Cordoue est une ville d’Andalousie, région du sud de l’Espagne, et la capitale de la province du même nom.
C’est une ancienne ville romaine majeure et au Moyen-Âge, c’était un centre islamique important.
Elle compte 325.708 habitants pour 1245 km².
Elle se situe à 400 km de Madrid.
Les incontournables à visiter à Cordoue sont :
La Mezquita (Mosquée – cathédrale)
La mosquée de Cordoue a été construite entre 770 et 996 par les émirs et les califes de Cordoue.
En 1523, sous le règne de Charles Quint, la mosquée subit une profonde restructuration.
Les chrétiens éventrent la salle de prières et y installent une basilique chrétienne cruciforme de style plateresque.
Les dimensions de la mosquée sont de 175 sur 135 mètres.
À l’origine, il y avait 21 portes, il en subsiste encore 13.
Elles sont de différents styles architecturaux : arabe, mudéjar, plateresque, renaissance et gothique.
La superficie de la mosquée est de 23 000 mètres carré.
À l’intérieur, se trouvent 19 nefs orientées nord-sud.
Elles sont délimitées par près de 1 300 colonnes en marbre, jaspe et granite.
Elles sont surmontées par 365 arcs bicolores (jaunâtre en calcaire et rouge en brique).
Le mihrab, mur indiquant la direction de La Mecque est décoré avec du marbre, du stuc, et des mosaïques d’origine byzantine, avec un fond en or en bronze, en cuivre et en argent.
La tradition veut que la direction du mihrab, vers le sud-est, indique le fleuve Guadalquivir, par lequel l’émir Abderrraman Ier est arrivé depuis Damas après avoir échappé à ses assassins.
En fait, le tracé des nefs reprend l’orientation du quadrillage hippodamien des rues de la cité romaine.
Le patio des orangers, au nord de la mosquée correspond à l’ancienne cour où se trouvaient les bassins et installations pour les ablutions rituelles des musulmans.
Le minaret a été en partie rasé et enrobé dans un « coffrage » du XVIIe siècle.
Le minaret était une tour depuis laquelle le muezzin lançait chaque jour l’appel à la prière.
L’adresse est : Centro.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 10 ans, 7 € pour les 10 – 14 ans, 10 € pour les 15 – 26 ans, 13 € pour les 27 – 59 ans et 10 € à partir de 60 ans.
2. Alcazar de los Reyes Cristianos
L’Alcázar de los Reyes Cristianos a été construit par le roi Alphonse XI de Castille en 1328 sur des ruines wisigothiques et romaines.
Cette construction est presque rectangulaire aux longs murs de pierres taillées et flanquée de quatre tours aux angles (celles des Lions, de l’Hommage, de l’Inquisition et des Colombes).
À l’intérieur, les différentes dépendances se distribuent autour de patios aux belles fleurs exotiques, herbes aromatiques et arbres feuillus.
Les pièces et couloirs ont pour plafond des voûtes gothiques en pierre.
Dans une des galeries de l’entrée, on exhibe un sarcophage païen du premier quart du 3e siècle.
Son fronton montre un haut-relief sur l’allégorie du passage des défunts dans l’au-delà par une porte entrouverte.
De toutes les salles, une petite chapelle baroque se détache: le Salon des Mosaïques où sont exposées des mosaïques romaines provenant du sous-sol de la Corredera.
Sous cette salle se trouvent les bains, d’inspiration arabe, divisés en trois salles voûtées aux lucarnes en forme d’étoile.
Ces dernières communiquent avec la chaudière située sous la tour de l’Hommage.
Des deux patios, le Mudéjar attire l’attention par sa beauté et son dallage en marbre.
Le murmure de l’eau, qui coule dans les canaux et bassins, rafraîchit l’ambiance et détend le visiteur fatigué.
Les vastes jardins, entourant l’ensemble, donnent une idée de la monumentalité et splendeur de cet Alcazar cordouan.
L’adresse est : Plaza Campo Santo de los Mártires.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 13 ans, 2,25 € pour les 14 – 26 ans, 5 € pour les 27 – 64 ans et gratuit pour les 65 ans et +.
3. Medina Azahara
Medina Azahara, la fastueuse et mystérieuse ville qu’Abd-al Rahman III ordonna de construire aux pieds de la Sierra Morena, à huit kilomètres de la capitale, renferme, y compris dans son nom, des histoires légendaires.
