Comment soulager un mal de dos ?

Qualifié de mal du siècle, le mal de dos touche des millions de personnes.

On pense souvent que celui-ci ne touche que les personnes âgées et les adultes… C’est faux car les enfants peuvent eux aussi en être atteints.

Voici quelques conseils pour soulager un mal de dos sans médicament :

  1. Ne pas se mettre au repos

Contrairement aux idées reçues, rester alité pendant un mal de dos ne vous soulagera pas.

Bien au contraire, cela accentuera votre douleur.

Eviter de rester assis(e) trop longtemps, poursuivez votre activité professionnel tout en évitant les mouvements dont la douleur est trop forte.

Rester en mouvement est le remède pour que ça guérisse plus vite et éviter une rechute dans l’immédiat.

2. Consulter un ostéopathe ou chiropracteur

Si vous avez régulièrement mal au dos, n’hésitez pas à aller consulter un ostéopathe ou un chiropracteur.

Ostéopathe : Personne qui soigne par manipulation des os.

Chiropracteur : Personne qui recherche la relation entre les troubles ressentis par le patient, les blocages de la colonne vertébrale et des nerfs qui en partent.

Ce sont des manipulations qui ne sont pas douloureuses.

Pour 80% des personnes, une seule séance est suffisante pour que le mal au dos cesse, pour les autres, une deuxième séance est nécessaire.

3. Appliquer du chaud

Mettre une bouillote ou une couverture chauffante sur votre douleur vous apaisera mais cela ne durera pas longtemps.

4. Se faire masser

Masser quelqu’un, tout le monde peut le faire !

Faites vous masser sur la partie douloureuse peut vous soulager.

Pour cela, il suffit de se concentrer sur les muscles de chaque côté de la colonne vertébrale et d’effectuer un mouvement de friction lente, plus ou moins appuyé.

5. Bouger sur un gros ballon

Je le rappelle, il ne faut pas rester immobile lorsqu’on a mal au dos…

Vous allez acheter un gros ballon dans un magasin de sport, vous vous asseyez dessus et vous imprimez un léger mouvement de rotation au sol à l’aide de vos pieds, selon un cercle d’une dizaine de centimètres de diamètre,

Cela va détendre les muscles du bas du dos et vous aurez moins mal.

6. Utiliser l’harpagophytum, une plante

L’harpagophytum est une plante herbacée, également appelée « griffe du diable » du fait de son apparence tubéreuse.

Elle possède des vertus anti-inflammatoires puissantes pour soulager les douleurs articulaires et musculaires.

Vous pouvez l’utiliser en gel, en comprimés ou en ampoules.

7. Faire différents exercices

Le meilleur moyen pour qu’un muscle se détende, c’est de le faire bouger !

Voici quelques exercices qui pourront vous soulager :

  • Le dos rond / dos creux : Faire le dos rond, ensuite creuser le dos 20 à 30 fois. Vous allez vite sentir un soulagement.
  • La prière : Poser les fesses sur les talons, la tête sur le sol le plus loin possible et les bras tendus. Revenir ensuite en quatre pattes. Faites cela une dizaine de fois.
  • Le Bird Dog : A quatre pattes, tendez le bras gauche vers l’avant et la jambe droite vers l’arrière, tenez la position pendant 10 secondes. Ensuite, changez de côté, bras droit vers l’avant et jambe gauche vers l’arrière. Faire dix fois 10 secondes cet exercice de chaque côté.
  • Le Jefferson Curl : Prendre un poids de 2 à 8 kg, penchez-vous en avant puis remonter en déroulant le dos dans l’autre sens.

8. La méditation

Si vous souffrez de maux de dos chroniques, essayez la méditation en pleine conscience, dite « mindfulness ».

Elle ne requiert aucune connaissance préalable : tout le monde peut s’y mettre.

L’idéal est de s’asseoir le dos bien droit sur le sol et les jambes croisées en position du lotus, les mains posées sur les genoux.

Vous fixez ensuite un point sur le sol devant soi ou vous fermez les yeux, vous vous concentrez sur votre respiration qui va s’apaiser de lui-même.

Il faut pratiquer la méditation tous les jours, pendant 10 à 20 minutes et vous sentirez la différence après déjà 3 à 4 jours.

Pour que la douleur disparaisse totalement, il faudra 6 à 8 semaines.

