Voici quelques astuces qui pourront vous aider à surmonter ce stress :
Lors d’un rendez-vous médical
Sachez que vous n’êtes pas seul(e) à redouter ce rendez-vous…
En effet, 50 % des personnes ont peur de la douleur ou de la piqure chez le dentiste, d’une prise de sang, de ce que le médecin va leur annoncer, …
Alors, comment réagir ?
Choisir le bon professionnel qui va prendre en compte vos appréhensions, vous expliquer ce qu’il fait étape par étape et surtout vous rassurer.
Prendre 2 gouttes d’huile essentielle de lavande dans une cuillère à café de miel, 3 fois par jour, pendant les 4 jours précédant le rendez-vous.
Essayer l’hypnose dentaire, vous restez consciente tout en étant déconnectée des soins faits par le dentiste.
2. Lors d’une préparation d’un examen
Le stress, lors d’une période d’examens, peut être positif car il vous aidera à vous mobiliser avant l’épreuve.
Mais, il peut aussi être négatif si vous le laissez prendre toute la place car il vous fera perdre la mémoire.
Alors, que faire ?
Prendre le temps de manger mais PAS devant vos cours.
Faire le plein de vitamines B et C, de magnésium, de fer et de calcium, que ce soient en compléments alimentaires ou dans les aliments.
Eviter l’alcool et les boissons énergisantes car cela va provoquer de la nervosité et des troubles du sommeil.
Prévoir des pauses dans vos révisions car l’étude non-stop est un facteur de stress.
Dormir au moins 8 h par nuit et SANS somnifères.
3. Lors d’une prise de la parole en public
Faire une séance de sophrologie qui consistera à vous visualiser à votre aise et efficace lors de cette prise de parole.
Maîtriser votre respiration en inspirant et expirant lentement.
Parler lentement afin d’éviter que le stress ne l’emporte et vous fasse bégayer.
4. Lors d’un entretien d’embauche
Faire de l’acupression avant d’y aller en exerçant une pression dans l’articulation entre le pouce et l’index et sur le pli du poignet dans le prolongement de l’auriculaire.
Relâcher les tensions avant d’y aller en faisant quelques rotations de la tête et des épaules.
5. Lors d’un premier jour de boulot
C’est normal de stresser lors d’un premier jour de boulot car vous allez avoir de nouveaux collègues, de nouvelles responsabilités, …
Alors, que faire ?
Préparer vos affaires la veille afin de ne pas arriver en retard et aggraver votre stress.
Vous faire confiance, si vous avez été choisi(e) pour ce job, c’est que vous avez les compétences nécessaires.
Mettre 2 gouttes d’huile essentielle de néroli sur l’intérieur de vos poignets.
Avec toutes ces astuces, vous gérerez beaucoup mieux votre stress..
Voici quelques conseils pour une sexualité épanouie et qui vous ressemble :
S’autoriser à penser au sexe
Pour développer son imaginaire érotique, il vaut mieux que le sexe nous procure des pensées positives et non une contrainte.
Développer son imaginaire érotique est une invitation à une expérimentation dans la joie et pas une injonction.
A vous de décider jusqu’où vous allez, il faut que ça reste confortable pour vous.
Il faut savoir que le sexe ne se résume pas à un ensemble de positions acrobatiques et au Kâmasûtra !
Les fantasmes peuvent être sur une ambiance, un baiser, une personne non accessible, …
Le tout est de trouver ce qui réveille le feu dans votre corps.
2. Se connecter à sa sensualité
De nombreuses personnes mettent le sexe au second à cause de leur journée surchargée.
Or, pour qu’un couple fonctionne correctement, le sexe est important.
Il y a plusieurs façons de se connecter à sa sensualité :
Se pomponner
Porter de la lingerie sexy
Un bain à deux à la lueur d’une bougie
Le plus important est de prendre son temps et savourer !
3. Expérimenter en solo
Pour bien connaitre son corps et nourrir son érotisme, il est important d’expérimenter ce qui fait monter notre plaisir.
Pour cela, vous pouvez bien sûr le faire avec votre partenaire mais c’est beaucoup plus confortable d’explorer ses plaisirs en solo.
Car le regard d’un(e) partenaire peut engendrer une certaine honte et stopper votre imaginaire.
