La dépression chez les jeunes

Le quotidien de tous a été bouleversé par la crise du Covid-19…

Et plus particulièrement celui des jeunes.

La dépression ne touche pas que les adultes, en juillet 2020, en pleine crise Covid-19, l’Unicef estimait que plus de 1,5 milliard d’enfants et de jeunes de moins de 18 ans souffraient de dépression dans le monde entier.

Des chercheurs pensent qu’environ 1 enfant et jeune sur 5 traversera une période de dépression avant l’âge de 18 ans. Des études nous indiquent également qu’à un moment donné, entre 4 et 8 enfants et jeunes sur 100 souffrent d’une dépression majeure.

En 2021, les tentatives de suicide des jeunes ont été deux fois plus nombreuses et les demandes aux urgences pédopsychiatriques ont explosé pour les enfants.

  1. Quelles sont les causes de la dépression chez les jeunes ?

Parfois, les parents se sentent coupables d’avoir causé la dépression de leur enfant.

Il n’y a généralement pas une seule cause, mais plutôt une combinaison de différentes choses qui se produisent en même temps :

  • Antécédents familiaux : Si les parents ou d’autres membres de votre famille ont souffert de dépression ou d’autres problèmes émotionnels, il y a plus de chances que votre enfant ou adolescent peut souffrir de dépression.
  • Stress : Les enfants et les jeunes peuvent être très bouleversés par…
    • Conflits entre les parents et les frères et sœurs
    • Parents aux prises avec le stress ou la dépression
    • Séparation ou divorce des parents
    • Intimidation
    • Conflits ou stress avec des amis ou des camarades de classe
    • Pas réussissant à l’école ou sentant trop de pression à faire bien à l’école

Il peut être difficile pour les adultes de voir les choses du point de vue d’un enfant ou d’un adolescent. Des choses qui peuvent ne pas sembler importantes pour un adulte peuvent être accablantes pour un enfant ou un jeune. Et certains enfants sont tout simplement plus sensibles au stress.

2. Quels sont les signes d’une dépression chez les jeunes ?

  • Humeur dépressive ou irritabilité
  • Perte d’intérêt pour les activités auparavant jugées agréables
  • Ennui extrême
  • Dormir plus ou moins que d’habitude
  • Manque d’énergie
  • Perte de l’appétit
  • Isolement et retrait par rapport aux amis
  • Pleurer facilement sans raison apparente
  • Exprimer des idées noires comme le suicide

3. Comment aider un jeune en dépression

  • Faire savoir à votre enfant que vous remarquez qu’il ne va pas bien. « Je remarque que tu sembles différent ces jours-ci », « Tu sembles un peu stressé ces jours-ci », « Tu ne sembles pas toi-même ces jours-ci. »
  • Exprimer votre inquiétude. « Je m’inquiète pour toi. » « J’ai peur qu’il puisse y avoir quelque chose de mal. »
  • Lui offrir votre soutien. « Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour t’aider ? » « Comment puis-je te soutenir ? »
  • S’assurer de parler à votre enfant, mais trouvez des moyens de lui donner des choix. « Nous devons vraiment en parler – Veux-tu en parler maintenant ou plus tard ?, c’est toi qui décides du moment »
  • Passer des moments relaxants avec votre enfant. « Nous devons passer des moments amusants ensemble. J’ai moi-même quelques idées, mais qu’est-ce que tu aimerais faire ? »
  • Aider votre enfant à comprendre le stress auquel il est soumis, puis aider votre enfant à résoudre les problèmes pour gérer ce stress. Si vous avez un adolescent / jeune, il se peut qu’il soit moins ouvert à vos idées. Il pourrait être plus utile de faire précéder la discussion de « J’ai quelques idées sur la gestion du stress qui pourraient t’aider, aimerais-tu les entendre ? » (Exercices de respiration, …).

Vous devez également vous rappeler de prendre soin de vous-mêmes!

Assurez-vous de réserver du temps pour répondre à vos besoins personnels.

Communiquez avec votre propre réseau de soutien d’amis et de collègues.

Si vous vous sentez épuisé, demandez de l’aide à un professionnel (Thérapeute, Psychologue, Médecin traitant, …).

Depuis le début de la pandémie, 76,6% des jeunes âgés de 6 à 18 ans se sentent tristes ou cafardeux, 53,3% n’ont plus goût à rien, 64,2% perdent confiance en eux et 70,2% sont angoissés à l’idée de ne pas réussir dans la vie…

C’est tellement triste de d’entendre des enfants et des jeunes dire des phrases comme cela !!!

Comment faire son pain

Faire son pain son pain est une fameuse économie surtout quand on voit le prix d’un pain aujourd’hui !

Il suffit de 5 ingrédients pour faire un pain avec une mie moelleuse, une croûte dorée et mettre un bon parfum dans toute la maison.