Si votre mal de dos persiste, allez consulter votre médecin traitant qui vous donnera des anti-inflammatoires ou les médicaments pour que cela cesse…

Comment faire des économies sur le budget alimentation ?

A l’heure où tout augmente, comment réduire son budget alimentation tout en mangeant sainement ?

Cette phrase nous fait comprendre qu’il est important de bien se nourrir.

En effet, si nous mangeons sainement, nous serons en bonne santé tandis que si nous mangeons mal et gras, nous risquons de développer des maladies.

Voici quelques conseils pour diminuer votre budget :

  1. Cuisiner vos repas vous-même

Il y a deux avantages à préparer vos repas vous-mêmes :

  • Vous ferez des économies car les plats préparés sont plus chers.
  • Vous savez ce que vous cuisinez, les plats industriels ont souvent des ingrédients douteux.

2. Cuisiner en grande quantité

C’est plus pratique, plus économique et cela vous fait gagner beaucoup de temps.

  • Plus pratique car vous ne perdrez pas de temps à cuisiner plusieurs fois.
  • Plus économique car vous utiliserez moins d’électricité en cuisinant une seule fois en grande quantité. Il suffit juste de réchauffer au micro-ondes.

3. Faire un menu pour la semaine

En faisant les menus à l’avance, vous saurez exactement quels ingrédients acheter lorsque vous faites vos courses.

Cela évite aussi de se poser la question tous les jours de savoir que faire pour manger…

4. Faire une liste de course

Le but de faire une liste de courses est d’éviter d’acheter des ingrédients dont vous n’aurez pas l’utilité ou de vous laisser tenter par du superflu.

5. Accommoder vos restes

Vous éviterez ainsi le gaspillage.

S’il vous reste de la viande, n’hésitez pas à la réchauffer et à l’accompagner avec des légumes et un féculent, différents de ceux de la veille.

S’il vous reste des légumes et des pommes de terre, profitez pour faire de la soupe avec et la mettre au congélateur.

6. Eviter les stocks superflus

Pour cela, identifier vos besoins et n’acheter que l’essentiel.

Evitez de faire trop de stock, surtout en ce qui concerne les surgelés ou les légumes en conserve car bien souvent, les dates passent et vous devez les jeter.

Donc, de l’argent gaspillé et jeté à la poubelle.

Par contre, vous pouvez stocker les produits secs tels que le riz, les pâtes, les lentilles, les pois chiches,…

7. Boire l’eau du robinet

Il faut arrêter d’acheter des packs d’eau qui vous font mal au dos et privilégier l’eau du robinet.

Néanmoins, renseignez-vous auprès des autorités sanitaires si l’eau de votre région est apte à la consommation régulière et/ou investissez dans des filtres à eau.

8. Manger moins de viande

Manger moins de viande est meilleur pour votre santé et votre portefeuille s’en portera mieux.

Pour remplacer la viande, vous pouvez manger du poisson ou des œufs qui sont meilleur marché et meilleur pour la santé.

9. Acheter plus de légumes surgelés ou en boites

Pour faire des économies, acheter plus souvent des légumes surgelés ou en boites plutôt que les légumes frais qui sont plus chers.

Les légumes surgelés sont tout aussi bon que les légumes frais !

10. Eviter de faire les courses le ventre vide

Rappelez-vous que tout est fait dans les supermarchés pour nous donner envie.

Et donc, vous aurez plus de chance de craquer et d’acheter n’importe quoi, comme des barres chocolatées, des biscuits, des chips…

Allez donc faire les courses tôt le matin ou juste après avoir dîné !

11. Être à l’affût des promotions

Les promotions ne sont pas faites dans le seul but de vous faire acheter moins cher.

Elle ont aussi pour but de vous faire acheter plus !

Attention aux fausses promotions, il suffit de retourner l’étiquette et de voir le prix initial.

Il faut que le prix initial soit barré et que le prix réduit soit aussi inscrit, soyez vigilant à cela car quelques supermarchés font de fausses promotions pour certains produits.

12. Acheter des sous-marques

Franchement, on l’a vu déjà vu dans des reportages à la télévision !

Souvent, les produits sortent tous de la même usine. Et ce, quelle que soit la marque. S’il y a des différences, c’est à peine important.

