Le décrochage scolaire

Le décrochage scolaire est l’arrêt temporaire ou définitif des études avant 18 ans et avant l’obtention du diplôme.

On distingue deux sortes de décrochage :

  • Le décrochage passif (drop in) consiste au désintérêt lors des cours, à un absentéisme ponctuel (un après-midi ou une matinée, une heure, une journée, …).
  • Le décrochage actif (drop out) consiste à l’arrêt des études avant l’obtention du diplôme du secondaire supérieur.
  1. Quels sont les signes du décrochage scolaire ?

Certains enfants / ados ont perdu leur motivation et ne trouvent plus de sens à être en classe et suivre les cours afin d’obtenir leur diplôme.

Vous, en tant que parents, êtes désemparés car c’est important pour vous que votre ado aie son diplôme.

Certains signes doivent vous alerter :

  • Votre enfant / ado éprouve de grandes difficultés et est en échec dans les matières de base.
  • Votre enfant / ado n’est pas motivé à l’école.
  • Votre enfant / ado ne participe pas en classe.
  • Votre enfant / ado parle d’arrêter l’école.
  • Votre enfant / ado est en conflit avec les enseignants.
  • Votre enfant / ado présente des signes de dépression.
  • Les amis de votre enfant / ado n’aiment pas l’école ou sont en décrochage scolaire.

2. Quelles sont les conséquences du décrochage scolaire ?

  • Au niveau individuel, les enfants / ados en décrochage scolaire développent plus de troubles du comportement ou un comportement de « délinquant ».
  • Au niveau santé, les enfants / ados en décrochage scolaire peuvent développer plus d’addictions que ce soient au niveau des jeux vidéos, de la cigarette ou même de l’alcool.
  • Au niveau social, les ados en décrochage scolaire ont beaucoup plus de difficulté à trouver un emploi « décent » et devront « se contenter » d’un emploi « précaire ».
  • Au niveau économique, le coût pour la collectivité n’est pas négligeable puisqu’on estime le coût d’un décrochage scolaire, sur l’ensemble du parcours de la personne concernée, à 230 000€.

3. Comment aider votre enfant / ado en décrochage scolaire ?

  • Féliciter votre enfant / ado lorsqu’il réussit ses interros et ses devoirs.
  • Aider votre enfant / ado ou trouver quelqu’un qui pourra l’aider en cas de difficulté dans une matière.
  • Dire régulièrement à votre enfant / ado que vous croyez en ses capacités à réussir.
  • Vous informer auprès de votre enfant / ado pour savoir ce qu’il vit à l’école.
  • Expliquer à votre enfant / ado l’importance d’aller à l’école pour son futur (emploi, salaire, …).

N’hésitez pas à aller consulter un thérapeute qui pourra aider votre enfant / ado à reprendre goût à l’école.

Comment faire des économies en matière d’énergie ?

A l’heure actuelle, les factures d’énergie sont tellement élevées qu’il faut trouver des solutions pour payer moins.

Voici quelques astuces à faire au quotidien, qui ne demandent pas d’investissement, pas d’équipements spéciaux et qu’on peut commencer de suite.

  1. Laver son linge à température plus basse

Laver et sécher son linge représentent +/- 11 % de la consommation annuelle de la facture d’électricité.

Laver son linge a 30° et même 20° au lieu de 40° ou 60° représente une économie annuelle d’électricité de 30%.

En effet, les lavages à haute température ne sont utiles qu’une fois tous les 20 lavages pour éliminer les bactéries dans la machine à laver.

Il est aussi inutile de mettre trop de poudre à lessiver ou de savon liquide car plus il y a de poudre ou de savon, plus la machine consomme de l’eau pour rincer vos vêtements.

N’hésitez pas à consulter le mode d’emploi de votre lave-linge afin de savoir quel programme consomme moins d’eau et moins d’électricité.

2. Sécher son linge

Ceux qui ont un jardin ou un local bien aéré n’auront pas beaucoup l’utilité d’un sèche-linge.

Pour les autres, ce sera une nécessité…

Afin de consommer moins d’électricité avec le sèche-linge, il faut essorer le linge le plus possible afin de réduire le temps de séchage.