La tradition populaire affirme que, après s’être autoproclamé calife en 929 après Jésus Christ et après huit ans de règne, Abd al Rahman III décida de faire construire une ville palatine en l’honneur de sa favorite, Azahara.
La ville est située sur trois paliers entourés d’une muraille, l’Alcazar royal étant situé sur le plus haut et l’intermédiaire.
La zone la plus basse était réservée aux logements et à la mosquée, construite en dehors des murs.
Les sources historiques signalent la participation de dix mille personnes travaillant quotidiennement à sa construction.
Abd al Rahman ne lésina pas sur les matériaux pour obtenir l’effet recherché avec de riches marbres violacés et rouges, de l’or et des pierres précieuses, plus le travail artisanal soigné des meilleurs tailleurs de pierre et les légendaires contributions byzantines.
Une partie de l’alcazar avait un caractère public et c’était le lieu où se succédaient les visites officielles.
Dans la partie la plus haute se trouve le Haut Salon, divisé en cinq nefs à arcades.
Plus bas se trouve le Salon Riche.
La salle se divise en trois nefs aux arcs de marbre rouge et bleu, les latérales étant fermés et la centrale ouverte.
La décoration de stucs (motifs végétaux taillés) et la richesse des matériaux ont déterminé le nom de cette très élégante enceinte, complétée par des bains et ouverte sur le Haut Jardin de grande beauté.
Ce jardin se divise en quatre zones dont le point d’intersection est occupé par un pavillon et quatre bassins.
L’un d’eux, face au Salon Riche est passé à la légende pour avoir été rempli de mercure et avoir baigné d’éclats de mille couleurs la grandiose enceinte.
Un ensemble de rues en pente raide nous conduit au grand portail oriental où arrivaient les grandes ambassades que le calife recevait.
Devant celui-ci s’étendait une grande place où se concentraient les troupes et le personnel des cérémonies protocolaires.
En dehors des murs de la médina se trouvait la mosquée, bâtie en un peu plus d’un mois.
L’adresse est : Carretera de Palma del Río.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 5 ans, 11 € pour les 5 – 12 ans et 22 € à partir de 13 ans.
4. Le musée archéologique
Le musée archéologique de Cordoue propose une collection très complète, de la Préhistoire au Moyen Âge.
On peut y admirer une importante collection consacrée à la préhistoire et à l’archéologie locales, à travers des pièces provenant des cultures ibère, romaine et wisigothe.
Les collections islamique, mudéjare, gothique et Renaissance sont également dignes d’intérêt.
Pour leur valeur historique et artistique, il convient de mentionner le lion ibère de Nueva Carteya et la sculpture romaine du dieu Mithra.
L’adresse est : Plaza Jerónimo Páez, 7.
Le prix d’entrée est gratuit pour tout le monde.
5. Casa de Sefarad
La Casa de Sefarad est un centre culturel également connu sous le nom de Maison de la Mémoire, situé dans le quartier juif de Cordoue.
Musée axé sur la tradition séfarade / judéo-espagnole, pour rappeler un symbole très important dans l’histoire de la ville de Cordoue.
Ses six salles aux thèmes différents vous emmèneront à la découverte de toute la culture juive, afin de comprendre leurs comportements, leur mode de vie et leurs pensées.
Salle I : Vie domestique
Un reflet de la vie quotidienne des Juifs à Cordoue.
Des ustensiles de tous les jours aux vêtements qu’ils utilisaient, en passant par une petite partie de la salle où sont exposés différents récipients en céramique et en métal.
Au bout de cette salle, vous trouverez une deuxième salle avec des vêtements et différents panneaux informatifs pour agrémenter la visite.
Salle II : La cour principale
Comme mentionné plus haut, les pièces s’articulent autour de cette cour principale de la Casa de Sefarad.
La cour est rectangulaire, avec de chaque côté des arcades triples en plein cintre sur des pilastres chanfreinés.
Le sol est recouvert des symboles les plus importants de la culture juive.
Elle est dotée d’un puits qui lui confère encore plus de symbolisme.
Salle III : Les femmes en Al-Andalus
Dédié aux femmes de l’époque d’Al-Andalus.
Des penseurs, des poètes et des chanteurs juifs, des œuvres de José Luis Muñoz, un artiste de la ville de Cordoue.
Les visages sont recréés avec un grand réalisme, et la salle est accompagnée de différents panneaux à caractère explicatif sur l’histoire de 5 femmes qui ont vécu et se sont distinguées à l’époque d’Al-Andalus.