4. Chercher l’inspiration
Si vous vous sentez limité(e) dans vos capacités à développer vos fantasmes, plusieurs possibilités s’offrent à vous :
Les vidéos pornos
Les livres érotiques
Les audios érotiques
En lisant ou en écoutant un récit, notre cerveau s’active et explore notre imaginaire en y ajoutant ses propres détails.
5. Jouer avec la curiosité
Avant de rejeter toute proposition de votre partenaire d’explorer d’autres choses, il faut que vous réfléchissiez à ce que vous pourriez ressentir.
Par exemple, si votre partenaire vous propose le BDSM, ne répondez pas que cela n’est pas pour vous mais dites lui que vous allez y réfléchir.
Pensez à ce que ça pourrait engendrer chez vous.
Jouer avec la curiosité, c’est s’autoriser à tester des choses dans sa tête, juste pour voir.
6. Différencier la pensée de la réalité
Il faut bien faire la différence entre la pensée et la réalité.
La pensée est associée aux fantasmes et ce n’est pas parce que nous fantasmons sur quelque chose que nous le faisons.
De même, ce n’est pas parce que nous fantasmons sur quelqu’un, que nous allons passer à l’acte avec cette personne et tromper notre partenaire.
Il est primordial de ne pas vous juger sur vos fantasmes, cela ne fera que renforcer votre couple.
7. Construire un scénario
Développer son imaginaire, cela s’apprend.
Pour cela il faut être dans de bonnes dispositions et se poser les bonnes questions :
Quel lieu choisiriez-vous pour avoir une relation sexuelle ?
Aimeriez-vous être accompagné(e) et si oui par combien de personnes ?
Ensuite, vous devenez maître de l’action.
Votre imagination est la seule limite.
N’hésitez pas à varier les scénarios afin de favoriser votre imaginaire.
8. Faire exister son sexe quotidiennement
Faire exister son sexe signifie prendre le temps de poser son attention dessus afin qu’il soit rattaché au reste du corps.
Vous pourriez être surpris(e) par les sensations qui se réveillent quand on prend le temps de l’observer.
9. Sortir de sa zone de confort
Afin de stimuler l’imaginaire érotique, il est primordial de sortir de sa zone de confort et de jouer avec sa curiosité.
Demandez-vous quelles situations ont créés des fantasmes dans votre esprit.
En effet, tout ce qui stimule le corps et l’esprit fait aussi travailler votre imagination et vos désirs.
10. Priver l’un des sens
Pour faire travailler l’imaginaire érotique, rien de tel que la privation d’un des sens.
Par exemple, lorsque vous vous cachez les yeux, les autres sens s’amplifient tout comme mettre un casque avec de la musique sur les oreilles.
Imaginer son propre plaisir et nourrir son excitation sexuelle grâce à l’imaginaire érotique sont de formidables clés pour une sexualité plus plaisante !
Tournai est une ville située à l’ouest de la Belgique, près de la frontière française.
Les incontournables à visiter à Tournai sont :
La cathédrale Notre-Dame
Edifiée dans la première moitié du XIIe siècle, la cathédrale de Tournai se distingue par une nef romane d’une ampleur exceptionnelle, par la grande richesse sculpturale de ses chapiteaux et par un transept chargé de cinq tours annonciatrices de l’art gothique.
Reconstruit au XIIIe siècle, le chœur est de pur style gothique.
Elle figure parmi les premiers biens classés en Belgique depuis le 05 février 1936 et au patrimoine de l’Unesco depuis l’an 2000.
134 m de longueur dont 58 m pour le seul chœur, 67 m de largeur pour le transept, 83 m de hauteur pour les plus hautes tours… Les proportions de la Cathédrale Notre-Dame sont gigantesques.
L’adresse est : Place de l’Evêché, 1.
Le prix d’entrée est de 2,50 € pour tous.
2. Le beffroi
Le Beffroi de Tournai, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, est le plus ancien de Belgique. Véritable tour de guet depuis le 12e siècle, il surplombe la Grand-Place de Tournai de ses 72 mètres de hauteur.
Après avoir grimpé les 257 marches, le sommet du Beffroi vous offre le plus beau panorama de la ville et ses alentours !