Si vous avez un compteur bi-horaire, profitez des heures creuses pour faire tourner votre machine à laver et votre sèche-linge.

Si vous avez des panneaux photovoltaïques, faites tourner votre machine quand ces derniers produisent de l’électricité. Ceci permettra de consommer l’électricité directement produite.

N’oubliez pas que l’option la plus économique reste quand même le séchage à l’air libre.

3. Bien choisir ses appareils électriques

Les réfrigérateurs et les congélateurs représentent 13% de la consommation annuelle d’électricité. Et pourtant, ce sont des électroménagers indispensables…

L’étiquette fournit un indice de performance qui vous permet de choisir l’appareil le plus économe. Les appareils sont classés de A (ou A+, A++ ou A+++, les plus économes) à C , D ou même F et G (qui sont les plus gros consommateurs).

Lors de leur remplacement, privilégier la classe A+++, cela vous fera économiser plus de 36% de consommation d’énergie.

D’autres chiffres importants des consommations annuelles :

  • La cuisson en représente 10 % : Privilégiez donc une cuisson rapide plutôt qu’un plat qui mijote pendant plusieurs heures.
  • Le lave-vaisselle, 3 % : Ne faites tourner votre lave-vaisselle que quand il est rempli.
  • Les télévisions, ordinateurs, micro-ondes et autres appareils électroménagers représentent ensemble 19 % : N’hésitez pas retirer la prise des appareils après utilisation car un appareil en veille représente 3% de la consommation annuelle.

4. En ce qui concerne le chauffage et l’eau chaude

Environ 85 % de la consommation énergétique est consacrée au chauffage et à l’eau chaude.

Diminuer votre chauffage de 1° vous permet de faire 7% d’économie annuelle ce qui représente 175 l de mazout, 175 m³ de gaz et même une stère de bois.

En ce qui concerne l’eau chaude, vous pouvez régler la température de l’eau à 40-50° pour le chauffe-eau et à 50-60° dans les boilers de stockage.

N’hésitez pas à couper l’alimentation du boiler lors de vos absences prolongées (vacances, hospitalisation, …).

5. L’éclairage

L’éclairage représente 8 % de la consommation annuelle d’électrité.

Quelques conseils pour réduire cette consommation :

  • Eteindre la lumière à chaque fois que vous quittez une pièce.
  • Privilégier les murs et les plafonds clairs car des murs foncés peuvent doubler voire tripler la puissance d’éclairage.
  • Décorer votre intérieur avec des meubles clairs et des objets clairs.
  • Laver régulièrement vos rideaux afin d’améliorer leur rendement lumineux.

En ce qui concerne l’éclairage extérieur, le relier à un détecteur de mouvement ou une horloge vous fera économiser votre consommation annuelle.

Passer d’un spot halogène de 55 W à un spot économique de 11 W permet d’économiser 80 % d’électricité et de multiplier la durée de vie du spot par 4.

6. Une bonne isolation

Pour réaliser des économies conséquentes d’énergie, la recette est une bonne isolation de votre maison (Toit, double vitrage, …). Cela engendre des frais mais cela permet surtout de réduire la facture de chauffage pendant toute la durée de vie du bâtiment.

Agir de la sorte, c’est également réduire les émissions de CO2 qui sont largement responsables du réchauffement climatique de la planète.

Cela contribue donc à préserver notre environnement !!!

Courgettes farcies

  1. Ingrédients (Pour 4 personnes)
  • 1 grande courgette
  • 700 gr de haché préparé
  • 250 gr de champignons coupés
  • 2 oignons
  • Ail en poudre
  • 250 gr de fromage râpé

2. Préparation

  • Laver la courgette.
  • Couper les 2 extrémité de la courgette.
  • Couper la courgette en deux dans le sens de la longueur.
  • Vider l’intérieur de la courgette.
  • Couper chaque morceau de courgette vidée en deux.
  • Couper les champignons en tranches.
  • Couper les 2 oignons en petits dés.
  • Dans un saladier, mélanger le haché, les oignons et les champignons.
  • Remplir chaque morceau de courgette avec la préparation.
  • Saupoudrer chaque morceau de courgette d’ail.
  • Parsemer le tout de fromage râpé.
  • Faire cuire dans un four préchauffé à 180° pendant 40 minutes.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 40 minutes
  • Budget : Pas cher

Vous pouvez accompagner les courgettes farcies avec des tagliatelles ou des frites, c’est un régal !!!