  1. Ingrédients (Pour un pain de 600 gr)
  • 500 gr de farine
  • 5 à 7 gr de levure sèche ou 20 gr de levure fraîche
  • 320 ml d’eau tiède
  • 1 cuillère à café de sel
  • 1 cuillère à soupe d’huile

2. Préparation sans machine à pain

  • Dans un saladier, mélanger la farine, la levure et le sel.
  • Faire un trou au milieu, comme un puits, pour y mettre l’eau et l’huile d’olive.
  • Mélanger le tout de façon à obtenir une pâte sans grumeaux.
  • Dans un moule à cake, mettre du papier sulfurisé pour y placer la pâte à pain dedans.
  • Dessiner des croisillons sur le dessus du pain avec un couteau fin.
  • Placer un torchon humide et propre sur la pâte.
  • Attendre 1h que celle-ci se lève pour se transformer en pain.
  • Faire cuire dans un four à 240°C pendant 45 minutes sans préchauffer le four au préalable.

3. Préparation avec machine à pain

  • Dégager la cuve et mettre le mélangeur dans le fond de la cuve que l’on aura légèrement huilée.
  • Mettre l’eau en 1er avec le sel.
  • Ajouter ensuite la farine et dessus la levure (émiettée si elle est fraiche).
  • Programme pain blanc normal (environ 3 h).

Les avantages de faire son pain soi-même :

  • Vous pouvez ajouter les ingrédients que vous souhaitez (Raisins, chocolats, sucre, …)
  • Il se conserve plus longtemps que le pain acheté en magasin mais entre son odeur gourmande et son goût addictif, il disparaître vite !
  • La fierté de faire son pain.

Vous ne manquerez plus jamais de pain !!!

Comment se sortir du surendettement

Une dépense inattendue, un accident, une séparation…

Il suffit d’un petit rien pour tomber dans la spirale infernale du surendettement.

Ne faites pas l’autruche et n’attendez pas qu’il soit trop tard pour réagir !

Voici quelques conseils pour vous en sortir :

  1. Prévenir votre banque

75% des cas de surendettement sont momentanés et sont dus à un accident de la vie tel qu’une séparation, une perte d’emploi, un décès ou une maladie.

Prenez contact avec votre banque, celle-ci vous aidera à trouver une solution en vous proposant de regrouper plusieurs crédits en un prêt personnel d’un montant supérieur mais avec une durée de remboursement plus longue et une mensualité inférieure, ce qui vous laissera une réserve pour vous permettre de vous en sortir.

2. Appeler vos créanciers

Lorsque votre dette est peu importante et vos créanciers peu nombreux, il est possible de négocier des délais de paiement.

Pour cela, vous devez cependant convaincre vos créanciers de vous faire confiance : vous devez leur présenter un budget de prévision cohérent avec vos revenus.

En d’autres termes, votre ratio d’endettement doit rester « raisonnable ».

Toutefois, si vos créanciers se montrent intraitables, sachez que vous pouvez saisir le juge afin qu’il vous accorde ces délais, et ce sans l’accord de vos créanciers.

Il existe néanmoins 3 exceptions :

  • Si vous devez verser une pension alimentaire à votre ex-conjoint(e), le juge ne peut pas vous accorder de délai.
  • Si vous avez des dettes envers le Service Public Fédéral Finances.
  • Si la somme que vous devez verser est une condamnation pénale.

3. Obtenir un plan de redressement

Lorsque vous ne vous en sortez plus du tout, n’hésitez pas à saisir la commission de surendettement.

Celle-ci constate que le remboursement de vos dettes en plusieurs fois est possible et propose un plan conventionnel de redressement.

En général, ce plan prévoit :

  • Un rééchelonnement du paiement des dettes
  • La réduction, voire la suppression des intérêts 
  • L’octroi de remise de la dette ou d’une partie de celle-ci .

Vous et vos créanciers signataires êtes engagés sur les délais et les conditions de remboursement inscrites dans le plan.

Pour être réaliste, le plan doit laisser à votre disposition un « reste pour vivre » suffisant : environ 600 € par mois pour un célibataire.

4. Déposer un dossier de surendettement

En premier lieu, un médiateur, qu’il soit attaché au CPAS, notaire, avocat ou huissier établira avec vous une liste de vos revenus et de vos dettes.

Si le montant total de vos dettes est tel qu’il vous est impossible de les rembourser, un dossier sera déposé par le médiateur auprès du Tribunal du Travail afin de demander l’aide d’un règlement collectif de dettes.

Ce sera alors le médiateur qui gèrera vos revenus.

Il vous allouera alors un revenu minime, de quoi vivre et utilisera le reste pour rembourser vos créanciers.