Après avoir été en rénovation durant 10 ans (1992-2002), le Beffroi vous permet de découvrir son histoire à travers des panneaux didactiques, le cachot, la chambre du carillonneur et le carillon qui résonne dans la ville tous les dimanches en période estivale.
L’adresse est : Vieux Marché aux Poteries.
Le prix d’entrée est de 2,10 € pour tous.
3. Le Fort rouge
Le Fort Rouge, tour d’enceinte du 12e siècle, dont le nom trouve vraisemblablement son origine dans la couleur des tuiles qui le recouvraient, est un des vestiges du passé militaire de Tournai.
Probablement détruit en 1213, le Fort Rouge est reconstruit en des dimensions plus imposantes permettant de mieux défendre cette portion anguleuse du rempart.
Le fort est depuis constitué de quatre niveaux sous une toiture presque conique.
Le dernier de ces niveaux dispose de consoles triangulaires qui soutenaient à l’origine des mantelets, volets en bois occultant les créneaux.
Suite à la construction de la seconde enceinte communale (XIIIe-XIVe siècles), le fort perd sa fonction militaire.
Il est classé comme monument le 27 septembre 1972.
Cet imposant vestige de la période médiévale a fait l’objet d’une remarquable restauration achevée en 2003.
Le square Roger Delannay le jouxte, orné de jolies rotondes.
L’adresse est : Rue Perdue, 10.
Le prix d’entrée est de 2,60 € pour tous.
4. La Grand Place
La Grand-Place de Tournai n’a pas toujours été ce lieu ouvert avec ses terrasses accueillantes.
Entre le 1er et le 4ème siècle, une partie de la place servait de cimetière et, lors de fouilles entreprises pendant les travaux d’aménagement à la fin du 20ème siècle, on a trouvé les vestiges d’une chapelle carolingienne.
Après l’abandon du cimetière dû à l’expansion de la cité, elle se transforme en place de marché.
En 1187, lorsque le roi de France Philippe Auguste remet à la ville une charte lui garantissant des libertés communales, les Tournaisiens choisissent le marché pour y dresser un Beffroi.
La Grand-Place devient le centre de la vie communale que nous connaissons encore de nos jours, ponctué de cafés, commerces et restaurants.
Elle a aussi une forme particulière puisqu’elle est triangulaire due au tracé des voies romaines.
Presque entièrement piétonne, elle vous invite à vous détendre à l’ombre de ses maisons aux façades typiques de la Renaissance dont la Halle-aux-Draps…
Par temps chaud, les fontaines vous rafraîchiront !
5. Le musée d’Histoire naturelle
Fondé en 1828 sous la période hollandaise, ce premier muséum du pays ouvre ses portes au public en 1829.
En 1839, le musée s’installe dans une galerie et une salle carrée conçues par l’architecte Bruno Renard à son emplacement actuel, celui de l’ancienne brasserie de l’abbaye Saint-Martin.
Lors de son agrandissement et de son réaménagement, inaugurés en juin 2001, la scénographie a veillé à préserver le « cabinet des curiosités » qui plonge le visiteur dans l’ambiance des cabinets d’histoire naturelle du 19ème siècle ainsi qu’une galerie des animaux naturalisés aussi rares qu’extraordinaires.
Vous pourrez y découvrir notamment le premier éléphant arrivé en Belgique en 1839, devenu Trésor reconnu par la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Vous aurez aussi la présence d’un vivarium où poissons, mygales, amphibiens et reptiles vivants évoluent dans des habitats reconstitués.
Depuis 2019, profitez également d’un jardin scientifique aménagé dans lequel sont implantés divers enclos extérieurs ainsi qu’une serre à papillons exotiques.
De quoi passer un bon moment en famille !
L’adresse est : Cour d’Honneur de l’Hôtel de ville.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 3 € pour les 6 – 18 ans, 4 € pour les 19 – 64 ans et 3 € pour les 65 ans et +.
Sans oublier :
Les autres musées (Musée des Beaux-Arts, Centre de la Marionnette, Musée d’histoire militaire, …)
Le Pont des Trous
L’Eglise Saint-Quentin
Le train touristique (uniquement les dimanches du mois de juin)
Musée des Beaux-ArtsMusée des Beaux-ArtsCentre de la MarionnetteCentre de la MarionnetteMusée militaireMusée militaireLe Pont des TrousL’Eglise Saint-QuentinL’Eglise Saint-QuentinLe train touristique
Dans une poêle, faire revenir le gingembre, les oignons et le beurre pendant 4 minutes.