Comment éviter les poux chez les enfants ?

La rentrée des classes est souvent synonyme du retour des poux à l’école.

Un vrai calvaire pour les parents…

  1. Un pou, c’est quoi ?

Le pou est un petit insecte à 6 pattes. Il ne peut ni voler ni sauter, mais il peut ramper très rapidement. Il mesure de 2 mm à 4 mm.

C’est un parasite qui n’arrive qu’à vivre dans une chevelure humaine, tout près du cuir chevelu ou sur les cils.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le fait d’avoir des poux ne signifie pas que l’on manque d’hygiène.

Tout le monde peut avoir des poux mais les enfants de 3 à 11 ans sont les plus touchés. C’est rare qu’un enfant de moins de 3 ans en attrape.

Le plus souvent, les poux passent d’une tête à l’autre par contact direct de chevelure à chevelure.

Plus rarement, ils profitent d’un échange de bonnet, de casquette, de foulard. Ils peuvent aussi parfois, mais rarement, se transmettre par des objets personnels, comme un peigne, une brosse, une serviette, une taie d’oreiller.

Il faut donc bien expliquer aux enfants que lorsqu’il y a des poux à l’école, ne pas prendre les objets des autres enfants…

2. Comment savoir si votre enfant a des poux ?

Votre enfant pourrait avoir des poux s’il se gratte beaucoup la tête, particulièrement derrière les oreilles et au niveau de la nuque. Ce n’est toutefois pas parce qu’il se gratte la tête que sa chevelure est infestée par des poux.

Pour en être sûr, vous devez examiner la chevelure de votre enfant et trouver des insectes vivants.

3. Que faire si votre enfant a des poux ?

La première chose à faire si votre enfant a des poux, c’est d’aller à la pharmacie pour aller chercher un shampooing anti-poux

qui vous permettra de le traiter.

Lorsque vous avez traité votre enfant :

  • Utiliser un peigne à poux afin de retirer de la chevelure de votre enfant les poux morts ou vivants.
  • Laver les affaires de votre enfant (bonnet, manteau, casquette, taie d’oreiller, …) à 60° afin que les poux qui seraient dessus meurent.
  • Prévenir l’école afin que des mesures soient prises auprès des autres enfants de la classe.
  • Traiter vos peignes et brosses afin de ne pas contaminer les autres membres de la famille en les laisser dans de l’eau bouillante pendant 10 minutes après avoir retirer les cheveux qui étaient dessus.
  • Inspecter la tête des autres membres de la famille (enfants et adultes) pour être sûr que personne d’autres n’est infecté.
  • Peigner la chevelure de votre enfant matin et soir.

Lorsque l’on prend les mesures adéquates, l’infestation peut être maîtrisée après deux semaines.

Une nouvelle infestation est toujours possible si l’enfant est en contact étroit avec un ami ou un autre membre de la famille infesté.

Le shampooing anti-poux est à faire tous les 3 jours jusqu’à ce que tous les poux soient partis.

Comment s’installer en tant qu’indépendant ?

Vous souhaitez vous installer en tant qu’indépendant ? Devenir votre « propre patron » ?

C’est une très bonne idée car votre nouvelle activité sera à votre image et vous serez libre de l’organiser comme vous le souhaitez.

Mais avant de vous lancer dans cette aventure, il y a des démarches à effectuer.

  1. Préparer votre activité
  • Choisir le nom de votre société (que ce soit une SPRL ou vous en tant que personne physique).
  • Analyser votre environnement et voir quels sont vos concurrents dans les environs.
  • Faire un plan financier pour savoir quels sont les investissements à faire pour démarrer votre activité.

