Dans un saladier, mélanger le haché, 5 branches de thym effeuillées, les canneberges, 60 gr de noix, 2 oeufs, 3 cuillères à soupe de chapelure, saler et poivrer.
Former un pain de viande.
Le mettre dans un plat allant au four et disposer 2 cuillères à soupe de beurre sur le dessus.
Couper le butternut en deux et retirer les pépins.
Les inciser à intervalles réguliers sans couper jusqu’en bas.
Dans un plat allant au four, déposer les deux morceaux de butternut avec la peau en haut.
Asperger de 5 cuillères d’huile, de sel et de poivre.
Poser 5 branches de thym effeuillées sur le dessus.
Faire cuire le pain de viande et le butternut pendant 50 minutes dans un four préchauffé à 190°C (Thermostat 6).
Eplucher les pommes de terre.
Les faire cuire dans une casserole d’eau bouillante.
Ecraser en purée, saler, poivrer.
Ajouter un peu de noix de muscade, 60 gr de beurre, 3 oeufs entiers et 3 jaunes.
Dans une assiette creuse, mettre 120 gr de chapelure.
Dans une deuxième assiette creuse, mettre les 3 blancs d’oeufs.
Dans une troisième assiette creuse, mettre les amandes.
Confectionner de petites boules avec la purée.
Les faire rouler dans la chapelure, puis les blancs d’oeufs et enfin les amandes.
Faire cuire les croquettes dans une friteuse à 180°C pendant 5 minutes.
Eplucher les oignons et les couper en deux.
Les faire dorer dans une poêle huilée.
Déglacer avec le vinaigre quand ils sont cuits et laisser mijoter pendant 3 minutes, saler et poivrer.
Garnir le pain de viande avec les oignons et le reste des noix.
Servir avec le butternut et les croquettes aux amandes.
Naples est une ville d’Italie, chef-lieu de la région de Campanie.
Elle est la troisième ville d’Italie par sa population avec 913.462 habitants pour 119,02 km².
Naples se trouve au sud-ouest de l’Italie, à 230 km au sud-est de Rome, à mi-chemin entre deux régions volcaniques, celle du Vésuve et celle des champs Phlégréens.
Les incontournables à visiter à Naples :
Le Palais Royal
La construction du palais royal de Naples est confiée vers 1600 à Domenico Fontana, sur commission du comte de Lemos, Fernando Ruiz de Castro Andrade y Portugal alors vice-roi de Naples.
Avec son encombrement gris et rouge surplombant la Piazza Plebiscito et le golfe, c’est une véritable porte de ville vers la mer.
À l’intérieur de ce bâtiment imposant et strict, il y a une série d’arcades, de cours et de jardins qui mènent à des espaces autrefois occupés par la cour et aux nombreuses fonctions de service d’un palais.
Aujourd’hui, ces fonctions ont été remplacées par un musée et d’autres instituts culturels (la Bibliothèque nationale, le Teatro di San Carlo).
Dans les appartements historiques, les peintures, les marbres, les stucs, les dindes et le mobilier précieux racontent la vie des occupants du Palais et avec eux de nombreux points forts de l’histoire de l’Italie et de l’Europe.
Il comprend beaucoup de salles, à savoir :
Escalier d’honneur
Déambulatoire
Théâtre de la Cour
Première antichambre ou salle diplomatique
Salle néoclassique
Deuxième antichambre
Troisième antichambre
Salle du trône
Passetto du Général
Salon des Ambassadeurs
Chambre de Maria Cristina
Oratoire
Salle du Grand Capitaine
Salle des Flamands
Studio del Re
Salle du corps des Gardes
Premier salon de la Reine
Deuxième salon de la Reine
Troisième salon de la Reine
Quatrième salon de la Reine
Première antichambre de la Reine
Deuxième antichambre de la Reine
Vestibule
Salle de Don Quichotte
Appartement privé de la Reine
Premier Passetto
Alcôve de Marie Amélie de Saxe
Passetto Boudoir de la Reine
Galerie et Salon d’Hercule
Chapelle Palatine
Galerie souterraine
L’adresse est : Piazza del Plebiscito, 1.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans, 2 € pour les 18 – 24 ans et 10 € à partir de 25 ans.