Après 7 ans, les dettes impayées sont annulées, cela pour vous permettre de repartir sur de bonnes bases.

Une procédure salvatrice mais aussi inconfortable car pendant 7 ans, vous remettez vos revenus entre les mains du médiateur mais aussi votre vie privée car votre employeur et vos organismes de paiement sont informés de votre situation.

En 2016, 370.000 belges étaient enregistrés comme surendettés, soit 4% de la population.

Et les choses ne vont s’arranger avec le prix de l’énergie, alors réagissez avant qu’il ne soit trop tard !

Comment contrôler son cholestérol pour éviter un infarctus ou un AVC

On sait tous qu’il faut surveiller son cholestérol car un taux trop élevé peut favoriser à long terme le risque d’infarctus ou d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral).

Qu’est-ce qu’un infarctus ?

Selon le dictionnaire Robert, « Un infarctus est la destruction partielle du muscle cardiaque, due à l’obstruction d’une artère qui alimente le cœur en sang, et donc en oxygène ».

Qu’est-ce qu’un AVC ?

L’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) se produit lorsque la circulation sanguine est stoppée brutalement au niveau du cerveau. Cela peut être dû à un caillot de sang ou à une hémorragie.

Qu’est-ce que le cholestérol ?

Le cholestérol est un lipide (corps gras) qui, en excès, se dépose sur la paroi des artères.

  1. A quoi sert le cholestérol ?

Produit par le foie, le cholestérol fait partie des lipides qui intervient dans la fabrication des hormones et notamment dans les hormones sexuelles et de reproduction.

Il est aussi nécessaire à la production de vitamine D.

Enfin, il est transformé par le foie en acides biliaires, ce qui aident les intestins à bien digérer.

2. Le « Bon » et le « Mauvais » cholestérol

On peut distinguer le bon cholestérol du mauvais cholestérol.

Il s’agit en réalité de deux familles de protéines qui le composent : 

  • Les HDL (High Density Lipoprotein) ou lipoprotéines à haute densité, elles ont pour rôle de capter les molécules de cholestérol qui se déposent dans les artères, puis de les transporter vers le foie. Ensuite, ce dernier se charge de les éliminer par le tube digestif grâce à la bile, c’est le bon cholestérol.
  • Les LDL (Low Density Lipoprotein) ou lipoprotéines à faible densité, elles déposent le cholestérol sur les parois des artères, ce qui occasionne des plaques de graisse appelées plaques d’athérome, c’est le mauvais cholestérol.

Selon les laboratoires, les valeurs usuelles diffèrent mais, en moyenne, il faut des taux à : 

  • Cholestérol HDL : supérieur à 0,4 g/L soit supérieur à 1 mmol/L.
  • Cholestérol LDL : inférieur à 1,6 g/L soit inférieur à 4,1 mmol/L.

Seul une prise de sang peut vous dire quel est votre taux de cholestérol…

3. Comment réduire le taux de cholestérol ?

Voici quelques mesures à prendre pour réduire le taux de cholestérol :

  • Augmenter la quantité de fibres dans l’alimentation :  Lors de la digestion, les fibres se lient au cholestérol dans l’intestin et limitent son absorption (pois chiches, lentilles, pâtes, riz, pain complet, …)
  • Augmenter la consommation d’aliments contenant des oméga-3, des anti-oxydants : Manger plus de poisson (2 à 3 fois par semaine) tels que les sardines, les maquereaux, du thon (1 fois par semaine), du saumon (1 fois par mois).
  • Éviter certains aliments riches en graisses saturées et en acide gras trans : On trouve les gras trans dans les plats préparés, les confiseries, les biscuits, les viennoiseries, les pâtes à tarte, les pâtes à tartiner, les chocolats commerciaux, les pâtisseries commerciales, les croustilles, les craquelins, les céréales, les barres granolas, le beurre d’arachide (non naturel), la margarine.
  • Utiliser des méthodes de cuisson à faible teneur en matières grasses :  Cuisiner avec des huiles végétales de type olive, colza, noix. Cuire ses légumes vapeur de préférence, ce qui diminue la consommation de matières grasses.
  • Avoir une activité physique régulière : Faire du sport augmente le « bon » cholestérol car cela diminue la graisse abdominale. La bonne dose est de faire 2h30 de sport par semaine (30 minutes de marche 5 fois semaine OU 45 minutes de zumba, 45 minutes de rameur et 1 heure de vélo OU 1 heure de natation, 1 heure de marche et 30 minutes de rameur).
  • Perdre du poids en cas de surcharge pondérale : Perdre 5% de son poids entraîne une baisse d’environ 10% de son taux de cholestérol dans les 2 mois qui suivent.
  • Ne pas fumer : Fumer provoque l’inflammation des vaisseaux sanguins, phénomène qui provoque également la formation de caillots et diminue le taux de bon cholestérol, ce qui est un facteur de risque à long terme pour le système cardiovasculaire. 
  • Réduire ou arrêter sa consommation d’alcool : L’alcool augmente le taux de cholestérol HDL dans le sang.
  • Limiter le stress : Anormalement élevé en cas de stress, le cortisol, une hormone, a un effet direct sur l’assimilation des graisses et des sucres et donc augmente le taux de « mauvais » cholestérol.