Salle IV : Les cycles festifs
Dans cette salle, on peut voir différents objets et pièces artisanales qui étaient utilisés dans les célébrations et les traditions séfarades.
Elle est complétée par des panneaux d’illustration qui évoquent les principales fêtes de la culture juive, telles que Shabbat, Rosh HaShanah, Pesah, Hanukkah Hanukkah ou encore Purim Purim.
Salle V : Le quartier juif de Cordoue
Il illustre les différentes coutumes de la synagogue, la vie de la communauté juive et la religion du judaïsme.
Il comporte un plan illustratif du quartier juif datant du XIVe siècle, accompagné de photographies des lieux les plus représentatifs de ce quartier.
Salle VI : Musique sépharade
La musique est l’un des aspects les plus importants de la culture juive.
Dans les vitrines du musée, vous trouverez différents types d’instruments, principalement des percussions et des instruments à vent, qui remontent au XVIIe siècle et qui étaient typiques de la musique séfarade.
L’adresse est : calle Judios, angle Averroès.
Le prix d’entrée est de 4 € pour tout le monde.
Sans oublier :
Le quartier Juif (La Juderia), le cœur de la ville
La synagogue
La chapelle de San Bartolomé
Les écuries royales
La porte du Pont
Le pont romain
La Tour de la Calahorra
La Plaza de las tendillas
Le Temple romain
La Place de la Corredera
Le palais de Viana
Le Musée Julio Romero de Torrez
Le parc El Arenal
Les Baños Califales
Le jardin botanique
La JuderiaLa JuderiaLa synagogueLa synagogueLa chapelle de San BartoloméLa chapelle de San BartoloméLes écuries royalesLes écuries royalesLa porte du Pont Le pont romainLe pont romainLa Tour de la CalahorraLa Tour de la CalahorraLa Plaza de las tendillasLa Plaza de las tendillasLe Temple romainLe Temple romainLa Place de la CorrederaLa Place de la CorrederaLe palais de VianaLe palais de VianaLe Musée Julio Romero de TorrezLe Musée Julio Romero de TorrezLe parc El ArenalLes Baños CalifalesLes Baños CalifalesLe jardin botaniqueLe jardin botanique
Avant de choisir le bois pour la terrasse, il faut penser à plusieurs choses comme l’usage (autour d’une piscine ou moins exposée à l’eau), l’esthétique (coloris, apparence des planches), la durabilité et bien entendu le prix.
Voici quelques types de bois pour vous aider à choisir :
Le bois IPE
C’est un bois haut de gamme, très résistant, qui ne travaillera que très peu donc pas de soucis de planches gondolées.
Sa couleur de base est le brun naturel.
Il provient du Brésil et a une durabilité de plus de 25 ans.
Son prix est de +/- 110 € le m².
2. Le bois AFZELIA
C’est un bois fort cher mais comme le bois IPE, il est très résistant.
Sa couleur de base est le brun-jaune ou rouge-brun.
Il provient de l’Afrique Centrale et a une durabilité de plus de 25 ans.
Son prix est de +/- 130 € le m².
3. Le bois CUMARU
C’est un bois haut de gamme mais avec un prix très abordable pour tout le monde.
Sa couleur de base est le brun-jaune ou rouge-brun avec de fines veines sombres.
Il provient d’Afrique et a une durabilité de plus de 25 ans.
Son prix est de +/- 70 € le m².
4. Le bois ACCOYA
C’est un bois en pin radiata où les molécules d’eau ont été enlevées, ce qui le rend très stable.
Sa couleur de base est très pâle mais existe aussi en gris foncé.
Il provient de Nouvelle-Zélande et a une durabilité de plus de 50 ans.
Son prix est de +/- 110 € le m².
5. Le bois DOUGLAS
C’est un bois tendre qui doit impérativement être traité pour ne pas s’abimer trop vite.
Sa couleur de base est brun naturel.
Il provient d’Europe et a une durabilité de 10 – 15 ans.
Son prix est de +/- 55 € le m².
6. Le bois SAPIN AUTOCLAVE
C’est un bois en pin autoclavé traité avec un produit insecticide, fongicide et antipourriture mais il ne peut pas être mis autour d’une piscine.
Sa couleur de base est brun-vert.
Il provient d’Europe et a une durabilité de 10 – 15 ans.
Son prix est de +/- 45 € le m².
En ce qui concerne l’entretien de votre terrasse, il suffira d’appliquer un saturateur tous les 2 ans, ce qui permettra de garder l’aspect à l’achat.