2. Le castel nuovo
Le château a été construit sous la commande du roi Charles Ier d’Anjou, puis modernisé par Alphonse V d’Aragon au cours du XVe siècle.
Imposant de loin, le Castel Nuovo possède cinq tours reliées par d’insurmontables murailles et un immense fossé entourant la fortification.
Une fois à l’intérieur, peu d’éléments originaux du XIVème siècle sont conservés.
L’une des parties les plus anciennes que l’on peut voir est la Capella Palatina, une petite église située dans la cour du château où de belles fresques sont encore présentes.
Au cours de la visite du château, vous découvrirez la monumentale Sala dei Baroni, où ont lieu actuellement des expositions et des événements culturels, et le musée civique de la ville, où sont exposées différentes œuvres.
L’adresse est : Via Vittorio Emanuele III.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans et 6 € pour les 18 ans et +.
3. La Chapelle Sansevero
La chapelle Sansevero a été construite sous les ordres de l’épouse du premier prince de Sansevero, Adriana, après un événement tragique au cours duquel son fils fut brutalement poignardé à mort par le mari de sa petite amie.
Le crime ébranla toute la ville pour son caractère violent, puisque, après avoir été poignardés, les amants furent jetés dans la rue où furent dévorés par les animaux errants.
En 1610, la chapelle fut rénovée pour devenir le panthéon de la famille, mais ses belles et expressives sculptures rappellent aujourd’hui encore son origine dramatique.
Le centre de la chapelle s’articule autour d’une spectaculaire statue d’un Christ mort datant du milieu du XVIIIe siècle.
Cette sculpture attire tous les regards et vous comprendrez pourquoi sur place.
La chapelle présente des sculptures allégoriques telles que la « La Désillusion » de Queirolo ou la Statue voilée de Corradini.
Vous resterez sans voix devant le réalisme de ces toiles de marbre.
Dans la crypte de la chapelle il y a une exposition assez particulière à l’intérieur de laquelle vous pouvez voir un homme, une femme et un fœtus avec des organes vitaux et le système circulatoire.
La légende raconte que pour mieux connaître le corps humain, des expériences de recherche macabres furent menées ici.
L’adresse est : Via Francesco de Sanctis, 19/21.
Le prix d’entrée est gratuite pour les – de 10 ans, 5 € pour les 10 – 25 ans et 8 € à partir de 26 ans.
4. Le monastère de Santa Chiara
Le monastère Complesso Monumentale di Santa Chiara a été construit au XIVe siècle (de 1310 à 1340) sur ordre du roi Robert d’Anjou et de son épouse Sanscha de Majorque.
Aujourd’hui, l’église présente toujours le même style gothique.
Elle présente une façade simple avec une ancienne rosace et une frise, et c’est surtout le lieu où est enterré le roi de Naples et de Sicile.
Dans le Complexe muséal di Santa Chiara, vous trouverez des fresques représentant des scènes de l’Ancien Testament.
Le complexe muséal Santa Chiara est immense, il comprend une basilique, deux couvents, un cloître, un musée et une zone de fouilles archéologiques.
L’adresse est : Via Santa Chiara.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 7 ans, 4 € pour les 7 – 17 ans, 7 € pour les 18 – 64 ans et 5 € à partir de 65 ans.
5. Le musée archéologique
Le musée archéologique est divisé en quatre étages, avec un espace dédié à la collection Farnèse.
À l’étage supérieur se trouve une salle qui attire tous les regards des visiteurs du musée. Il s’agit du salon du cadran solaire.
À cet étage vous découvrirez également des collections dédiées à Pompéi et à Herculanum dans lesquelles vous pourrez voir de nombreux éléments sauvés des cendres.
Vous comprendrez l’ampleur des dégâts causé il y a des années par le Vésuve.
La collection du musée est complétée par des expositions consacrées au monde égyptien et une vaste collection de pièces de monnaie et de médailles.
L’une des plus importantes du monde dans son style.
L’adresse est : Piazza Museo, 19.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans, 7,50 € pour les 18 – 24 ans et 18 € à partir de 25 ans.