Prenez soin de vous car avoir une bonne santé est très important !

Quiche végétarienne

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 1 pâte feuilletée
  • 400 gr d’épinards hachés
  • 2 oignons
  • 2 gousses d’ail
  • 400 gr de brocoli
  • 1 kg de tofu égoutté
  • 500 gr de tomate cerise
  • 2 cuillères à soupe de curcuma
  • 4 cuillères à soupe de moutarde
  • le jus d’un citron
  • Huile, poivre et sel

2. Préparation

  • Couper les gousses d’ail et les oignons en dés.
  • Dans une poêle, les faire cuire dans de l’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
  • Ajouter le brocoli.
  • Mixer le tofu, le curcuma, la moutarde et le jus de citron jusqu’à obtenir une texture lisse.
  • Incorporer ensuite l’ail, l’oignon, le brocoli et les épinards, saler et poivrer.
  • Etaler la pâte feuilletée au fond d’un moule et y piquer des trous à l’aide d’une fourchette.
  • Répartir uniformément le mélange.
  • Couper les tomates cerises en deux et les placer sur la quiche.
  • Faire cuire pendant 50 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6).

Vous pouvez la saupoudre d’amandes effilées…

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 50 minutes
  • Budget : Pas cher

Quelle que soit la saison, il existe forcément une quiche aux légumes pour se régaler !

Bon appétit !

Où partir durant les vacances de carnaval ?

Dans un peu plus d’un mois débuteront les vacances de carnaval et vous vous demandez où vous pourriez partir quelques jours en famille; surtout que depuis cette année, vos enfants ont 2 semaines de congé !

Vous êtes tentée par un séjour à la neige ?

Alors voici quelques idées :

  1. Si vous avez un petit budget

Les séjours à la neige ne sont pas particulièrement économique mais voici quelques conseils pour faire diminuer les coûts :

  • Allez sur le site google et inscrivez « réserver des vacances à la neige pas cher », vous aurez alors tout des sites qui vous permettront de comparer les prix (booking.com, sunweb.be, holidu.be, …).
  • Réservez votre matériel avant votre départ permet de faire une économie moyenne de 20% dans la plupart des stations françaises.
  • Privilégiez la France et plus particulièrement les stations du Grand Massif (Flaine, Les Carroz d’Arâches, Morillon, Samoëns 1600 et Sixt-Fer-à-Cheval) où les enfants de moins de 8 ans et les personnes âgées de plus de 75 ans ne paient rien, c’est gratuit pour eux.

2. Si vous voulez limiter votre impact environnemental

Vous adorez la montagne et vous avez bien compris qu’il fallait la préserver alors voici quelques conseils pour limiter votre impact environnemental :

  • Repérez les stations françaises avec le flocon vert car elles sont dans une démarche positive pour l’environnement (Les Belleville, Le Grand Bornand, Tignes, Val d’Isère, Saint-François Longchamp).
  • Privilégiez le train pour arriver sur votre lieu de vacances, cela diminue le bilan carbone des stations. Les stations françaises sont bien desservies (Chambéry, Albertville, Courchevel, Val Thorens).
  • Si vous souhaitez partir dans les alpes autrichiennes, vous pouvez prendre un train de nuit « Ski Express » proposé par Tui mais pour l’instant, le départ se fait uniquement des Pays-Bas.

3. Si vous voulez de la nouveauté

Vous voulez dormir dans des endroits hors du commun après votre journée sur les pistes ou avoir des activités qui changent du ski alors voici quelques conseils pour vous :

  • Si vous souhaitez dormir dans un igloo, cela est possible en Savoie à Arêches-Beaufort et avec le confort d’un vrai matelas !
  • Si au contraire, vous souhaitez dormir dans une cabane dans les arbres, cela est possible mais uniquement à Valmorel en Savoie. Vous dormirez dans une cabane à 4 m du sol juste à côté des pistes de ski.
  • Si vous souhaitez faire une ballade en chiens de traîneau, cela est possible à Oz-en-Oisans et Auris-en-Oisans en Isère. Un traîneau a été spécialement conçu pour les enfants de 3 à 8 ans.
  • Si vous souhaitez faire de la plongée sous glace aux flambeaux, c’est unique au monde, vous devez alors absolument aller aux Menuires en Savoie, cela se trouve dans le domaine des trois vallées.
  • Si vous aimez les sensations fortes, alors ceci est pour vous. Vous êtes assise avec deux autres personnes sur une maxi balançoire, on vous monte à 16 m de haut et vous êtes balancé à 20 km/h face au Mont-Blanc. Cela se passe à Megève dans les Alpes.