Souvent, ce qui fait que le prix est plus haut dans les produits de marque, c’est le packaging qui est plus beau et plus travaillé que pour les sous-marques !

N’achetez de la marque que si vous percevez nettement la différence de goût ou de qualité avec les autres sous-marques.

13. Acheter en format économique

Les produits en format économique sont moins chers au kilo et surtout ont moins d’emballages que des produits en petit format, ce qui est bon pour notre planète !

Pour les produits non périssables, vous pouvez les stocker.

Pour la viande, poulet, poisson, faites des petites portions dans des sacs de congélations et ne décongelez que la quantité dont vous avez besoin.

14. Faire vos courses dans les supermarchés

Mieux vaut privilégier les supermarchés (Colruyt, Aldi, Lidl, Carrefour, Delhaize, Intermarché, …) que les magasins de quartier qui sont souvent beaucoup plus chers.

15. Faire vos courses une fois semaine ou tous les 15 jours

Aller faire ses courses tous les jours vous coûtera plus cher car vous serez tenter de prendre d’autres produits.

Aller plutôt faire vos courses une fois semaine ou tous les 15 jours si le supermarché ne se trouve pas à proximité de votre domicile.

16. Acheter des produits de saison

C’est moins cher et de meilleur qualité !

Manger des tomates ou des fraises en hiver ne vous fera aucun plaisir car elles sont plus chères et n’ont pas de goût !

17. Fabriquer ses propres produits

N’hésitez pas à acheter une yaourtière, une machine à pain, …

Au prix où est le pain, votre machine sera vite rentabilisée…

De même si vous mangez beaucoup de yaourts !

Si vous avez des arbres fruitiers, faites vos confitures.

18. Cultivez certains produits

L’idéal reste quand même de faire votre propre potager car cela ne coûte pas beaucoup d’argent (le prix des semences) et vous fait économiser l’achat de légumes ou de condiments pendant plusieurs mois.

En effet, vous pouvez reconditionner votre récolte et la congeler.

En conclusion, économie et alimentation saine ne sont pas incompatibles.

Il suffit de cuisiner et faire nos courses intelligemment !!!

Mousse au chocolat

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 4 lignes de chocolat noir fondant
  • 4 œufs
  • 3 cuillères à soupe de crème fraîche

2. Préparation

  • Faire fondre le chocolat au bain-marie.
  • Incorporer les jaunes d’œufs un à un dans le chocolat.
  • Incorporer la crème fraîche.
  • Battre les blancs d’œufs en neige très ferme.
  • Incorporer en soulevant le chocolat dans les blancs.
  • Répartir la mousse dans les coupes en verre.
  • Mettre au frais pendant 2h.

Quelques conseils :

  • Vous pouvez servir votre mousse au chocolat en mettant une couche de crème pâtissière au-dessus de chaque coupe.
  • Vous pouvez garnir votre mousse au chocolat avec au-dessus un chou de crème.
  • Vous pouvez introduire une gaufrette sur le dessus de votre mousse au chocolat.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 10 minutes
  • Budget : Pas cher

Un dessert qui ravira les papilles des petits et des grands !!!

Le décrochage scolaire

Le décrochage scolaire est l’arrêt temporaire ou définitif des études avant 18 ans et avant l’obtention du diplôme.

On distingue deux sortes de décrochage :

  • Le décrochage passif (drop in) consiste au désintérêt lors des cours, à un absentéisme ponctuel (un après-midi ou une matinée, une heure, une journée, …).
  • Le décrochage actif (drop out) consiste à l’arrêt des études avant l’obtention du diplôme du secondaire supérieur.
  1. Quels sont les signes du décrochage scolaire ?

Certains enfants / ados ont perdu leur motivation et ne trouvent plus de sens à être en classe et suivre les cours afin d’obtenir leur diplôme.

Vous, en tant que parents, êtes désemparés car c’est important pour vous que votre ado aie son diplôme.

Certains signes doivent vous alerter :

  • Votre enfant / ado éprouve de grandes difficultés et est en échec dans les matières de base.
  • Votre enfant / ado n’est pas motivé à l’école.
  • Votre enfant / ado ne participe pas en classe.
  • Votre enfant / ado parle d’arrêter l’école.
  • Votre enfant / ado est en conflit avec les enseignants.
  • Votre enfant / ado présente des signes de dépression.
  • Les amis de votre enfant / ado n’aiment pas l’école ou sont en décrochage scolaire.