Sans oublier :
La Via San Gregorio Armeno
Le château l’Œuf
Spaccanapoli
La Galleria Umberto I
La Cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption
La Via Toledo
La place du plébiscite
La Basilique San Francesco di Paola
Les souterrains de Naples
Le Teatro San Carlos
La Basilique San Lorenzo Maggiore
L’église San Domenico Maggiore
La Via dei Tribunali
Le musée de Capodimonte
Le parc archéologique de Pompéi
Le Vésuve
Le marché de Posillipo
La Via San Gregorio ArmenoLa Via San Gregorio ArmenoLe château l’ŒufLe château l’ŒufSpaccanapoliSpaccanapoliLa Galleria Umberto ILa Galleria Umberto ILa Cathédrale Notre-Dame-de-l’AssomptionLa Cathédrale Notre-Dame-de-l’AssomptionLa Via ToledoLa Via ToledoLa place du plébisciteLa place du plébisciteLa Basilique San Francesco di PaolaLa Basilique San Francesco di PaolaLes souterrains de NaplesLes souterrains de NaplesLes souterrains de NaplesLe Teatro San CarlosLe Teatro San CarlosLa Basilique San Lorenzo MaggioreLa Basilique San Lorenzo MaggioreL’église San Domenico MaggioreL’église San Domenico MaggioreLa Via dei TribunaliLa Via dei TribunaliLe musée de CapodimonteLe musée de CapodimonteLe parc archéologique de PompéiLe parc archéologique de PompéiLe VésuveLe VésuveLe marché de Posillipo Le marché de Posillipo
Pas besoin d’habiter dans un pays chaud pour profiter d’une plante tropicale…
Voici quelques plantes d’ailleurs mais qui poussent parfaitement ici :
L’agapanthe
C’est une plante majestueuse venue d’Afrique du Sud.
Issue de bulbes, elle déploie de majestueuses tiges florales aux tons bleu, blanc ou mauve et qui mesure plus d’un mètre.
Les bulbes sont à planter au printemps dans un sol riche et bien drainé en plein soleil.
C’est une plante qui demande de fréquents arrosages.
Pour une floraison abondante, il faut couper les tiges fanées à ras.
Elle résiste jusqu’à – 5 °C donc ne pas hésiter à la pailler pour l’hiver.
2. Le palmier
Il existe des variétés qui supportent très bien le froid, à savoir :
Chamaerops humilis (-12 °C)
Trachycarpus fortunei (-17 °C)
Jubaea chilensis (-15 °C)
Washingtonia filifera (-12 °C)
Phoenix theophrasti (-10 °C)
Il est à planter au printemps dans une terre parfaitement drainée en plein soleil.
Il demande un arrosage régulier.
Il ne demande pas beaucoup d’entretien, uniquement ôter les palmes mortes en fin d’hiver.
La première année, il est prudent de l’entourer d’un voile d’hivernage.
3. Le kiwi
Afin d’avoir une bonne récolte des fruits, il est primordial d’associer un sujet femelle, porteur de fruits, avec un sujet mâle, pollinisateur.
Il est à planter en hiver en ajoutant du compost dans le trou, contre un mur exposé à l’ouest ou au sud.
Il demande un arrosage régulier.
L’été, il faut pincer les rameaux porteurs de fruits à 4 feuilles au-dessus des derniers bourgeons de fruits et tailler les gourmands.
Les fruits se récoltent en octobre.
En hiver, il faut le tailler sévèrement.
Il résiste jusqu’à – 15 °C.
4. Le bananier
Avec notre climat, la seule variété qui résiste est le Musa basjoo (-12 °C).
Il est à planter au printemps dans un sol drainé, au soleil mais à l’abri des vents forts.
Il est primordial de le maintenir humide et d’ajouter de l’engrais une fois par mois au printemps et en été.
Pour l’hiver, il faut entourer la plante d’un grillage d’un mètre rempli de feuilles, de paille, de fougères sèches.
Il est aussi important de recouvrir le haut de la plante avec un voile d’hivernage et une bâche par-dessus afin que l’eau ne pénètre et fasse pourrir le bananier.