2. S’inscrire à la Banque Carrefour des Entreprises (BCE)

Lors de l’inscription à la BCE, vous recevez un numéro d’entreprise. Il est composé de 10 chiffres démarrant par 0.

Vous recevrez également un numéro d’identification unique appelé unité d’établissement. C’est un numéro différent du numéro d’entreprise. Il se compose de dix chiffres. Le premier chiffre est compris entre 2 et 8.
Une unité d’établissement est un lieu géographiquement identifiable par une adresse où s’exerce votre activité. Si vous disposez de plusieurs lieux d’activité (siège social à une adresse, entrepôt de stockage de vos matériaux à une autre adresse), vous aurez donc plusieurs numéros d’unité d’établissement.

Vous pouvez faire cette démarche soit par un guichet d’entreprise (UCM, Partena, Securex, Acerta, …) ou par vous-même via le site « My Enterprise ». (https://idp.iamfas.belgium.be/fasui/s2d6669490bd019a82052bd8b841213b5caf96388d)

Le coût de l’inscription à la BCE est de 90,50 €, une unité d’établissement incluse, plus 90,50 € par unité d’établissement supplémentaire. Ce coût est indexé annuellement.

3. Ouvrir un compte bancaire

Lorsque vous lancez votre activité indépendante, qu’il s’agisse d’une société ou personne physique, vous devez ouvrir un compte à vue auprès d’une banque.
Tous vos documents commerciaux (lettres, devis, factures,…) devront mentionner votre numéro de compte bancaire, votre numéro d’entreprise, le nom de votre entreprise.

4. S’identifier à la TVA

Pour obtenir votre identification à la TVA, vous pouvez le faire par votre guichet d’entreprise (Le coût varie selon le guichet d’entreprise) ou par vous-même en renvoyant les formulaires 604A et 604B via le site https://idp.iamfas.belgium.be/fasui/s2724099d08a7942459f8bf94a364fd180d866c2dc ou les renvoyant par courrier au bureau de contrôle TVA de la ville dont vous dépendez.

Quelles sont vos obligations en matière de TVA ?

  • Rentrer votre déclaration trimestrielle (Par vous via intervat ou votre comptable).
  • Rentrer votre listing annuel de vos clients (Par vous via intervat ou votre comptable).
  • Payer / Recevoir la différence entre la TVA que vous facturez à vos clients et la TVA que vous pouvez déduire de vos factures d’achats.
  • Tenir une comptabilité (factures d’achats, de sorties, extraits bancaires si c’est une société).

Le coût de l’identification à la TVA est de 121 €.

5. S’affilier auprès d’une Caisse d’assurance sociale

En tant qu’indépendant, vous devez payer trimestriellement des cotisations sociales à la caisse d’assurances sociales (UCM, Acerta, Xérius, Group S, Llantis, Partena, …).

Ces cotisations permettent d’ouvrir des droits aux prestations sociales suivantes  :

  • prestations familiales,
  • maladie et invalidité,
  • assurance maternité,
  • droit passerelle,
  • allocation d’aidant proche.

Le montant des cotisations sociales s’élève à 781,68 € si vous êtes indépendant à temps plein ou à 86,48 € si vous êtes indépendant à titre complémentaire.

Vous pouvez aussi cotiser auprès d’eux pour une Pension Libre Complémentaire Indépendant (PLCI).

Cette cotisation vous permettra de garder un bon style de vie lors de votre pension car on sait tous que les indépendants n’ont pas beaucoup de pensions.

Pour le montant de cette cotisation, cela dépend de vos revenus prévus.

Maintenant que toutes ces démarches sont faites, vous pouvez commencer votre activité en tant qu’indépendant !!!

