont :
Le palais Royal
Sous l’impulsion d’un seigneur local, la construction du château débute dans les années 1350 par la Grande Tour dans son coin sud-est.
A l’époque, la capitale de la Pologne se trouve à Cracovie, et Varsovie n’était guère plus qu’un bourg médiéval.
C’est le roi Sigismond III de Pologne qui, en 1596, pris la décision de déménager sa cour à Varsovie, petite bourgade seigneuriale tranquille et sans histoire…
Dès 1939, le Château est endommagé par les bombardements allemands durant le siège de Varsovie.
Il subit ensuite de graves dégâts lors de l’insurrection de Varsovie en août 1944 puis il est dynamité fin 1944.
Ce n’est qu’en 1971 que la décision fut prise : le Château renaîtra de ses cendres, tout comme le reste de la Vieille Ville.
L’effort de reconstruction fut financé en majorité par les Polonais eux-mêmes, notamment les expatriés.
Aujourd’hui, le Château Royal est un des monuments les plus visités à Varsovie, avec plus de 500 000 touristes par an.
Les pièces et les chambres ont été minutieusement reconstruites, à l’identique, et on ne peut que admirer le travail titanesque que cela a dû représenter.
Vous pourrez ainsi admirer :
La salle du trône, où l’arrière du trône est composé de 86 Aigles blancs réalisés en fil d’argent.
Le Cabinet de Marbre
La Chambre Canaletto
La chambre à Coucher du Roi
La Salle des Sénateurs
L’adresse est : Plac zamkowy 4.
Le prix d’entrée est de 22 PNL (+/- 5 €) à partir de 18 ans.
2. L’Eglise Sainte-Anne
Placée juste à côté du Chateau Royal, l’Eglise s’est dressée sous de différentes formes à cet endroit depuis 1454, mais bien des modifications ont été apportées à la petite église fondée par une duchesse de Mazovie et des franciscains.
La façade néo-classique actuelle n’a plus bougé depuis 1788 et cache un intérieur baroque des plus riches et gracieux.
L’Eglise a survécu à la guerre avec quelques blessures et un toit effondré, mais ce que les nazis n’ont pas réussi à détruire a failli l’être par une équipe d’urbanistes incompétents.
En 1949, durant la construction du tunnel de la Trasa W-Z qui passe juste à côté, une série de glissements de terrains a failli emporter l’église toute entière.
D’immenses fissures sont apparues dans le sol de l’Eglise, et il a fallu deux semaines à une équipe de 400 personnes pour stabiliser le sol et renforcer les fondations.
Mais le vrai héro méconnu de cette quasi-tragédie est le professeur Romuald Cebertowicz, qui a inventé une méthode de solidification des sols par électro-injection…
Sur la plateforme du clocher (Entrée : 5 PLN – 1,15 €), qui donne une vue absolument splendide de la Vieille Ville, de la rive droite et de son Stade National rouge et blanc, ainsi que sur le reste de Krakowskie Przedmieście.
Il est également à noter que c’est ici que se trouve la Croix Présidentielle (en hommage au président Kaczynski mort dans un accident d’avion à Smolensk), celle qui a failli plonger le pays dans la « guerre civile » en 2010.
L’adresse est : Krakowskie Przedmieście 68.
3. Le palais des sciences et de la culture
Le Palais de la Culture et des Sciences de Varsovie compte 42 étages, 237 mètres de haut et 3000 chambres.
Le palais a été pendant de nombreuses années le plus haut gratte-ciel de Pologne et reste aujourd’hui encore le plus haut bâtiment de Varsovie.
En plus d’être un point de repère de la capitale, c’est le symbole de la Varsovie moderne.
Le Palais de la Culture et des Sciences abrite plusieurs théâtres, musées, cafés, et même un cinéma et un office du tourisme.
Depuis le belvédère du 30ème étage, vous aurez la meilleure vue sur Varsovie.
Un ascenseur vous mènera en quelques secondes à un salon de style gothique qui communique avec le point de vue de la terrasse du gratte-ciel, à 114 mètres d’altitude.
Vous pourrez vous y reposer dans des chaises longues, prendre un verre à la cafétéria et profiter de la vue sur Varsovie.
De plus, si vous avez le temps, nous vous conseillons de monter au point de vue du Palais de la Culture et des Sciences la nuit.
L’adresse est : Place Defilad, 1.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 15 PNL (+/- 3,50 €) pour les 6 – 18 ans, 20 PNL (+/- 4,65 €) pour les + de 18 ans.