4. Si vous voulez relever des défis sportifs

Vous voulez partir à la montagne pour vous lancer des challenges et transpirer alors voici quelques idées de ce qu’il vous faut :

  • Si vous souhaitez faire du ski de randonnée et dormir dans un refuge, cela vous est proposé à Pralognan-la-Vanoise en Savoie ou dans la vallée d’Aure en Pyrénées où vous dormirez au cœur de la réserve de Néouvielle.
  • Si vous souhaitez faire du ski de fond avec tir à la carabine, vous pouvez faire un stage de 5 après-midis dans la station des Saisies en Savoie et les 2 meilleurs temps de la saison hivernale remportent un coaching avec une des deux championnes olympiques françaises Justine Braisaz-Bouchet et Julia Simon !
  • Si vous souhaitez faire du freestyle car les pistes de ski traditionnelles vous agacent, alors vous devez tester les zones spécialement aménagées avec des bosses, des rails et autres, vous pouvez aller dans le Vars Park dans les Alpes où vous pourrez faire des figures acrobatiques, …

5. Si vous souhaitez faire des pauses bien-être

Vous aimez la neige mais vous voulez aussi vous relaxer dans un spa, en ayant des massages, des séances de relaxation, … alors voici quelques endroits spécialement pour vous :

  • Si vous souhaitez une initiation à la sophrologie et vous reconnecter à la nature, cela est possible à Valloire en Savoie. Prix pour une séance de 2h : 50 € pour une séance individuelle ou 20 € pour une séance collective.
  • Si vous souhaitez des séances de yoga des neiges, cela est possible au Jardin Samivel (Les Contamines) en Savoie où vous pourrez faire des exercices de respiration pour faire le plein d’air des montagnes. Prix par séance : 10 € en collectif.
  • Si vous souhaitez aller au Spa, cela est possible à La Léchère-les-Bains en Savoie. Pour 45 €, vous avez un bel espace, une large offre de soins et un bassin extérieur avec vue sur les paysages hivernaux.

Quoi que vous choisissiez, le but est que vous passiez de bonnes vacances !

Ravioles à la betterave et chèvre

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 225 gr de farine
  • 90 gr de semoule de ble
  • 90 gr de purée de betteraves
  • 2 œufs
  • 3 jaunes d’oeufs
  • 150 gr de fromage de chèvre
  • 150 gr de mascarpone
  • 60 gr de noix concassées
  • 2 cuillères à café de beurre
  • 150 gr de pignon de pin
  • 200 gr de lamelles de parmesan
  • Quelques feuilles de basilic

2. Préparation

  • Dans un saladier, mélanger la farine et la semoule de blé.
  • Faire un puits au centre et ajouter la purée de betteraves, les œufs et les jaunes d’œufs.
  • Mélanger du centre vers le bord du saladier en versant doucement la farine.
  • Travailler ensuite la pâte à la main afin d’obtenir une pâte homogène.
  • Faire une boule et l’emballer dans du cellophane.
  • Laisser reposer pendant 40 minutes.
  • Dans un bol, mélanger le fromage de chèvre, le mascarpone et les noix, sel et poivre.
  • Couper la boule de pâte en deux portions égales.
  • Etaler finement les deux pâtes à l’aide d’un rouleau à pâtisserie.
  • Placer de grosses boules de farce sur l’une des pâtes à distance égale.
  • Couvrir ensuite avec la seconde et bien les souder en pressant pour que cela tienne.
  • Former les ravioles à l’aide d’un emporte-pièce.
  • Faire cuire les ravioles dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 5 minutes.
  • Enfin, les faire dorer dans une poêle avec un peu de beurre pendant 2 minutes.

Petit conseil de présentation : Dans une assiette, mettre les ravioles, parsemer de pignons de pin, de lamelles de parmesan et quelques feuilles de basilic.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 1 heure
  • Cuisson : 6 minutes
  • Repos : 40 minutes
  • Budget : Moyen

Une petite recette délicieuse et facile à réaliser !

Bon appétit !

Comment se préparer à un entretien d’embauche

L’entretien d’embauche est une étape importante pour obtenir un travail…

Voici 10 conseils pour bien s’y préparer :

  1. Connaître tous les détails

Avant l’entretien d’embauche, il est important de connaître la date, l’heure exacte mais aussi le nom du recruteur afin d’éviter des « J’ai rendez-vous mais je ne sais pas avec qui » lors de votre arrivée.