Eplucher et couper les pommes de terre en tranches.
Eplucher et presser l’ail.
Dans un plat allant au four, mélanger les pommes de terre en tranches, l’ail, les graines de coriandre, les graines de cumin, le curcuma, le piment, un peu de sel et de l’huile.
Faire cuire pendant 45 minutes dans un four préchauffé à 185°C (Thermostat 6).
Dans un plat, mélanger le haché d’agneau avec les oeufs, la chapelure, le ras-el-hanout, le sel et le poivre.
Former des boulettes.
Les faire cuire dans une poêle avec un peu d’huile.
Ciseler le persil, l’aneth et la coriandre.
A la mandoline, couper le fenouil en tranches très fines et les arroser de jus de citron vert.
Mélanger les pommes de terre sorties du four avec les herbes ciselées, le fenouil, 3 cuillères à soupe d’huile, sel et poivre.
Sienne est une ville située en Toscane, au centre de l’Italie, qui se caractérise par ses bâtiments médiévaux en briques.
Surgie au sommet de trois collines, la ville est parcourue par de très grandes avenues et d’étroites ruelles, qui amènent au coeur de la ville et à tous les autres édifices importants culturellement.
Sienne est célèbre pour le Palio, la course historique des chevaux qui a lieu chaque année le 2 juillet et le 16 aout.
Elle compte 56.672 habitants pour 118,53 km².
Les incontournables à visiter à Sienne sont :
La Cattedrale di Santa Maria Assunta
La construction de la cathédrale de Sienne a commencé au 12e siècle.
Elle fut consacrée en 1179 en présence du pape siennois Alexandre III, mais les travaux se poursuivirent pendant environ deux siècles : Giovanni Pisano travailla également sur la façade à la fin du XIIIe siècle, en 1313 le clocher fut terminé.
La façade, réalisée en marbre blanc avec quelques décorations en rouge siennois et en serpentin de Prato, est divisée en deux moitiés :
La partie inférieure, réalisée par Giovanni Pisano dans un style romano-gothique
La partie supérieure, en style gothique Foretino, avec une belle rosace encadrée par des niches gothiques avec des bustes d’Apôtres et de Prophètes rendant hommage à la Vierge et à l’Enfant.
Toute la structure interne est dominée par le noir et le blanc, en référence aux couleurs des armoiries de Sienne.
L’intérieur de la Cathédrale est un véritable trésor de chefs-d’œuvre artistiques, à commencer par la chaire de Nicola Pisano (1265-68), l’une des œuvres sculpturales les plus importantes du XIIIe siècle italien.
Dans l’autel Piccolomini, vous pourrez admirer quatre sculptures anciennes de Michel-Ange :
Saint Pierre
Saint Paul
Saint Pie
Saint Augustin
Immédiatement après l’autel se trouve la Bibliothèque Piccolomini, construite en 1492 pour abriter la riche collection de livres rassemblés par le pape Pie II.
L’intérieur a été décoré de fresques par Pinturicchio, tandis que dans la chapelle de gauche, vous pouvez admirer le célèbre San Giovanni Battista de Donatello (1455).
Les huit statues de bronze qui ornent les piliers du chœur sont l’œuvre de Domenico Beccafumi.
Vous pourrez aussi admirer une copie du célèbre vitrail de Duccio di Buoninsegna, réalisé en 1288 : c’est le plus ancien vitrail historié de fabrication italienne.
L’œuvre la plus incroyable conservée dans la cathédrale de Sienne : le revêtement de sol en marqueterie de marbre.
Divisé en 56 panneaux, il montre des représentations qui répondent au dessin thématique homogène de l’Apocalypse.
Les panneaux les plus anciens datent de la seconde moitié du XIVe siècle, les derniers du XIXe siècle.
Le sous-sol réserve, lui aussi, des surprises : la crypte, qui n’a été découverte qu’en 1999, présente une salle entièrement peinte sur une surface murale de 180 mètres carrés représentant des épisodes de l’Ancien et du Nouveau Testament.
L’adresse est : Piazza del Duomo, 8.
Le prix d’entrée est de 9,50 € pour tout le monde.
2. Torre del Mangia
La Torre del Mangia est l’une des tours les plus célèbres de Toscane.
Avec ses 87 mètres (102 en comptant le paratonnerre), c’est la troisième plus haute tour antique d’Italie.