4. La Barbacane et les remparts
Au XVe siècle, les remparts de Varsovie furent construits pour protéger la Vieille Ville des attaques ennemies.
C’est dans ce but qu’un bastion défensif a également été érigé, qui servait de tour de guet et de porte principale vers le centre historique de Varsovie.
En 1540, un architecte italien de la Renaissance conçut cette barbacane de 30 mètres de long.
Malgré l’imposante barbacane, dans toute l’histoire de Varsovie, elle n’a été utilisée qu’une seule fois, et ce fut pour défendre la ville de l’invasion de la Suède en 1656.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Barbacane fut presque entièrement détruite par les bombardements nazis.
Des années plus tard, la barbacane fut reconstruite en utilisant les briques d’origine qui avaient pu être récupérées des décombres.
Aujourd’hui, il est possible de voir sur la barbacane et les remparts une ligne sombre et subtile, représentant la hauteur des fondations d’origine.
Elle sert de lien entre la Vieille Ville et la partie moderne de la ville.
L’adresse est : angle Podwale et Nowomiejska.
5. Le parc Lazienki
Le parc royal de Łazienki a été construit au XVIIe siècle dans un style baroque pur et fut connu pendant des années pour le grand pavillon du lac où se baignait la royauté.
C’est le plus grand parc de Varsovie.
Ses 76 hectares abritent :
Un grand lac
Un théâtre romain
La statue la plus célèbre de Chopin
Le palais du Belvédère
La Maison Blanche
Le temple de Diane
Le palais Łazienki.
En vous promenant dans le parc, vous verrez aussi très certainement des écureuils et des paons.
Sur une île artificielle construite sur le lac du parc se trouve le majestueux palais Łazienki, une résidence royale de style néoclassique construite au XVIIe siècle.
En raison de son emplacement magique, le bâtiment est connu sous le nom de palais sur l’île.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le palais Łazienki subit des dommages extérieurs, il fut ensuite réparé.
Aujourd’hui, c’est un musée qui reflète l’art et l’ostentation des rois polonais de l’époque.
Les chambres conservent le mobilier d’origine et les carreaux qui décorent l’élégante salle de bal datent du XVIIIème siècle.
De plus, le Palais Łazienki présente une collection de robes de différentes époques et de différents styles.
L’adresse est : Agrykola 1.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
Sans oublier :
Le musée de l’insurrection
Le centre commercial Zloty Tarasy
Le musée de la technique et de l’industrie
Jouer au casino
La place du marché
La cathédrale Saint-Jean
Le quartier de Praga
Le jardin de l’Université
La cathédrale Saint-Florian
La vieille ville
Se promener le long de la Vistule
L’église des Carmélites
Le monument des héros du ghetto
Le musée de l’insurrectionLe musée de l’insurrectionLe centre commercial Zloty TarasyLe centre commercial Zloty TarasyLe musée de la technique et de l’industrieLe musée de la technique et de l’industrieJouer au casinoJouer au casinoLa place du marchéLa place du marchéLa cathédrale Saint-JeanLa cathédrale Saint-JeanLe quartier de PragaLe quartier de PragaLe jardin de l’UniversitéLe jardin de l’UniversitéLa cathédrale Saint-FlorianLa cathédrale Saint-FlorianLa vieille villeLa vieille villeSe promener le long de la VistuleSe promener le long de la VistuleL’église des CarmélitesL’église des CarmélitesLe monument des héros du ghettoLe monument des héros du ghetto
Voici quelques conseils pour se débarrasser de façon naturelle des moustiques, des fourmis, des guêpes, des mites, … :
Placer les aliments secs dans des récipients étanches (en verre, en inox, en plastique, …).
Eliminer systématiquement les miettes laissées que ce soit sur la table ou au sol.
Nettoyer régulièrement les surfaces en contact avec la nourriture comme la table ou le plan de travail.
Aérer tous les jours +/- 15 minutes.
Placer des graines de romarin, basilic, thym, menthe ou lavande aux fenêtres.
Poser une moustiquaire sur l’encadrement de la porte ou de la fenêtre.
Mettre des rondelles de citron ou du marc de café au niveau du point d’entrée des fourmis.
Faire brûler du café moulu non utilisé dans une coupelle que vous placez sur la table, cela poussera les guêpes à faire demi-tour.
Imbiber des morceaux de tissus d’huiles essentielles de lavande, d’eucalyptus ou de thym et le mettre dans l’armoire à vêtements afin d’éviter les mites.
Mettre des copeaux de savon de Marseille dans les armoires ou sur les étagères fonctionne aussi très bien.