5. Le citronnier
Avec notre climat, le seul moyen de conserver le citronnier est de le cultiver en pot.
Il nécessite du terreau pour agrumes afin de bien se développer ainsi que des billes d’argile dans le fond du pot.
Il aime la chaleur et réclame un peu d’humidité et de l’engrais une fois par mois au printemps et en été.
Il est important de le rentrer en hiver (serre froide ou véranda) car il ne supporte pas le gel (Max – 3 °C).
6. L’olivier
C’est un arbre d’origine méditerranéen mais qui résiste aux gelées (jusqu’à – 10 °C).
En pleine terre, il demande un sol bien drainé et assez profond, au soleil et à l’abri des vents forts.
Il résiste aussi très bien en pot.
Il demande un léger apport d’eau en été.
En hiver, il faut pailler le pied de l’arbre.
7. Le chêne vert
C’est un arbre d’origine méditerranéenne qui est très résistant aux maladies, à la sécheresse mais aussi au froid.
Il est à planter en automne dans un sol frais et bien drainé, à un endroit ensoleillé ou semi-ombragé.
Il est important de maintenir le sol frais mais sans excès d’humidité les premiers étés pour lui permettre un bon départ.
Les trois premières années, avant l’hiver, il est primordial de pailler le sol.
8. La vigne
La vigne a besoin d’un support pour grimper, peu importe la nature du sol, il faut juste qu’il soit drainant.
Il est recommandé de l’arroser une fois par semaine en période sèche les 3 premiers étés.
De même, la vigne est sensible aux maladies, il est donc recommandé de la pulvériser avec de la bouillie bordelaise ou du purin de prêle régulièrement.
Au printemps, une taille au-dessus du 2ème bourgeon est nécessaire pour favoriser le départ de deux rameaux.
Un bon paillage est suffisant pour l’hiver.
9. Le figuier
Le figuier est l’une des rares plantes mentionnées comme présentes dans le jardin d’Eden.
De novembre à fin mars, il s’adapte à tous les sols mais préfère une terre calcaire.
Il faut le planter avec un lit de gravier au fond du trou et dans un mélange terre – terreau dans un endroit ensoleillé et à l’abri des vents.
Pour qu’il porte de beaux fruits, il faut l’arroser régulièrement et ajouter une fois par mois de l’engrais organique.
Au printemps, il faut couper au-dessus du deuxième œil les pousses de l’année.
En automne, il est important de couper les rameaux qui ont fructifié.
Les trois premières années, il a besoin d’un bon paillage.
Avec toutes ces idées, votre jardin aura un goût d’exotisme…
Lorsque l’horloge biologique s’affole et aucun père potentiel à l’horizon, beaucoup de femmes ont recours à la PMA (Procréation Médicalement Assistée) en solo.
C’est un parcours qui n’est pas simple mais qui en vaut la peine.
En Belgique, la limite d’âge d’une PMA est de 45 ans.
De même, la législation belge actuelle impose l’anonymat du donneur à l’exception du don dirigé (quand la patiente amène un donneur connu).
Quels sont les étapes de la PMA ?
La première étape consiste en une consultation initiale avec un médecin spécialisé du centre PMA.
La deuxième étape consiste à subir une série de tests médicaux pour évaluer votre fertilité (analyses de sang, échographies pelviennes et d’autres examens pour déterminer la qualité de vos ovules).
La troisième étape consiste à recevoir l’avis favorable d’un psychologue (Uniquement pour les femmes seules, les couples non).
La quatrième étape consiste à choisir un donneur.
Vous pourrez alors commencer le traitement.
Les détails spécifiques du processus peuvent varier en fonction du centre de PMA.
Il est donc vivement recommandé de consulter un professionnel de la PMA pour obtenir les informations précises sur les étapes à suivre.
Voici quelques conseils avant de vous lancer dans un processus de PMA :
Bien s’entourer : La PMA en solo est un grand 8 émotionnel. Les femmes peuvent se sentir très seules et incomprises. Il est donc primordial d’avoir des personnes repères à qui parler des émotions qui vous traversent (Famille, amis, psychologue, groupe de paroles, …).