2. Planifier son trajet

Il est primordial d’arriver un peu à l’avance à un entretien d’embauche.

Faites votre trajet à l’avance pour savoir combien de temps vous allez mettre pour y aller et prévoyez large car vous n’êtes pas à l’abri d’un embouteillage.

Il vaut mieux arriver 5 minutes en avance que 10 secondes en retard, retenez bien cela.

La ponctualité est une chose très importante pour le recruteur car cela montre que vous êtes quelqu’un de responsable.

3. Faire des recherches sur la société

Avant de vous rendre à un entretien d’embauche, renseignez-vous sur ce que fait la société et sur le poste auquel vous postulez.

Vous trouverez toutes ces informations sur internet.

4. Bien lire l’offre d’emploi

Il est important de bien lire l’offre d’emploi afin de savoir ce qu’on attend de vous dans cette société.

Vous pourrez ainsi réfléchir à tous les plus que vous pourrez apporter à cette société grâce à votre expérience et à tous les challenges que vous pourriez réussir pour acquérir encore plus d’expériences.

Ce seront des arguments à utiliser lors de votre entretien d’embauche auprès du recruteur.

5. Porter une tenue correcte

Ne jamais aller à un entretien d’embauche en jeans, en t-shirt et en baskets.

Privilégiez un costume pour les hommes et un tailleur pour les femmes.

Pour les hommes, rasez-vous et veillez à ce que vos cheveux soient bien peignés.

Pour les femmes, veillez à ce que votre maquillage soit léger.

Toujours garder en tête que vous allez représenter l’image de la société et donc venir avec des chaussures sales, des cheveux gras, en jeans troués, … ne vous servira pas à obtenir le travail !!!

6. Connaître votre CV par coeur

Connaître les dates de votre CV montre à votre recruteur que celles-ci sont véridiques et peuvent être vérifiées.

De même, n’hésitez pas à donner à votre recruteur le nom de la personne chez qui il peut se renseigner sur vous, cela lui montrera que vous n’avez pas été viré pour fautes graves à votre précédent emploi et sera une marque de sérieux.

7. Faire attention à votre langage corporel

Dès votre arrivée, soyez souriant(e), cela montrera que vous êtes une personne qui avez confiance en vous.

Une bonne poignée de main est un bon début.

Il est aussi important de maintenir un contact visuel avec votre recruteur et de regarder celui-ci vous parle.

Tout le monde connaît probablement ce sentiment désagréable d’être dévisagé mais à l’inverse, ne capter que trop rarement le regard de l’autre est tout aussi déconcertant.

Il est donc important de trouver le juste milieu pour un bon entretien d’embauche !

8. Maintenir une distance raisonnable

Il est désagréable pour vous ou votre recruteur de voir quelqu’un s’approcher trop près de soi.

Mais à l’inverse, une distance trop importante crée un sentiment d’étrangeté.

Pour votre recruteur, il aura l’impression que vous n’êtes pas vraiment dans votre entretien d’embauche et que vous êtes venu parce qu’il le fallait bien.

Pour vous, vous aurez l’impression que tout est perdu d’avance et que le poste ne sera pas pour vous.

9. Terminer l’entretien convenablement

Afin de bien terminer votre entretien d’embauche, préparez à l’avance vos questions à poser à votre recruteur mais attention, ne posez jamais de questions sur votre rémunération car cela signifierait que l’argent est votre seule motivation !

Plus vous poserez de questions, plus vous plairez à votre recruteur mais attention à ne pas lui couper constamment la parole car cela lui sera déplaisant.

10. Préparer les réponses aux questions fréquentes

Voici quelques une liste de questions fréquentes des recruteurs :

  • Que pouvez-vous apporter à notre société ?
  • Quels sont vos points forts ?
  • Pourquoi êtes-vous intéressé(e) par notre société ?
  • Qu’avez-vous de plus que les autres candidats ?
  • Pourquoi avez-vous quitté votre emploi précédent ?
  • Cela fait 6 mois que vous cherchez, comment se fait-il que vous n’ayez pas pas encore trouvé ?
  • Combien voulez-vous gagner ?

Attention, cette dernière question est une question piège.

Ne donnez pas un chiffre trop rapidement de peur de paraître trop ambitieux…

La meilleure réponse à donner à cette question est de dire selon les barèmes car pour vous, le plus important est de vous épanouir dans votre travail et d’avoir des possibilités d’évolution.

Le recruteur appréciera votre réponse !

Avec tous ces conseils, votre entretien d’embauche ne peut que bien se passer !!!

Comment annoncer à ses proches qu’on a un cancer

Annoncer son cancer à ses proches est un moment délicat !

Une fois que le diagnostic est établi et accepté par vous, il est important de l’annoncer à ses proches, vous vous sentirez moins seule et épaulée dans le chemin de la guérison.