Craquelin

  1. Ingrédients (Pour un pain)
  • 250 gr de farine blanche pour pâtisserie
  • 125 ml de lait entier
  • 15 gr de levure fraîche
  • 25 gr de sucre en poudre
  • 50 gr de beurre
  • 1 oeuf
  • 90 gr de sucre perlé
  • sel

2. Préparation

  • Faire tiédir le lait.
  • Mélanger la levure et le lait tiédi.
  • Laisser reposer pendant 10 minutes.
  • Dans un cul-de-poule, placer la farine.
  • Creuser un puit.
  • Ajouter le lait mélangé à la levure, le sucre en poudre, le beurre fondu et l’oeuf.
  • Pétrir le tout.
  • Ajouter une pincée de sel.
  • Pétrir le tout.
  • Placer votre pâton sous un film cellophane huilé.
  • Laisser reposer 30 minutes.
  • Ajouter le sucre perlé à la pâte.
  • Mettre la boule de pâte sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé.
  • Laisser reposer 30 minutes supplémentaires.
  • Faire cuire 30 à 40 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6)

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 35 à 45 minutes
  • Repos : 1h10
  • Budget : Pas cher

Idéal pour les brunchs du dimanche matin !!!

Le cyberharcèlement chez les jeunes

Aujourd’hui, Internet occupe une grande place dans la vie des ados (96% des 12-18 ans l’utilisent en Belgique).

Si les réseaux sociaux sont généralement utilisés de manière saine et responsable par la plupart des jeunes, certains en profitent pour déverser leur haine derrière leur écran.

En Belgique, un jeune sur trois est ou a déjà été victime de cyberharcèlement !!!

  1. Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?

Le cyberharcèlement se définit comme un acte agressif, intentionnel, commis par une personne ou un groupe, au moyen de communications électroniques, de façon répétée, à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule.

2. Quels sont les différents types de cyberharcèlement ?

  • Subir des propos injurieux et humiliants. (Ex : Tu es un(e) con(ne), Tu es débile, …)
  • Le doxxing : c’est-à-dire la divulgation d’informations sur ton identité ou ta vie privée sans ton consentement. (Ex : Mettre sur les réseaux sociaux ton adresse, le nom de ton/ta copain/copine, le prénom de tes parents, …)
  • Le revenge porn : c’est-à-dire la diffusion d’image à caractère sexuel sans ton consentement.
  • Le slut-shaming : c’est le fait de te stigmatiser pour ta tenue, ton comportement ou ton attitude. (Ex : Mettre sur les réseaux sociaux que tu te comportes comme une pute car tu mets des minis jupes et des tops, que tu dragues tout ce qui bouge, …)
  • Le flaming : il s’agit de l’envoi, par les réseaux sociaux, de courts messages très violents. (Ex : Va te pendre, Tu es un déchet pour la société, …)
  • Le happy slapping  : cela consiste à filmer et diffuser sur les réseaux sociaux, sans ton consentement, des agressions physiques ou des scènes intimes. 
  • Le dénigrement : c’est la propagation de rumeurs visant à ruiner ta réputation en usurpant ton identité, en piratant de compte et en écrivant en ton nom des propos déplacés envers une autre personne.
  • Le cyberstalking : il s’agit de la méthode consistant à diffuser des documents te concernant. (Ex : Tes devoirs ou contrôles en se moquant de tes réponses, des poèmes que tu aurais écrit, …)

3. Comment reconnaître que son enfant/ ado est victime de cyberharcèlement ?

  • Le changement d’attitude : Votre enfant / ado parle moins, est triste, a des réactions violentes alors que d’habitude c’est tout le contraire.
  • Tentative d’évitement scolaire : Votre enfant / ado prétend qu’il est souffrant pour ne pas aller à l’école alors que d’habitude, même malade, il voulait y aller.
  • Manifestations d’anxiété : Votre enfant / ado perd beaucoup de poids, a des maux de ventre, de tête, souffre d’insomnie… Ce sont des signes d’anxiété et de stress.
  • Suppression de ses comptes de réseaux sociaux : Votre enfant / ado s’éloigne de son smartphone alors qu’il était tout le temps dessus, dit que les réseaux sociaux ne l’intéressent plus.
  • Changement d’apparence : Votre enfant / ado refuse de mettre une jupe, change radicalement de coupe de cheveux.
  • Repli su soi et perte d’intérêt : Votre enfant / ado préfère rester à la maison plutôt que de sortir avec ses copains ou même avec vous, veut arrêter une activité / un sport qu’il adore.