Bien se renseigner : Il est très important de se renseigner sur les différentes options disponibles et les spécificités de chaque centre PMA.
Rester sur votre choix : Lorsqu’il vous arrive de douter ou d’être découragée, il est primordial de ramener son attention et ses pensées sur les raisons de ce choix.
Demander de l’aide : N’hésitez pas à échanger avec vos proches de votre projet et demandez-leur de vous accompagner ou de vous soutenir émotionnellement avant, pendant et après la PMA.
Garder en tête que les schémas familiaux ont évolué : Choisir ce parcours peut vous faire sentir hors normes mais la société à évoluer. En effet, les femmes s’émancipent beaucoup plus et ne dépendent plus financièrement d’un homme comme il y a 50 ans.
Nourrir vos besoins de maternité : Le processus de PMA peut être long, éprouvant et amener des sentiments d’injustice, de colère et de déception lorsque cela ne fonctionne pas du premier coup. Laissez exprimer votre besoin de materner en prenant soin des gens qui vous entourent et surtout, en prenant soin de vous-même.
Faire un bébé toute seule n’est pas facile tous les jours mais amène tellement de bonheur !
En 2020, elle comptait 79.308 habitants pour 12,56 km².
Les températures restent très homogènes dans l’année avec une moyenne de 24°C à 31°C.
La moyenne des précipitations est 2.337 mm avec un pic entre avril et novembre.
Septembre est le mois le plus pluvieux avec 419,1 mm en moyenne.
Le 26 décembre 2004 à 7h58 heure locale, un séisme d’une magnitude de 9,3 dans l’océan Indien provoqua un tsunami d’une ampleur jamais observée auparavant.
A 8h30, ce tsunami frappa les côtes de Thaïlande, avec deux vagues successives qui détruisent plus de 90% des habitations et hôtels de la côte et provoqua la mort de plus de 220 000 personnes.
Les incontournables à visiter à Phuket sont :
Le Wat Chalong
Le Wat Chalong est le temple bouddhiste le plus important de la péninsule de Phuket.
Construit au 19ème siècle selon l’architecture typique de ses homologues du sud de la Thaïlande, les habitants s’y réunissent pour prier et faire des offrandes au Buddha.
Le Chedi est le bâtiment principal du temple du Wat Chalong.
Construit en 2004, c’est le bâtiment le plus récent de l’enceinte religieuse.
Construit en marbre blanc, il mesure environ 60 mètres de haut.
Il est orné de sculptures dorées et de décorations qui représentent des scènes de la vie antérieure du Bouddha. On les appelle les scènes du Jataka.
A l’intérieur du Chedi, il y a une relique du Buddha, appelée Phra Borom Sareerikatat, au troisième étage.
C’est un fragment d’os ramené du Sri Lanka en 1999, qui a été installé au Wat Chalong en 2002 durant une cérémonie célébrée par le prince héritier Maha Vajiralongkorn.
N’hésitez pas à monter jusqu’à tout en haut du Chedi pour profiter d’une vue panoramique sur toute l’enceinte du temple.
Au loin, vous pourrez même apercevoir le Big Buddha de Phuket.
Le Viharn, ou salle des sermons, est la première salle que vous pourrez apercevoir en entrant dans l’enceinte depuis la Chaofa Road, une des routes principales de Phuket.
Elle abrite les statues des deux moines vénérés ici : Luang Pho Chaem et Luang Pho Chuang.
Les bouddhistes prient devant elles en les recouvrant de feuille d’or pour tenter de se faire bénir par ces moines.
Ils accrochent également des cordelettes autour de leur poignet pour se protéger des maladies et des blessures.
En vous promenant dans le Wat Chalong de Phuket, vous serez surpris d’entendre des explosions, provenant d’un four en brique présent au cœur du temple.
Les pétards sont en fait une forme d’offrande (que vous pourrez acheter sur place) qui permettent de montrer sa gratitude aux divinités lorsqu’un vœu a été réalisé.
Pas de panique donc si vous entendez de grosses détonations, ce sont juste des remerciements !