Hacher finement 60 gr de cacahuètes.
Ajouter dans la poêle avec le gingembre et les oignons, les cacahuètes hachées, le piment, le poivre de Cayenne et le clou de girofle, saler et poivrer.
Détacher la peau des filets de poulet pour créer une petite poche.
Répartir le mélange de cacahuètes sous la peau et refermer à l’aide d’un cure-dents, saler et poivrer.
Epépiner et couper le poivron en fines lanières.
Couper les citrons verts en tranches épaisses.
Dans un plat alu allant sur le barbecue, répartir les filets de poulet, le reste des cacahuètes, les feuilles de laurier et les lanières de poivrons.
Faire cuire au barbecue électrique pendant 25 minutes en retournant régulièrement le poulet.
Ajouter les tranches de citron 3 minutes avant la fin de la cuisson.
Bien s’hydrater est un geste essentiel pour votre peau…
Il faut faire la différence entre peau sèche et peau déshydratée car leurs symptômes se ressemblent tout en étant différentes :
Peau sèche : Elle manque en permanence de lipides dû à une sous-production de sébum.
Peau déshydratée : Elle manque temporairement d’eau et peut toucher toutes les peaux (sèches, grasses, …).
Voici quelques conseils pour bien hydrater votre peau déshydratée :
S’hydrater « In and Out »
Lorsque des rides se marquent au coin des yeux, sur les joues, le décolleté, c’est un signal de déshydratation.
Pas de panique, c’est heureusement réversible…
Cela est dû à un excès de soleil et de chaleur.
Pour rétablir une peau lisse, il est important de boire 1,5 à 2 litres d’eau par jour, en plus de mettre une crème qui permettra de rétablir son taux d’hydratation.
2. Crémer, pas gaver !
Souvent, nous faisons l’erreur de prendre une crème de jour trop riche destinée aux peaux sèches mais pas du tout pour la peau déshydratée.
De même, tartiner votre peau de crème n’est pas nécessaire car celle-ci n’absorbe que ce dont elle a besoin.
Le bon plan pour hydrater votre peau est de prendre une crème pour peau normale, elle correspond ainsi à tout type de peau.
3. Penser aux zones fragiles
Le visage, le buste, l’abdomen et le dos sont des zones fragiles où la peau est plus épaisse, il est donc important de prendre une crème plus légère.
Le reste du corps (bras, mains, jambes et pieds) sont des zones plus neutres.
Vous pouvez donc prendre une crème normale.
Afin d’avoir une réceptivité optimale de votre peau, il est primordial d’appliquer ces crèmes dans les 5 minutes qui suivent votre douche.
Les crèmes que je vous conseillerais sont :
Crème légère : Gel crème Hydra Végétal de chez Yves Rocher (19,90 € pour 50 ml), Hydra- Essentiel soin de nuit « anti soif » de chez Clarins (57 € pour 50 ml en parfumerie), Hydragenist de chez Lierac (27,90 € pour 15 ml en pharmacie).
Crème normal : Huile de soin lissage & glow de chez Caudalie (36,10 € pour 100 ml en pharmacie), Huile sèche scintillante de chez T. LeClerc (20,40 € pour 200 ml en pharmacie).
Le plus important pour avoir une relation seine et durable, c’est de bien communiquer.
La communication est la clé indispensable des couples solides et heureux.
Voici quelques conseils pour devenir un as de la communication :
Trouver le bon timing
Pour que la conversation soit une réussite, il faut trouver le bon moment, le bon endroit et le bon état d’esprit.
La plus grande erreur est de penser que dès que vous entamerez la conversation, votre partenaire sera 100 % à votre écoute.
En réalité, il se passe tellement de choses dans nos têtes qu’il est tout à fait possible que pour votre partenaire, ce ne soit pas le bon moment même si pour vous oui…
N’espérez pas une discussion constructive si votre partenaire n’est pas prêt(e) à vous entendre.
2. Choisir son mode
Il existe 4 modes de communication :
Le verbal : En face à face avec votre partenaire
Le non-verbal : Par SMS
L’écrit : Une lettre pour lui dire ce que vous ressentez
Le visuel : Une scène de film qui vous fait penser à vous
A vous de voir avec lequel vous vous sentez plus à l’aise.