Si votre enfant / ado est victime de cyberharcèlement, il est très important de dialoguer avec lui pour savoir ce qui se passe.

N’hésitez pas à lui rappeler que vous êtes là pour lui, que vous allez l’aider et que c’est lui la victime, qu’il ne doit pas se sentir responsable de ce qui lui arrive.

4. Que faire en cas de cyberharcèlement ?

  • Déposer plainte auprès de la police.
  • En parler avec vos proches, la direction de l’école, un psychologue et même un avocat.
  • Signaler auprès du réseau social la ou les personne(s) responsable(s).
  • Recadrer la personne en lui signifiant que le cyberharcèlement est un délit punissable par la loi.
  • Appeler la ligne d’écoute : 103 (Service Écoute-Enfant) ou 107 (service d’écoute) permet de se sentir moins seul(e).

5. Quelles sont les conséquences du cyberharcèlement ?

Pour les victimes de cyberharcèlement, cela entraine une baisse de l’estime de soi, de l’anxiété ainsi qu’un risque élevé de développer un trouble dépressif pouvant mener jusqu’à une tentative de suicide ou pire au suicide.

Elles sont également sujettes à divers troubles , tels que des douleurs abdominales, des troubles du sommeil et un déséquilibre alimentaire, principalement liés à l’angoisse éprouvée.

Alors si vous êtes victimes de cyberharcèlement, si vous avez été témoin de cyberharcèlement, n’hésitez pas à en parler à un adulte en qui vous avez confiance. Il vous aidera pour que cela cesse.

Si vous êtes le harceleur et que vous considérez que vos moqueries et votre harcèlement sont pour vous une plaisanterie, réfléchissez à ce que vous risquez car c’est un délit punissable par la loi. Mettez-vous à la place de votre victime !!!

6. Que risque l’auteur ?

  • Si l’auteur est majeur, il risque 2 ans de prison et 30 000 € d’amende. La peine maximale peut aller jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende si la victime a moins de 15 ans.
  • Si l’auteur est un mineur de plus de 13 ans et la victime a plus de 15 ans, il risque 12 mois de prison et 7 500 € d’amende.
  • Si l’auteur est un mineur de plus de 13 ans et que la victime a moins de 15 ans, il risque 18 mois de prison et 7 500 € d’amende.
  • Pour la mise en ligne d’images intimes d’une autre personne sans son consentement, la peine est de 2 ans de prison et 60 000 € d’amende.

Quand et comment planter des arbres fruitiers nains ?

  1. En hiver
  • Les framboisiers
  • Les groseilliers
  • Les mûres
  • Les myrtilles

Ils doivent être plantés quand ils ne gèlent pas et avant la reprise de végétation (fin mars) afin que leur système racinaire ait le temps de s’installer.

Pour la plantation :

  • Creuser un trou d’environ 50 cm de profondeur et de large.
  • Ajouter 1 ou 2 pelletées de fumier composté.
  • Arroser le compost.
  • Mettre le plant en racine nue ou en pot.
  • Remplir la moitié du trou avec des la terre.
  • Remplir le reste avec du terreau.

Petit conseil : laisser 1m50 entre chaque plant.

Soyez rassurés, ces plantes sont rustiques et supportent les hivers rigoureux.

2. Au printemps

  • Cerisier
  • Pêcher
  • Prunier
  • Pommier
  • Citronnier
  • Oranger

Vous pouvez les planter en pleine terre à 1m50 de distance les uns des autres.

L’avantage avec un arbre fruitier nain est que vous pouvez aussi les planter en pot et ainsi en mettre sur votre terrasse ou votre balcon si vous vivez en appartement.

Pour la plantation en pleine terre :

  • Idem que pour la plantation des framboisiers, des groseilliers, des myrtilles et des mûres.

Pour la plantation en pot :

  • Vérifier qu’il y ait bien des perforations dans le fond du pot.
  • Mettre dans le fond du pot un bon drainage avec 2 cm de billes d’argile.
  • Ajouter de la terre.
  • Mettre le plant.
  • Ajouter de la terre jusqu’à 2/3 du pot.
  • Compléter avec 1/3 de terreau.
  • Arroser le plant.