2. Quelles sont les conséquences du décrochage scolaire ?

  • Au niveau individuel, les enfants / ados en décrochage scolaire développent plus de troubles du comportement ou un comportement de « délinquant ».
  • Au niveau santé, les enfants / ados en décrochage scolaire peuvent développer plus d’addictions que ce soient au niveau des jeux vidéos, de la cigarette ou même de l’alcool.
  • Au niveau social, les ados en décrochage scolaire ont beaucoup plus de difficulté à trouver un emploi « décent » et devront « se contenter » d’un emploi « précaire ».
  • Au niveau économique, le coût pour la collectivité n’est pas négligeable puisqu’on estime le coût d’un décrochage scolaire, sur l’ensemble du parcours de la personne concernée, à 230 000€.

3. Comment aider votre enfant / ado en décrochage scolaire ?

  • Féliciter votre enfant / ado lorsqu’il réussit ses interros et ses devoirs.
  • Aider votre enfant / ado ou trouver quelqu’un qui pourra l’aider en cas de difficulté dans une matière.
  • Dire régulièrement à votre enfant / ado que vous croyez en ses capacités à réussir.
  • Vous informer auprès de votre enfant / ado pour savoir ce qu’il vit à l’école.
  • Expliquer à votre enfant / ado l’importance d’aller à l’école pour son futur (emploi, salaire, …).

N’hésitez pas à aller consulter un thérapeute qui pourra aider votre enfant / ado à reprendre goût à l’école.

Comment faire des économies en matière d’énergie ?

A l’heure actuelle, les factures d’énergie sont tellement élevées qu’il faut trouver des solutions pour payer moins.

Voici quelques astuces à faire au quotidien, qui ne demandent pas d’investissement, pas d’équipements spéciaux et qu’on peut commencer de suite.

  1. Laver son linge à température plus basse

Laver et sécher son linge représentent +/- 11 % de la consommation annuelle de la facture d’électricité.

Laver son linge a 30° et même 20° au lieu de 40° ou 60° représente une économie annuelle d’électricité de 30%.

En effet, les lavages à haute température ne sont utiles qu’une fois tous les 20 lavages pour éliminer les bactéries dans la machine à laver.

Il est aussi inutile de mettre trop de poudre à lessiver ou de savon liquide car plus il y a de poudre ou de savon, plus la machine consomme de l’eau pour rincer vos vêtements.

N’hésitez pas à consulter le mode d’emploi de votre lave-linge afin de savoir quel programme consomme moins d’eau et moins d’électricité.

2. Sécher son linge

Ceux qui ont un jardin ou un local bien aéré n’auront pas beaucoup l’utilité d’un sèche-linge.

Pour les autres, ce sera une nécessité…

Afin de consommer moins d’électricité avec le sèche-linge, il faut essorer le linge le plus possible afin de réduire le temps de séchage.

Si vous avez un compteur bi-horaire, profitez des heures creuses pour faire tourner votre machine à laver et votre sèche-linge.

Si vous avez des panneaux photovoltaïques, faites tourner votre machine quand ces derniers produisent de l’électricité. Ceci permettra de consommer l’électricité directement produite.

N’oubliez pas que l’option la plus économique reste quand même le séchage à l’air libre.

3. Bien choisir ses appareils électriques

Les réfrigérateurs et les congélateurs représentent 13% de la consommation annuelle d’électricité. Et pourtant, ce sont des électroménagers indispensables…

L’étiquette fournit un indice de performance qui vous permet de choisir l’appareil le plus économe. Les appareils sont classés de A (ou A+, A++ ou A+++, les plus économes) à C , D ou même F et G (qui sont les plus gros consommateurs).

Lors de leur remplacement, privilégier la classe A+++, cela vous fera économiser plus de 36% de consommation d’énergie.

D’autres chiffres importants des consommations annuelles :

  • La cuisson en représente 10 % : Privilégiez donc une cuisson rapide plutôt qu’un plat qui mijote pendant plusieurs heures.
  • Le lave-vaisselle, 3 % : Ne faites tourner votre lave-vaisselle que quand il est rempli.
  • Les télévisions, ordinateurs, micro-ondes et autres appareils électroménagers représentent ensemble 19 % : N’hésitez pas retirer la prise des appareils après utilisation car un appareil en veille représente 3% de la consommation annuelle.