Elle a été construite de 1338 à 1348, en brique avec un couronnement et un beffroi en pierre, avec une architecture légère et élégante qui porte le nom de son premier sonneur de cloches.
Giovanni di Balduccio était en effet connu pour dilapider l’argent, notamment pour la bonne chère, et fut surnommé Mangiaguadagni, plus tard raccourci en Mangia.
Bien que sa tâche fût de courte durée, car en 1360 la première horloge mécanique fut installée, son surnom resta attaché à la Tour.
La partie supérieure de la tour en travertin est l’œuvre du sculpteur siennois Agostino di Giovanni, sur un projet de Lippo Memmi.
En 1666, après plusieurs tentatives de fusion, on installa une grande cloche que les Siennois appelèrent Campanone, également appelée Sunto car elle était dédiée à Notre-Dame de l’Assomption.
Si vous voulez profiter d’une vue unique sur toute la ville de Sienne, il vous suffit de grimper au sommet de la Torre del Mangia, en franchissant plus de 300 marches, effort récompensé par une vue inoubliable.
L’adresse est : Il Campo, 1.
Le prix d’entrée est de 10 € pour tout le monde.
3. Museale Santa Maria della Scala
Le musée Santa Maria della Scala est une étape incontournable pour ceux qui visitent la ville du Palio, car il conserve extraordinairement bien les témoignages de mille ans d’histoire, avec un parcours qui part de l’époque étrusque et romaine, passe par le Moyen-Âge et arrive à la Renaissance.
Il s’étend sur plusieurs niveaux :
Au rez-de-chaussée, vous pourrez admirer les vestiges de l’âge d’or du Santa Maria della Scala, lorsqu’il était le plus ancien et le plus grand hôpital de la Via Francigena, offrant hospitalité et soins aux pèlerins en route pour Rome et soutenant les pauvres et les enfants abandonnés.
Vous pourrez y admirer l’extraordinaire Sala del Pellegrinaio (salle des pèlerins), avec des fresques du XVe siècle auxquelles Domenico di Bartolo a également travaillé et qui représentent les missions de l’hôpital et la vie quotidienne de l’époque, comme la distribution des aumônes ou l’accueil et le mariage d’une orpheline qui a grandi à l’hôpital.
Sans oublier l’ancienne sacristie avec des peintures de Lorenzo Vecchietta, la Cappella del Manto avec la lunette de Domenico Beccafumi, la Cappella della Madonna et l’église de la Santissima Annunziata.
En descendant à l’étage inférieur, on arrive à la Corticella, véritable carrefour des parcours du Santa Maria, surplombée par le Fienile médiéval (grange à foin médiévale), où sont conservées les statues originales sculptées par Jacopo della Quercia pour la Fonte Gaia, la fontaine de la Piazza del Campo.
L’adresse est : Piazza del Duomo, 3.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 11 ans, 6,50 € pour les 12 – 19 ans, 8 € pour les 20 – 64 ans et 6,50 € pour les 65 ans et +.
4. Forteresse Médicéenne
Au milieu du XVIe siècle, sur ordre du roi Charles V de Habsbourg, l’armée espagnole a érigé une forteresse appelée « Cittadella », dans le but de soumettre les Siennois à la domination impériale.
En 1552, les travaux n’étaient pas encore achevés, et lorsque le peuple de Sienne se souleva, il parvint à chasser l’armée espagnole et à détruire la Cittadella, symbole de la puissance ennemie.
Quelques années plus tard, la guerre avec les Espagnols d’un côté et l’armée florentine de l’autre a conduit à la reddition de la ville.
Sur ordre de Cosme Ier de Médicis, la forteresse est reconstruite, dans le but de faire taire toute tentative de rébellion : les travaux, qui lui donnent son aspect actuel, se déroulèrent de 1561 à 1563.
La Forteresse Médicéenne possède un plan quadrangulaire, avec quatre bastions pentagonaux.
Les bastions, orientés vers les points cardinaux, portent les noms de :
La Madonna
San Domenico
San Filippo
San Francesco.
Ils conservent les armoiries de la famille Médicis.
Imposant et majestueux, le bâtiment possède un périmètre extérieur de 1 500 mètres.
Les jardins situés devant La Lizza mènent à l’entrée, où se trouvait autrefois un pont-levis.
Il est possible de se promener le long des anciennes murailles et des remparts, entourés d’avenues bordées d’arbres avec des bancs.
Un petit parc y a également été aménagé pour les activités sportives.
L’adresse est : Piazza della Libertà, 14.