3. Formuler une demande
Souvent, lorsque nous formulons une demande et que celle-ci n’est pas comprise, nous nous offusquons.
Cela est dû à la formulation de cette demande, car ce que vous pensez, votre partenaire peut l’interpréter autrement et cela pourrait créer des tensions.
En partant de ce constat, il est préférable de formuler des demandes précises, n’hésitez pas à demander à votre partenaire de reformuler ce que vous venez de dire.
4. Ne pas attendre que l’autre devine
Ne jamais se dire « Depuis le temps qu’on est ensemble, il devrait le savoir ».
Être en couple ne signifie en rien que nous devenions télépathes.
Votre partenaire ne peut pas deviner vos envies, vos attentes, vos frustrations, …
De même, le silence ne vous mènera nulle part sauf avoir des reproches, de la colère ainsi qu’une accumulation de frustrations.
Formuler vos souhaits et vous retirerez beaucoup plus de satisfaction.
5. Parler en « Je »
L’une des règles principales de la communication consiste à parler toujours en « Je » par rapport à ce que vous ressentez.
Vous ne pouvez pas présupposer de l’état émotionnel de l’autre mieux que lui / elle.
Par exemple, dites à votre partenaire « Lorsque je trouve des mies sur le plan de travail alors que je viens de nettoyer la cuisine, je ne me sens pas respecté(e) et cela me met en colère » plutôt que « T’as encore laissé des mies partout, j’en ai ras-le-bol ».
La première version permet que l’autre ne se referme pas et soit ouvert à la discussion plutôt que sur la défensive.
6. Attention à vos réactions
Attention, il y a 4 façons de réagir qui pourrait mener à la rupture :
La critique : Tu n’es qu’un égoïste !
Le mépris : Lever les yeux au ciel
La contre-attaque : Jouer au ping-pong des reproches
L’évitement : Quitter la pièce pendant une dispute
Ces façons de réagir ont pour effet de dire à l’autre que ses sentiments ne sont pas valides.
N’oubliez pas que votre non-verbal communique tout autant que vos paroles !
7. Se centrer sur le positif
Lorsque vous entamez de discussion de « reproches », dites toujours quelque chose de positif à votre partenaire pour faire passer le négatif plus facilement.
Par exemple dite à votre partenaire « J’aimerais que tu nettoies quand tu salis le sol » en continuant par « J’aime quand tu m’aides dans les taches ménagères » comme ça on passe du temps ensemble…
8. Un sujet à la fois
Il pourrait être tentant de profiter d’une conversation apaisée pour mettre sur la table tout ce que vous avez sur le cœur.
Cependant, aborder un seul sujet à la fois permet de rester dans un cadre précis, d’aller au fond des choses et de ne pas s’éparpiller.
Si plusieurs sujets doivent être discutés, faites une liste et planifiez les conversations futures.
Mons est une ville francophone située en Wallonie.
Ancienne capitale des comtes de Hainaut, chef-lieu de la province de Hainaut, ville principale de l’arrondissement de Mons, elle est le siège d’une des cinq cours d’appel du pays.
Mons se situe à 56 km au sud-ouest de la capitale Bruxelles, à environ 225 km au nord-est de Paris, à 75 km à l’est de Lille et à environ 180 km à l’ouest d’Aix-la-Chapelle.
La ville de Mons est localisée au croisement des importants axes autoroutiers E19 (Amsterdam-Anvers-Bruxelles-Paris) et E42 (Lille-Charleroi-Liège-Francfort-sur-le-Main).
Les incontournables à visiter à Mons sont :
Le beffroiet son parc
Seul Beffroi baroque de Belgique, construit entre 1662 et 1672, il constitue un témoignage architectural remarquable.
Avec ses 365 marches, ses 87 mètres de haut et ses 49 cloches, il est un véritable symbole de la Ville.
Il a en effet été construit à l’ancien emplacement d’une tour de l’horloge située au point le plus haut de la ville, dans le parc de l’ancien château et ex fief des comtes du Hainaut.
Le Beffroi de Mons est reconnu par l’UNESCO depuis 1999 dans le cadre d’une reconnaissance commune des “Beffrois de Belgique et de France”.