4. En ce qui concerne le chauffage et l’eau chaude

Environ 85 % de la consommation énergétique est consacrée au chauffage et à l’eau chaude.

Diminuer votre chauffage de 1° vous permet de faire 7% d’économie annuelle ce qui représente 175 l de mazout, 175 m³ de gaz et même une stère de bois.

En ce qui concerne l’eau chaude, vous pouvez régler la température de l’eau à 40-50° pour le chauffe-eau et à 50-60° dans les boilers de stockage.

N’hésitez pas à couper l’alimentation du boiler lors de vos absences prolongées (vacances, hospitalisation, …).

5. L’éclairage

L’éclairage représente 8 % de la consommation annuelle d’électrité.

Quelques conseils pour réduire cette consommation :

  • Eteindre la lumière à chaque fois que vous quittez une pièce.
  • Privilégier les murs et les plafonds clairs car des murs foncés peuvent doubler voire tripler la puissance d’éclairage.
  • Décorer votre intérieur avec des meubles clairs et des objets clairs.
  • Laver régulièrement vos rideaux afin d’améliorer leur rendement lumineux.

En ce qui concerne l’éclairage extérieur, le relier à un détecteur de mouvement ou une horloge vous fera économiser votre consommation annuelle.

Passer d’un spot halogène de 55 W à un spot économique de 11 W permet d’économiser 80 % d’électricité et de multiplier la durée de vie du spot par 4.

6. Une bonne isolation

Pour réaliser des économies conséquentes d’énergie, la recette est une bonne isolation de votre maison (Toit, double vitrage, …). Cela engendre des frais mais cela permet surtout de réduire la facture de chauffage pendant toute la durée de vie du bâtiment.

Agir de la sorte, c’est également réduire les émissions de CO2 qui sont largement responsables du réchauffement climatique de la planète.

Cela contribue donc à préserver notre environnement !!!

Courgettes farcies

  1. Ingrédients (Pour 4 personnes)
  • 1 grande courgette
  • 700 gr de haché préparé
  • 250 gr de champignons coupés
  • 2 oignons
  • Ail en poudre
  • 250 gr de fromage râpé

2. Préparation

  • Laver la courgette.
  • Couper les 2 extrémité de la courgette.
  • Couper la courgette en deux dans le sens de la longueur.
  • Vider l’intérieur de la courgette.
  • Couper chaque morceau de courgette vidée en deux.
  • Couper les champignons en tranches.
  • Couper les 2 oignons en petits dés.
  • Dans un saladier, mélanger le haché, les oignons et les champignons.
  • Remplir chaque morceau de courgette avec la préparation.
  • Saupoudrer chaque morceau de courgette d’ail.
  • Parsemer le tout de fromage râpé.
  • Faire cuire dans un four préchauffé à 180° pendant 40 minutes.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 40 minutes
  • Budget : Pas cher

Vous pouvez accompagner les courgettes farcies avec des tagliatelles ou des frites, c’est un régal !!!

Comment éviter les poux chez les enfants ?

La rentrée des classes est souvent synonyme du retour des poux à l’école.

Un vrai calvaire pour les parents…

  1. Un pou, c’est quoi ?

Le pou est un petit insecte à 6 pattes. Il ne peut ni voler ni sauter, mais il peut ramper très rapidement. Il mesure de 2 mm à 4 mm.

C’est un parasite qui n’arrive qu’à vivre dans une chevelure humaine, tout près du cuir chevelu ou sur les cils.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le fait d’avoir des poux ne signifie pas que l’on manque d’hygiène.

Tout le monde peut avoir des poux mais les enfants de 3 à 11 ans sont les plus touchés. C’est rare qu’un enfant de moins de 3 ans en attrape.

Le plus souvent, les poux passent d’une tête à l’autre par contact direct de chevelure à chevelure.

Plus rarement, ils profitent d’un échange de bonnet, de casquette, de foulard. Ils peuvent aussi parfois, mais rarement, se transmettre par des objets personnels, comme un peigne, une brosse, une serviette, une taie d’oreiller.

Il faut donc bien expliquer aux enfants que lorsqu’il y a des poux à l’école, ne pas prendre les objets des autres enfants…

2. Comment savoir si votre enfant a des poux ?

Votre enfant pourrait avoir des poux s’il se gratte beaucoup la tête, particulièrement derrière les oreilles et au niveau de la nuque. Ce n’est toutefois pas parce qu’il se gratte la tête que sa chevelure est infestée par des poux.