Le prix d’entrée est : gratuit pour les – de 11 ans et 10 € à partir de 12 ans.
5. Casa di Santa Caterina
La Catherine de Sienne était la sainte patronne de la ville.
Catharina Benincase était la fille d’un marchand et dès l’âge de huit ans, elle décide de consacrer sa vie à la religion chrétienne.
Elle avait de nombreuses visions, ce qui a fait d’elle la source d’inspiration de nombreux artistes.
Catherine est décédée à Rome et a été canonisée peu après.
La Casa di Santa Catharina est la maison où la pieuse dame a grandi.
Elle se distingue par ses cloîtres et ses chapelles.
Une église a été construite dans le verger en 1623 et sa maison est décorée de peintures de la vie de Catherine.
L’adresse est : Costa Sant’Antonio, 6.
Le prix d’entrée est gratuit pour tout le monde.
Sans oublier :
Piazza del Campo
Palazzo Pubblico
Basilica Cateriniana di San Domenico
Pinactoteca Nazionale
Basilique San Francesco
La Basilique Santa Maria dei Servi
Azienda Agricola La Lastra
Palio di Siena
Piazza del Mercato
All’Orto de’ Pecci
Battistero di San Giovanni
Museo dell’Opera Metropolitana
Fontebranda
Musées d’histoire naturelle
Fonte Gaia
Museo della Tortura
Piazza del CampoPalazzo PubblicoPalazzo PubblicoBasilica Cateriniana di San DomenicoBasilica Cateriniana di San DomenicoPinactoteca NazionalePinactoteca NazionaleBasilique San FrancescoBasilique San FrancescoLa Basilique Santa Maria dei Servi La Basilique Santa Maria dei Servi Azienda Agricola La LastraAzienda Agricola La LastraPalio di SienaPalio di SienaPiazza del MercatoPiazza del MercatoAll’Orto de’ PecciAll’Orto de’ PecciBattistero di San GiovanniBattistero di San GiovanniMuseo dell’Opera MetropolitanaMuseo dell’Opera MetropolitanaFontebrandaFontebrandaMusées d’histoire naturelleMusées d’histoire naturelleFonte GaiaFonte GaiaMuseo della TorturaMuseo della Tortura
Oter les parties dures du chou et émincer le reste finement.
Ciseler les cœurs de laitue.
Ciseler la ciboulette.
Mélanger le tout dans un grand saladier.
Dans une poêle à sec, faire griller les tranches de jambon.
Les faire sécher sur du papier absorbant.
Couper les filets de dinde en lanières.
Les enfiler sur des piques à brochettes et les assaisonner avec les épices pour poulet, sel et poivre.
Faire cuire les brochettes à la poêle dans un peu d’huile.
Eplucher l’ail.
Mixer au robot l’ail, le parmesan râpé, les filets d’anchois, le jus de citron, la mayonnaise, le yaourt, la moutarde, la sauce Worcestershire, le sel et le poivre.
Conseil de présentation : Répartir la salade dans 6 assiettes, ajouter le jambon croustillant et les brochettes, napper de vinaigrette et terminer avec les copeaux de parmesan.
Elle habille les murs et les sols de nos maisons depuis des années.
En effet, la pierre naturelle est un matériau de construction universel et intemporel.
Aujourd’hui, elle se décline en objets de déco, cela apporte du cachet à l’intérieur.
Voici quelques conseils afin de l’intégrer au mieux à son intérieur :
Pour les murs, on évite de surcharger surtout si la pièce est petite. Plutôt que faire le mur entier, on opte pour un pan de mur.
Pour les sols, la pierre bleue donne un cachet évident.
Pour le plan de travail, on privilégie le granit. En effet, il est solide, résistant à la chaleur et aux rayures. On peut aussi mettre du quartz, c’est plus cher mais offre une plus grande variété de couleurs que le granit.
Pour la salle de bain, on peut intégrer des vasques en marbre qui apporteront un chic indéniable. L’onyx est également utilisé mais comme le marbre, c’est très cher. On peut donc se tourner vers les galets et pierres de rivière qui vont du gris-beige au noir plus intense.
Pour le salon, la grande tendance est la table basse en travertin qui est une pierre aux tons chauds jaune-orange. On la trouve sous différents formats : ronde, ovale, carrée ou rectangulaire.
Pour les objets déco et ajouter une touche d’authenticité, on va privilégier des vases ou des luminaires. Cela donne de la chaleur à la pièce.