Vous pourrez profiter du calme des allées et des jardins du Wat Chalong de Phuket pour vous promener à l’ombre de la végétation et admirer les détails et les sculptures des différents édifices religieux.
Vous découvrirez de nombreux bâtiments, comme :
Le mondop
Le ubosot
Le sala
Ils ont tous une fonctions particulières dans la religion bouddhiste.
Comme dans tous les temples bouddhistes de Phuket, il est nécessaire d’adopter une tenue appropriée pour visiter le Wat Chalong de Phuket.
Pour les femmes, les épaules et les jambes doivent être couvertes, au minimum jusqu’aux genoux.
Les hommes devront adopter une tenue respectueuse mais les règles sont moins strictes.
Les chaussures ne sont jamais autorisées à l’intérieur et vous devrez les enlever avant d’entrer dans chaque bâtiment religieux.
L’adresse est : 70/6, route Chao Fah Tawan Tok.
L’entrée est gratuite pour tous.
2. Le Grand Bouddha
Le Grand Bouddha de Phuket est une statue de marbre blanc de 45 mètres de haut.
Ce monument impressionnant est probablement au sommet de l’attention de tous.
Un grand escalier mène aux statues de Bouddha.
Notez que les escaliers sont uniquement destinés à monter ; vous n’êtes pas autorisé à les descendre.
Il y a un chemin séparé pour descendre à flanc de colline, et un agent de sécurité qui y reste toute la journée s’assure que les gens respectent cette règle.
Il y a 94 marches pour atteindre le Grand Bouddha et les gravir est relativement facile.
Quelques marches vers l’ouest, un autre petit escalier vous mènera à une terrasse d’où vous aurez une belle vue sur la baie de Kata et la baie de Kata Noi.
En descendant, vous traverserez un temple où les moines s’assoient toute la journée pour donner des bénédictions et organiser des cérémonies occasionnelles, principalement pour les visiteurs locaux.
Ici aussi, les gens donnent de l’argent au temple et achètent des amulettes.
Ce lieu fait également office de musée racontant l’histoire de la construction du Grand Bouddha.
Vous pouvez acheter des collations et des boissons tout au long du parcours, mais aucun alcool n’est autorisé.
Le Grand Bouddha de Phuket a vu le jour en 2004 lorsque la première pierre a été posée par le général Phijit Kulawanich, conseiller privé, le 22 mai 2002.
Le nom officiel est « Bouddha Phraphutthamingmongkhol-akenagakhiri », ce qui signifie « Bonheur au sommet de la montagne Nakerd ».
Une tenue correcte est exigée.
L’adresse est : Karon, Mueang Phuket District.
L’entrée est gratuite pour tous.
3. Le Phuket Elephant Sanctuary
C’est le premier sanctuaire d’éléphants à Phuket.
Ouvert en 2016, il fait office de refuge pour les éléphants à la retraite, malades, blessés, fatigués ou tout simplement en fin de vie.
C’est une sorte de maison de retraite pour éléphants où ces derniers jouissent d’une liberté totale établie sur un terrain de 10 hectares de jungle tropicale luxuriante..
Promenez-vous, admirez-les et nourrissez-les d’ananas et de bananes. Observez-les tandis qu’ils parcourent librement le domaine du sanctuaire, se socialisent entre eux et se baignent dans des grands bassins d’eau douce, tout en se couvrant d’une boue épaisse, comme ils le feraient à l’état sauvage.
Le sanctuaire des éléphants de Phuket est axé sur les éléphants « à risque » qui ont travaillé auparavant toute leur vie dans le tourisme et l’exploitation forestière.
De plus, l’accent est vraiment mis sur la liberté des éléphants où c’est le visiteur qui doit s’adapter à leur train de vie et non l’inverse.
L’adresse est : 100, Moo 2, Paklok, Thalang.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 4 ans, 1.800 THB (+/- 45,75 €) pour les 4 – 10 ans et 2.400 THB (+/- 61 €) à partir de 11 ans.
La visite dure 4 h le matin ou l’après-midi…
4. Le musée Thai Hua
Le musée Thaï Hua est dans un manoir de style colonial britannique de 1934 présentant l’histoire des premiers immigrants chinois en Phuket.