Pour en être sûr, vous devez examiner la chevelure de votre enfant et trouver des insectes vivants.

3. Que faire si votre enfant a des poux ?

La première chose à faire si votre enfant a des poux, c’est d’aller à la pharmacie pour aller chercher un shampooing anti-poux

qui vous permettra de le traiter.

Lorsque vous avez traité votre enfant :

  • Utiliser un peigne à poux afin de retirer de la chevelure de votre enfant les poux morts ou vivants.
  • Laver les affaires de votre enfant (bonnet, manteau, casquette, taie d’oreiller, …) à 60° afin que les poux qui seraient dessus meurent.
  • Prévenir l’école afin que des mesures soient prises auprès des autres enfants de la classe.
  • Traiter vos peignes et brosses afin de ne pas contaminer les autres membres de la famille en les laisser dans de l’eau bouillante pendant 10 minutes après avoir retirer les cheveux qui étaient dessus.
  • Inspecter la tête des autres membres de la famille (enfants et adultes) pour être sûr que personne d’autres n’est infecté.
  • Peigner la chevelure de votre enfant matin et soir.

Lorsque l’on prend les mesures adéquates, l’infestation peut être maîtrisée après deux semaines.

Une nouvelle infestation est toujours possible si l’enfant est en contact étroit avec un ami ou un autre membre de la famille infesté.

Le shampooing anti-poux est à faire tous les 3 jours jusqu’à ce que tous les poux soient partis.

Comment s’installer en tant qu’indépendant ?

Vous souhaitez vous installer en tant qu’indépendant ? Devenir votre « propre patron » ?

C’est une très bonne idée car votre nouvelle activité sera à votre image et vous serez libre de l’organiser comme vous le souhaitez.

Mais avant de vous lancer dans cette aventure, il y a des démarches à effectuer.

  1. Préparer votre activité
  • Choisir le nom de votre société (que ce soit une SPRL ou vous en tant que personne physique).
  • Analyser votre environnement et voir quels sont vos concurrents dans les environs.
  • Faire un plan financier pour savoir quels sont les investissements à faire pour démarrer votre activité.

2. S’inscrire à la Banque Carrefour des Entreprises (BCE)

Lors de l’inscription à la BCE, vous recevez un numéro d’entreprise. Il est composé de 10 chiffres démarrant par 0.

Vous recevrez également un numéro d’identification unique appelé unité d’établissement. C’est un numéro différent du numéro d’entreprise. Il se compose de dix chiffres. Le premier chiffre est compris entre 2 et 8.
Une unité d’établissement est un lieu géographiquement identifiable par une adresse où s’exerce votre activité. Si vous disposez de plusieurs lieux d’activité (siège social à une adresse, entrepôt de stockage de vos matériaux à une autre adresse), vous aurez donc plusieurs numéros d’unité d’établissement.

Vous pouvez faire cette démarche soit par un guichet d’entreprise (UCM, Partena, Securex, Acerta, …) ou par vous-même via le site « My Enterprise ». (https://idp.iamfas.belgium.be/fasui/s2d6669490bd019a82052bd8b841213b5caf96388d)

Le coût de l’inscription à la BCE est de 90,50 €, une unité d’établissement incluse, plus 90,50 € par unité d’établissement supplémentaire. Ce coût est indexé annuellement.

3. Ouvrir un compte bancaire

Lorsque vous lancez votre activité indépendante, qu’il s’agisse d’une société ou personne physique, vous devez ouvrir un compte à vue auprès d’une banque.
Tous vos documents commerciaux (lettres, devis, factures,…) devront mentionner votre numéro de compte bancaire, votre numéro d’entreprise, le nom de votre entreprise.

4. S’identifier à la TVA

Pour obtenir votre identification à la TVA, vous pouvez le faire par votre guichet d’entreprise (Le coût varie selon le guichet d’entreprise) ou par vous-même en renvoyant les formulaires 604A et 604B via le site https://idp.iamfas.belgium.be/fasui/s2724099d08a7942459f8bf94a364fd180d866c2dc ou les renvoyant par courrier au bureau de contrôle TVA de la ville dont vous dépendez.