Attention, le citronnier et l’oranger sont à mettre en pot car ils doivent être protégé du gel en hiver.

3. En été

Il n’y a pas d’arbres fruitiers nains à planter en été…

C’est la période où on récolte !!!

4. En automne

  • Abricotier
  • Nectarinier
  • Poirier
  • Mirabellier
  • Amandier
  • Figuier
  • Goji

Pour la plantation en pleine terre, idem que pour la plantation au printemps.

Pour la plantation en pot, idem que pour la plantation au printemps.

Petit conseil : Prendre des arbres fruitiers nains autofertiles car ils n’ont pas besoin d’autres arbres pour donner des fruits.

Que faire avec les fruits et les légumes récoltés ?

Le mois de septembre étant le mois des récoltes, on se retrouve très souvent avec beaucoup de fruits et de légumes…

Avec les fruits, nous pouvons faire :

  1. De bonnes tartes

Ingrédients (Pour 6 personnes)

  • 100 gr de sucre
  • 4 cuillères à soupe de crème fraiche
  • Suffisamment de fruits pour couvrir la tarte
  • 1 rouleau de pâte feuilletée
  • 4 oeufs

Préparation

  • Eplucher vos fruits (pommes, poires, pêches, abricots ou nectarines).
  • Couper les fruits en tranches et retirer les pépins ou le noyau.
  • Mettre la pâte feuilletée dans un moule à tarte.
  • Mélanger le sucre, la crème fraiche et les œufs dans un saladier.
  • Déposer le mélange sur la pâte feuilletée.
  • Recouvrir le mélange avec les tranches des fruits.
  • Cuire dans un four à 180° (Thermostat 7)

Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 30 minutes
  • Budget : Pas cher

Petit conseil : Vous pouvez mélanger la pomme avec la cannelle, la poire avec des copeaux de chocolat, …

2. La réserve de confitures

Faire de la confiture ne demande pas trop de préparation ni d’ingrédients.

Il suffit de faire cuire des fruits et du sucre…

Le plus difficile est que la confiture ne soit pas trop liquide, trop épaisse, trop sucrée ou trop fade.

Quelle quantité de fruits et de sucre pour faire une bonne confiture ?

  • Il faut 1 kg de fruits et 800 gr de sucre.

Vous préférez les gelées ?

  • Il faut 1 kg de fruits et 1 kg de sucre.

Pour réussir une confiture, on la fait cuire entre 20 et 45 minutes (cela dépend des fruits utilisés) à feu vif, sans couvercle, et en remuant souvent.

Si votre confiture est trop épaisse, on rajoute de l’eau bouillant, ou un peu de jus de citron frais, ou du jus du fruit qui compose la confiture.

Si par contre elle est trop liquide, on peut soit rajouter du gélifiant, soit la laisser cuire encore quelques minutes.

Petit conseil pour savoir si votre confiture est prête : vous déposez une cuillère de confiture sur une assiette froide, et si la confiture se fige sans couler, c’est bon !

L’étape la plus délicate reste quand même le remplissage des pots.

Je vous conseillerais de prendre un entonnoir afin de verser la confiture encore bien chaude et ne pas en mettre partout !!!

Ensuite, on visse bien le couvercle, et on va retourner le pot de confiture pendant environ un quart d’heure, afin qu’il n’y ait pas trop d’oxygène dans le pot.

Afin de bien garder la couleur de la confiture, plonger le pot vissé dans l’eau froide juste après l’avoir rempli.

Ensuite, mettre une étiquette sur le pot avec le ou les fruits ainsi que l’année.

Pour une conservation optimale de vos confitures, vous devez les placer dans un endroit frais, sec, et à l’abri du soleil et de la lumière. Si vos confitures prennent la lumière, leur belle couleur risque de passer.

3. La macédoine

  • Eplucher les fruits.
  • Les couper en morceaux.
  • Les mélanger tous ensemble dans un saladier.
  • Dans une casserole, chauffer 200 ml d’eau avec 50 gr de sucre.
  • Lorsque le mélange bout, couper le feu.
  • Rajouter un sachet de sucre vanillé.
  • Verser le mélange sur les fruits dans le saladier.
  • Mettre au réfrigérateur pendant 2 h.