Ce bâtiment longtemps négligé était autrefois la plus ancienne école de langue chinoise de Phuket.
Vous découvrirez toutes les personnalités importantes qui ont influencé le cours de l’histoire de Phuket au cours des siècles passés, y compris plusieurs familles chinoises encore importantes aujourd’hui.
Découvrez ce qui les a amenés à Phuket et quel était le commerce dans le passé, fortement influencé par l’exploitation minière de l’étain.
Le musée Thai Hua a été construit en 1917 et était autrefois une école appelée d’abord « école Phuket Huabun », puis « école Ratjunhua », jusqu’à ce qu’elle reçoive son nom actuel « école Thai Hua ».
Le musée consacre une grande section au vieux Phuket sino-portugais et à l’architecture des nombreuses belles demeures mais aussi comment les gens ont construit et géré des restaurants, des magasins et même une maquette à l’échelle d’un magasin sino-portugais typique et visitent une salle de classe du passé.
Une salle décrit tous les événements et festivals importants de Phuket tels que le célèbre et bizarre Festival végétarien de Phuket et comment tout a commencé en 1825.
L’adresse est : 28 Krabi Road, Phuket Town, Talat Nuea, district de Mueang Phuket.
Le prix d’entrée est de 200 THB (+/- 5 €) pour tous et 200 THB supplémentaire si vous souhaitez prendre des photos.
5. Le sanctuaire de la lumière sereine
Le sanctuaire de la lumière sereine, appelé Ting Kwan Tang en chinois et Saeng Tham en thaï, a été construit en 1889 par une famille chinoise et possédait initialement deux entrées cachées.
L’entrée principale était une porte étroite d’apparence anonyme menant à une passerelle anonyme et délabrée située sur Phang Nga Road, non cachée, mais personne ne prêtait attention à ce qu’il y avait derrière.
La deuxième entrée, cependant, était plus amusante : elle se cachait derrière les toilettes d’un restaurant local appelé Wilai.
Niché au fond d’une ruelle, ce sanctuaire pittoresque s’orne :
de gravures murales taoïstes
d’un plafond voûté taché par les volutes d’encens
d’un autel décoré de fleurs coupées et de bougies.
L’adresse est : 72/1 Yaowarat Rd, Amphoe Mueang Phuket.
L’entrée est gratuite pour tous.
Sans oublier :
Patong
La Thalang Road
Le manoir du « Blue Elephant Mansion »
Le sanctuaire Jui Jui
La Clock Tower
Le Phuket Museum
La Phang Nga Road
Le sanctuaire Bang Niew
Le musée de la philatélie
Faire du tubing
Faire du rafting
Faire du quad
Faire du buggy
Faire de la tyrolienne au Flying Hanuman
Le marché du dimanche
Le Chillva Night Market Phuket
Le Buntai Market
Monkey Hill
Cascade de Bang Pae
Freedom Beach
Kata Beach
La plage de Karon
Nai Harn Beach
Laem Singh Beach
La plage de Ya Nui
La plage de Kamala
La plage de Surin
La plage de Bangtao
Banana Beach
PatongPatongLa Thalang RoadLa Thalang RoadLe manoir du « Blue Elephant Mansion »Le sanctuaire Jui JuiLe sanctuaire Jui JuiLa Clock TowerLe Phuket MuseumLe Phuket MuseumLa Phang Nga RoadLe sanctuaire Bang NiewLe sanctuaire Bang NiewLe musée de la philatélieLe musée de la philatélieFaire du tubingFaire du raftingFaire du quadFaire du buggyFaire de la tyrolienneLe marché du dimancheLe Chillva Night Market PhuketLe Buntai MarketMonkey HillMonkey HillCascade de Bang PaeFreedom BeachKata BeachLa plage de KaronNai Harn BeachLaem Singh BeachLa plage de Ya NuiLa plage de KamalaLa plage de SurinLa plage de BangtaoBanana Beach
Répartir sur une plaque recouverte de papier cuisson et les arroser de 3 cuillères à soupe d’huile d’olive, saler et poivrer.