Quelles sont vos obligations en matière de TVA ?

  • Rentrer votre déclaration trimestrielle (Par vous via intervat ou votre comptable).
  • Rentrer votre listing annuel de vos clients (Par vous via intervat ou votre comptable).
  • Payer / Recevoir la différence entre la TVA que vous facturez à vos clients et la TVA que vous pouvez déduire de vos factures d’achats.
  • Tenir une comptabilité (factures d’achats, de sorties, extraits bancaires si c’est une société).

Le coût de l’identification à la TVA est de 121 €.

5. S’affilier auprès d’une Caisse d’assurance sociale

En tant qu’indépendant, vous devez payer trimestriellement des cotisations sociales à la caisse d’assurances sociales (UCM, Acerta, Xérius, Group S, Llantis, Partena, …).

Ces cotisations permettent d’ouvrir des droits aux prestations sociales suivantes  :

  • prestations familiales,
  • maladie et invalidité,
  • assurance maternité,
  • droit passerelle,
  • allocation d’aidant proche.

Le montant des cotisations sociales s’élève à 781,68 € si vous êtes indépendant à temps plein ou à 86,48 € si vous êtes indépendant à titre complémentaire.

Vous pouvez aussi cotiser auprès d’eux pour une Pension Libre Complémentaire Indépendant (PLCI).

Cette cotisation vous permettra de garder un bon style de vie lors de votre pension car on sait tous que les indépendants n’ont pas beaucoup de pensions.

Pour le montant de cette cotisation, cela dépend de vos revenus prévus.

Maintenant que toutes ces démarches sont faites, vous pouvez commencer votre activité en tant qu’indépendant !!!

Craquelin

  1. Ingrédients (Pour un pain)
  • 250 gr de farine blanche pour pâtisserie
  • 125 ml de lait entier
  • 15 gr de levure fraîche
  • 25 gr de sucre en poudre
  • 50 gr de beurre
  • 1 oeuf
  • 90 gr de sucre perlé
  • sel

2. Préparation

  • Faire tiédir le lait.
  • Mélanger la levure et le lait tiédi.
  • Laisser reposer pendant 10 minutes.
  • Dans un cul-de-poule, placer la farine.
  • Creuser un puit.
  • Ajouter le lait mélangé à la levure, le sucre en poudre, le beurre fondu et l’oeuf.
  • Pétrir le tout.
  • Ajouter une pincée de sel.
  • Pétrir le tout.
  • Placer votre pâton sous un film cellophane huilé.
  • Laisser reposer 30 minutes.
  • Ajouter le sucre perlé à la pâte.
  • Mettre la boule de pâte sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé.
  • Laisser reposer 30 minutes supplémentaires.
  • Faire cuire 30 à 40 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6)

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 35 à 45 minutes
  • Repos : 1h10
  • Budget : Pas cher

Idéal pour les brunchs du dimanche matin !!!

Le cyberharcèlement chez les jeunes

Aujourd’hui, Internet occupe une grande place dans la vie des ados (96% des 12-18 ans l’utilisent en Belgique).

Si les réseaux sociaux sont généralement utilisés de manière saine et responsable par la plupart des jeunes, certains en profitent pour déverser leur haine derrière leur écran.

En Belgique, un jeune sur trois est ou a déjà été victime de cyberharcèlement !!!

  1. Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?

Le cyberharcèlement se définit comme un acte agressif, intentionnel, commis par une personne ou un groupe, au moyen de communications électroniques, de façon répétée, à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule.