Un moment qui va être forcément fort en émotions !

  1. A son conjoint

Avant d’annoncer à votre conjoint que vous avez un cancer, préparez-vous à ce que vous allez lui dire et comment…

Expliquez-lui que ce que vous allez traverser, que ce soient comme traitement, comme changements dans votre vie mais que vous y allez y arriver parce que vous êtes tous les deux.

Laissez votre conjoint assimiler les informations que vous venez de lui donner.

S’il a des questions, proposez-lui d’aller voir le médecin ensemble afin que celui-ci réponde à toutes ses questions.

2. A ses enfants

Vous avez peur d’annoncer à vos enfants que vous avez un cancer car vous voulez les protéger ?

Sachez que vos enfants, quel que soit leur âge, sentiront que quelque chose ne va pas chez vous.

Si vous ne leur dites rien ils pourront s’imaginer le pire, mieux vaut leur dire la vérité, avec des mots simples.

Si ils sont petits, demandez à vos enfants s’ils savent ce que c’est que le cancer et expliquez leur qu’on a découvert chez papa / maman une boule et qu’il faut qu’on enlève cette boule pour que papa / maman guérisse, qu’il y aura aussi un traitement à suivre. Dites leur bien que le cancer n’est pas contagieux et que ce n’est pas parce que papa/maman a un cancer que eux en ont un aussi…

Rassurez-les mais sans minimiser votre situation et les changements que cela va engendrer sur votre vie (la perte de cheveux, fatigue,…).

Rappelez-vous que pour s’épanouir et grandir, vos enfants s’appuient sur vous, qu’un lien de confiance s’instaure entre vous dès leur naissance. En se taisant ou en leur mentant pour les protéger vous risquez d’abîmer ce lien de confiance si précieux.

De plus, votre enfant risque de penser qu’on ne lui dit rien parce qu’il ne peut pas comprendre ou parce qu’on ne peut pas lui faire confiance. Il peut alors perdre confiance en lui.

3. A ses parents et ses beaux-parents

Comme pour vos enfants, si vous ne dites pas à vos parents que vous souffrez d’un cancer, ceux-ci vont se poser plein de questions.

En effet, vous ne pourrez pas cacher très longtemps les traces de votre traitement (fatigue, perte de cheveux,…).

Mieux vaut toujours leur dire la vérité !

Rassemblez pour parents et vos beaux-parents et dites-leur que vous avez quelque chose d’important à leur annoncer.

Quand ils sont tous là, expliquez leur que vous avez été faire des examens médicaux et qu’on vous a décelé une boule et que vous allez être traitée pour faire partir cette boule.

Cela va être un choc pour eux car étant adultes, ils savent ce que cela signifie que vous avez un cancer.

Lorsqu’ils auront cette information, alors vous pouvez commencer à leur parler de cancer mais surtout ménagez les et ne leur annoncez pas de but en blanc que vous avez un cancer sans les avoir préparé au préalable.

Demandez-leur de ne pas pleurer et rassurez-les en leur disant que vous les tiendrez au courant de tout ce que vous subirez comme traitement.

Dites-leur que vous aimeriez qu’ils soient impliqués dans votre chemin de guérison en s’occupant de vos enfants (s’ils sont petits) pendant vos séances de chimiothérapie.

Faites aussi une tournante pour vous accompagner lors de vos séances (une fois votre conjoint, une fois votre maman, une fois votre belle-mère), cela les aidera à accepter votre maladie.

En effet, vos parents auront peur de vous perdre car pour beaucoup de personnes plus âgées, avoir un cancer signifie mourir et dans la logique, ce ne sont pas les parents qui enterrent leurs enfants !

Pareil pour vos beaux-parents…

Rappelons qu’il est important d’être bien entouré pour guérir !

4. A ses frères, sœurs, beaux-frères, belles-sœurs

Comme pour l’annoncer à vos parents, réunissez tous vos frères, sœurs, beaux-frères et belles-sœurs en une seule fois afin d’éviter d’avoir de la jalousie du style « Pourquoi je suis la dernière à le savoir, … ».

Utilisez les mêmes termes que ceux utilisés pour l’annoncer à vos parents et à vos beaux-parents.

Rassurez-les et laissez-vous même aller à quelques blagues en leur disant qu’ils ne se débarrasseront pas de vous de sitôt, cela détendra l’atmosphère !

Demandez-leur d’épauler vos parents et vos beaux-parents avec vos enfants.

5. A vos amis

S’il s’agit d’amis proches avec qui vous partagez vos joies comme vos peines, devez leur parler de votre cancer pour obtenir leur compréhension et leur assistance.

Si vos amis n’ont pas conscience de ce que vous traversez, ils ne comprendront en effet pas votre attitude et s’éloigneront de vous.