Eplucher les oignons rouges et les couper en 2.
Ajouter les oignons aux pommes de terre, côté arrondi vers le bas.
Arroser d’une cuillère à soupe d’huile d’olive et du vinaigre balsamique, saler et poivrer.
Faire cuire pendant 35 minutes dans un four préchauffé à 200°C (Thermostat 7).
Dans un bol, mélanger la crème épaisse avec le zeste et le jus du citron, saler et poivrer.
Ciseler l’aneth et le persil.
Conseil de présentation : Dans une assiette, répartir la crème épaisse, ajouter les pommes de terre et les oignons rouges, terminer avec les herbes ciselées et un filet d’huile.
Le beau temps arrive et avec lui le fléau que représente le vol de vélos…
Cela peut être anecdotique mais pas du tout car cela représente une certaine somme pour les victimes ainsi qu’un moyen de déplacement au quotidien.
Voici quelques systèmes afin de minimiser le risque de vol :
Le basique : Il s’agit d’un système pas cher (+/- 20 €) avec un code. Il est peu encombrant lorsque vous roulez car vous pouvez le mettre dans votre poche.
La chaîne : Il existe différents niveaux mais au-dessus de 5, cela devient très difficile à enlever… Il faudrait une disqueuse pour la voler. Cela a un certain budget puisque cela coûte environ 110 €.
Le cadenas flexible : Le métal du cadenas est entouré d’une matière caoutchouc, ce qui permet de ne pas griffer le vélo. On le place de manière à ce que le cadre et la roue deviennent solidaires avec un poteau. Il faut compter environ 100 € pour un simple et 170 € avec une alarme.
Le cadenas en « U » : Plus il est épais et plus il est difficile à casser. Pour cela, il vous faudra débourser environ 40 €.
Le verrou de roue : Peu encombrant, il empêche le vélo de rouler et n’est pas très cher (+/- 20 €).
La puce : Il s’agit d’une puce intégrée dans le porte-bidon voire la lampe, le pédalier ou le tube de selle. L’achat de l’équipement coûte +/- 150 € plus 40 € pour l’abonnement annuel, donc assez cher. En cas de vol, vous pourrez localiser votre vélo.
L’intestin est un organe sous-estimé de beaucoup mais qui a un grand impact sur notre santé.
En effet, c’est dans l’intestin grêle (qui mesure entre 4 et 6 mètres de long) que se fait la digestion.
C’est là que les aliments sont décomposés en très petites particules afin d’être absorbés dans le sang.
Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme les intestins le « deuxième cerveau ».
Et plus votre intestin est sain et meilleure est votre humeur…
Voici quelques conseils afin d’en prendre soin :
Manger varié : Cela paraît simple et pourtant… Pour cela, il faut veiller à avoir une alimentation variée chaque jour comprenant des légumes, des fruits, des protéines (Viande, volaille, poisson, …) et des glucides (Pâtes, pain, pommes de terre, riz, …).
Eviter les produits transformés et sucrés : Eviter les biscuits, les sucreries, les charcuteries car ils permettent aux mauvaises bactéries de s’installer plus facilement dans votre intestin.
Manger des aliments riches en probiotiques : Privilégier les yaourts fermentés, la choucroute, les cornichons, … plutôt que de prendre des compléments alimentaires vendus en pharmacie.
Manger calmement : C’est très important pour les intestins et la digestion car plus vous mâchez et mois votre estomac doit travailler vos aliments.
Bouger plus : Outre l’alimentation saine, l’exercice physique est essentiel à la bonne santé des intestins. Donc, n’hésitez pas à marcher, à faire du vélo ou même du yoga…
Boire beaucoup : Il est primordial de boire 2 litres d’eau par jour. Evidemment, cela peut être de l’eau, du thé, du café ou de l’eau aromatisée avec des fruits ou des herbes.
Repos et détente : Le repos et la détente constituent un élément essentiel d’une bonne digestion. En effet, la fatigue et le stress peut perturber le système digestif et vous vous sentirez ballonnée. Il est donc primordial de faire une petite pause après avoir mangé et de bonnes nuits de sommeil.