2. Quels sont les différents types de cyberharcèlement ?

  • Subir des propos injurieux et humiliants. (Ex : Tu es un(e) con(ne), Tu es débile, …)
  • Le doxxing : c’est-à-dire la divulgation d’informations sur ton identité ou ta vie privée sans ton consentement. (Ex : Mettre sur les réseaux sociaux ton adresse, le nom de ton/ta copain/copine, le prénom de tes parents, …)
  • Le revenge porn : c’est-à-dire la diffusion d’image à caractère sexuel sans ton consentement.
  • Le slut-shaming : c’est le fait de te stigmatiser pour ta tenue, ton comportement ou ton attitude. (Ex : Mettre sur les réseaux sociaux que tu te comportes comme une pute car tu mets des minis jupes et des tops, que tu dragues tout ce qui bouge, …)
  • Le flaming : il s’agit de l’envoi, par les réseaux sociaux, de courts messages très violents. (Ex : Va te pendre, Tu es un déchet pour la société, …)
  • Le happy slapping  : cela consiste à filmer et diffuser sur les réseaux sociaux, sans ton consentement, des agressions physiques ou des scènes intimes. 
  • Le dénigrement : c’est la propagation de rumeurs visant à ruiner ta réputation en usurpant ton identité, en piratant de compte et en écrivant en ton nom des propos déplacés envers une autre personne.
  • Le cyberstalking : il s’agit de la méthode consistant à diffuser des documents te concernant. (Ex : Tes devoirs ou contrôles en se moquant de tes réponses, des poèmes que tu aurais écrit, …)

3. Comment reconnaître que son enfant/ ado est victime de cyberharcèlement ?

  • Le changement d’attitude : Votre enfant / ado parle moins, est triste, a des réactions violentes alors que d’habitude c’est tout le contraire.
  • Tentative d’évitement scolaire : Votre enfant / ado prétend qu’il est souffrant pour ne pas aller à l’école alors que d’habitude, même malade, il voulait y aller.
  • Manifestations d’anxiété : Votre enfant / ado perd beaucoup de poids, a des maux de ventre, de tête, souffre d’insomnie… Ce sont des signes d’anxiété et de stress.
  • Suppression de ses comptes de réseaux sociaux : Votre enfant / ado s’éloigne de son smartphone alors qu’il était tout le temps dessus, dit que les réseaux sociaux ne l’intéressent plus.
  • Changement d’apparence : Votre enfant / ado refuse de mettre une jupe, change radicalement de coupe de cheveux.
  • Repli su soi et perte d’intérêt : Votre enfant / ado préfère rester à la maison plutôt que de sortir avec ses copains ou même avec vous, veut arrêter une activité / un sport qu’il adore.

Si votre enfant / ado est victime de cyberharcèlement, il est très important de dialoguer avec lui pour savoir ce qui se passe.

N’hésitez pas à lui rappeler que vous êtes là pour lui, que vous allez l’aider et que c’est lui la victime, qu’il ne doit pas se sentir responsable de ce qui lui arrive.

4. Que faire en cas de cyberharcèlement ?

  • Déposer plainte auprès de la police.
  • En parler avec vos proches, la direction de l’école, un psychologue et même un avocat.
  • Signaler auprès du réseau social la ou les personne(s) responsable(s).
  • Recadrer la personne en lui signifiant que le cyberharcèlement est un délit punissable par la loi.
  • Appeler la ligne d’écoute : 103 (Service Écoute-Enfant) ou 107 (service d’écoute) permet de se sentir moins seul(e).

5. Quelles sont les conséquences du cyberharcèlement ?

Pour les victimes de cyberharcèlement, cela entraine une baisse de l’estime de soi, de l’anxiété ainsi qu’un risque élevé de développer un trouble dépressif pouvant mener jusqu’à une tentative de suicide ou pire au suicide.

Elles sont également sujettes à divers troubles , tels que des douleurs abdominales, des troubles du sommeil et un déséquilibre alimentaire, principalement liés à l’angoisse éprouvée.

Alors si vous êtes victimes de cyberharcèlement, si vous avez été témoin de cyberharcèlement, n’hésitez pas à en parler à un adulte en qui vous avez confiance. Il vous aidera pour que cela cesse.

Si vous êtes le harceleur et que vous considérez que vos moqueries et votre harcèlement sont pour vous une plaisanterie, réfléchissez à ce que vous risquez car c’est un délit punissable par la loi. Mettez-vous à la place de votre victime !!!

6. Que risque l’auteur ?

  • Si l’auteur est majeur, il risque 2 ans de prison et 30 000 € d’amende. La peine maximale peut aller jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende si la victime a moins de 15 ans.
  • Si l’auteur est un mineur de plus de 13 ans et la victime a plus de 15 ans, il risque 12 mois de prison et 7 500 € d’amende.
  • Si l’auteur est un mineur de plus de 13 ans et que la victime a moins de 15 ans, il risque 18 mois de prison et 7 500 € d’amende.
  • Pour la mise en ligne d’images intimes d’une autre personne sans son consentement, la peine est de 2 ans de prison et 60 000 € d’amende.