Avec les légumes, nous pouvons faire :

  1. Les réserves au congélateur
  • Laver les légumes.
  • Eplucher certains légumes (carottes, tomates).
  • Les couper en morceaux.
  • Mettre la quantité nécessaire pour la soupe dans des sacs de congélation.
  • Noter sur le sac le légume.

2. De la soupe

Ingrédients (pour 4 personnes)

  • 200 gr de légumes
  • 2 pommes de terre
  • 20 cl de crème liquide entière
  • Sel
  • Poivre
  • 1 cube de bouillon de légumes

Préparation

  • Porter à ébullition le cube de bouillon de légumes.
  • Laver et couper les légumes en morceaux.
  • Plonger les légumes dans le bouillon.
  • Laisser cuire pendant 20 minutes.
  • Ajouter la crème liquide entière.
  • Mixer le tout.
  • Ajouter le sel et le poivre selon votre goût.

Vous pouvez aussi la congeler et la boire en hiver ou quand il fait froid !!!

Vous aurez ainsi de la soupe avec des légumes d’autres saisons.

Que faire au jardin au mois de septembre ?

En septembre, le temps est moins chaud et le jardin revit.

Les fleurs ont le soleil la journée mais la fraîcheur le matin et le soir, le potager produit plein de légumes, le verger, plein de fruits.

C’est donc le mois de la récolte !!!

  1. Pour les fleurs

C’est le mois idéal pour récolter les semences des fleurs annuelles :

  • Les géraniums : Attendre que les piques sèchent, les récolter et faire tomber les graines.
  • Les surfinias : Récolter les capsules séchées au centre des fleurs, ouvrir la capsule et les graines vont tomber.
  • Les bégonias : Récolter le petit sac transparent en forme d’ailes qui se trouve à la place des fleurs, ouvrir le cœur qui contient de minuscules graines (comme de la poussière).
  • Les salvias : Attendre que les fleurs soient bien séchées, ouvrir les calices et les graines vont tomber.
  • Les tagetes : Récolter les fleurs brunies avec la partie du dessous, retirer la partie du dessus et ne garder que la partie du dessous, tirer les graines.
  • Les crêtes de coq : Récolter les fleurs fanées, les secouer et les graines vont tomber.
  • Les rudbeckias : Récolter les fleurs une fois les pétales tombés, frotter le centre noir afin que les graines tombent.
Géraniums
Surfinias
Bégonias
Salvias
Tagetes
Crête de coq
Rudbeckias

2. Pour les arbres et les arbustes d’ornement

  • Supprimer les fleurs fanées des rosiers afin de favoriser une seconde floraison.
  • Tailler les rosiers grimpants et non remontants.
  • Bouturer les rosiers, glycines, forsythias, mahonias.
  • Fin du mois, tailler les haies avant les premières gelées.

3. Pour le potager

  • Récolter les courgettes, concombres, carottes, laitues, tomates, radis.
  • Semer le cerfeuil, les navets, les choux, les épinards, le fenouil, les poireaux.
  • Espacer l’arrosage à un jour sur deux voire sur trois.

4. Pour le verger

  • Récolter les pommes, les poires, les prunes, les pêches, les mirabelles, les raisins, les nectarines, les melons. (De quoi faire nombre de tartes et de confitures variées !!!)
  • Important, ramasser les fruits pourris tombés au pied de l’arbre afin d’éviter que l’arbre ne soit contaminé et produise moins de fruits l’année suivante.
  • Tailler, en les rabattant au sol, les tiges de framboisiers et les groseillers ayant porté des fruits.
  • Espacer l’arrosage à un jour sur deux voire sur trois.

5. Pour la pelouse

  • Si elle a souffert en été, il faut arroser abondamment la pelouse.
  • Reprendre la tonte une fois par semaine et rabaisser la hauteur.
  • Scarifier et apporter un engrais reverdissant anti-mousse.
  • C’est aussi le moment de semer une nouvelle pelouse.