Le Parc du Château garde quelques vestiges intéressants tels que les premiers remparts de la ville, les restes du donjon et l’ancienne poterne du château dite « Tour César » (XIVè siècle) et la Chapelle Saint-Calixte (XIè siècle), vestige du château comtal.
Sur le rebord surplombant la rue des Clercs, vous apercevrez également le buste de Charles Plisnier (Prix Goncourt en 1937) du sculpteur Akarova.
Un moment de détente pour toute la famille !
L’adresse est : rampe du Château.
Le prix d’entrée est gratuit jusqu’à 12 ans, 2 € pour les 13 – 18 ans, 9 € pour les 19 – 59 ans et 6 € pour les 60 ans et +.
2. La Grand Place
La Grand-Place est le véritable coeur de la ville historique.
Elle se situe tout près des rues commerçantes et du beffroi. Elle est pavée à la manière des vieilles villes et abrite de nombreux cafés et restaurants, ainsi que l’hôtel de ville.
Le contour de la place est accessible aux voitures, mais il leur est interdit de stationner ou de circuler en son centre. Chaque année, elle est le théâtre du combat dit Lumeçon, combat légendaire de Saint-Georges contre le Dragon.
La Grand-Place est également dotée d’une fontaine, dont l’inauguration date du 21 mars 2006.
Si l’ensemble des bâtiments semble des plus harmonieux, les façades ornant la Grand-Place illustrent néanmoins les grandes tendances architecturales de ces derniers siècles, mêlant le gothique au plus moderne avec une étonnante cohérence.
L’entrée est gratuite pour tous.
3. Le Jardin du Mayeur
Le jardin du Mayeur a été créé dans les années 30.
Certains de ses arbres ont donc trois-quarts de siècle…
Le hêtre pourpre est un arbre forestier par excellence : en plein cœur de la ville, seul maître à bord, contrairement à ses habitudes, il a pu développer une silhouette unique, et occuper toute la place dont il avait besoin.
Le hêtre pourpre peut vivre plus de 400 ans et dépasser 30 mètres de hauteur…
Entouré de ses bancs métalliques, un marronnier encore jeune attend quelques années pour se déployer en force.
L’adresse est : Grand Place 27.
L’entrée est gratuite pour tous.
4. Le musée du Doudou
De l’originalité de la Ducasse (reconnue par l’UNESCO en 2005) à la légende de saint Georges, entre réalité et imaginaire, le « Musée du Doudou » s’attache notamment à comprendre et à valoriser les différents aspects de cette histoire universelle et multiséculaire.
L’espace invite le visiteur à découvrir ce patrimoine exceptionnel, mis en valeur à travers différents regards : historique, anthropologique, scientifique, artistique, laïc ou religieux.
Partez sur les traces du dragon…
L’adresse est : Jardin du Mayeur.
Le prix d’entrée est gratuit jusqu’à 12 ans, 2 € pour les 13 – 18 ans, 9 € pour les 19 – 59 ans et 6 € pour les 60 ans et +.
5. La collégiale Sainte-Waudru
Au milieu du XVe siècle, les chanoinesses du chapitre de Sainte-Waudru décidèrent la construction d’une nouvelle église, en style gothique, pour remplacer la collégiale romane.
L’édification fut lente, le chantier ouvert en 1450 se clôtura en… 1686.
Les hautes fenêtres du chœur ont conservé d’intéressants vitraux du XVIe siècle.
Au détour des chapelles de la collégiale, vous pouvez découvrir les statues de saint Michel terrassant le démon (XVème siècle) et de sainte Waudru (XVIème siècle).
Vous vous arrêterez aussi devant le retable (XIVe siècle) des Féries Notre-Dame, devant la statue de la Vierge argentée (XVIe siècle), devant les monuments funéraires du XVe siècle en pierre d’Ecaussinnes encastrés dans les murs de certaines chapelles.
L’adresse est : Place du Chapitre.
L’entrée est gratuite pour tous.
Sans oublier :
Le singe du Grand Garde
La Maison Losseau
La Maison espagnole
L’Église Sainte-Elisabeth
Le Château comtal
Le singe du Grand GardeLa Maison LosseauLa maison espagnoleL’Eglise Sainte-ElisabethL’Eglise Sainte-ElisabethLe Château Comtal