De plus, il est important de déterminer ceux sur qui vous pouvez compter pour éviter les déceptions durant votre maladie.

6. A votre employeur et à vos collègues

Il est très important de parler de votre cancer à votre employeur avant d’en parler à vos collègues.

Il est préférable d’être clair et précis en évitant le plus possible la sensiblerie.

Le but est d’obtenir sa compréhension, pas sa sollicitude ni sa pitié.

Il faut expliquer votre maladie en mettant l’accent sur les traitements à venir.

Votre patron doit connaître leur durée pour pouvoir pallier vos absences professionnelles. Si nécessaire, il ne faut pas hésiter à demander un réaménagement horaire.

Quant à vos collègues, il n’est pas nécessaire de vous épancher longuement, à moins qu’ils soient des amis.

Le mieux est de dire simplement que vous êtes malade pour justifier vos absences.

Dans tous les cas, une fois le cancer annoncé, il faut continuer à vivre et ne pas s’apitoyer sur son sort car cela n’aidera pas la guérison !

Le Waterzooi

Le waterzooi est une soupe – repas originaire de Gand à base de poulet ou de poisson…

C’est un plat consommé essentiellement en période hivernale.

  1. Le waterzooi de poulet

Ingrédients (Pour 6 personnes)

  • 6 blancs de poulet
  • 5 carottes
  • 5 céleris
  • 2 poireaux
  • 2 cubes de bouillon de poule
  • 20 cl de crème entière
  • 30 gr de beurre
  • 45 gr de farine
  • 2 cuillères à soupe de cerfeuil haché
  • 2 cuillères à soupe de persil haché
  • Sel, poivre, noix de muscade

Préparation

  • Couper les blancs de poulet en dés.
  • Couper en julienne les céleris, les poireaux et les carottes.
  • Cuire les légumes 10 minutes dans une noix de beurre mais sans les laisser brunir.
  • Ajouter ensuite les cubes de bouillon de poule et 1 litre d’eau et assaisonner.
  • Ajouter les dés de poulet et laisser cuire à feu doux pendant 20 minutes.
  • Retirer le poulet et les légumes et les réserver dans un fond de bouillon.
  • Dans une casserole, faire fondre le beurre et y mélanger la farine pour obtenir une pâte légèrement jaune.
  • Ajouter cette pâte au bouillon et laisser cuire 10 minutes à feu doux.
  • Dresser les morceaux de poulet dans une assiette profonde à soupe.
  • Incorporer la crème fraîche dans le bouillon.
  • Égoutter la julienne de légumes et l’ajouter à la sauce.
  • Verser cette préparation sur le poulet et saupoudrer le tout de persil et de cerfeuil finement hachés avant de servir.

Infos pratiques

Difficulté : Facile, Préparation : 1h15 minutes, Cuisson : 40 minutes, Budget : Pas cher.

2. Le waterzooi de poisson

Ingrédients (Pour 6 personnes)

  • 750 gr de moules
  • 6 filets de soles
  • 375 gr de filets de lottes
  • 375 gr de filets de barbues
  • 375 gr de filets de Saint-Pierre
  • 300 gr de crevettes grises
  • 3 carottes
  • 2 céleris
  • 2 poireaux
  • 2 dl de fumet de poisson
  • 20 cl de crème entière
  • 375 gr de beurre
  • 300 gr d’oignons
  • 2 cuillères à soupe de cerfeuil haché
  • 3 jaunes d’œufs
  • Sel, poivre

Préparation

  • Cuire les moules façon « marinière » (nature).
  • Filtrer le jus de cuisson et retirer les moules des coquilles.
  • Peler, laver et tailler en julienne les carottes, les blancs de poireau et le céleri blanc.
  • Dans une casserole, faire cuire cette julienne avec un peu de beurre et assaisonner de sel et de poivre.
  • Mouiller d’un peu de jus de cuisson des moules et d’un peu de fumet de poisson.
  • Après 20 minutes de cuisson, déposer sur la julienne de légumes, la lotte, les barbues, les soles et les Saint-Pierre et assaisonnez de sel et de poivre.
  • Mouiller à nouveau à hauteur avec du jus de moules et du fumet de poisson.
  • Laisser cuire 10 minutes.
  • Dresser les poissons directement sur assiettes creuses à soupe.
  • Ajouter les moules bien chaudes et quelques crevettes grises.
  • Finir la sauce en ajoutant au jus de cuisson le 1/2 l de crème fraîche et les deux jaunes d’œufs.
  • Fouetter vivement et verser sur les poissons dressés.
  • Parsemer de cerfeuil haché.

Infos pratiques

Difficulté : Facile, Préparation : 45 minutes, Cuisson : 30 minutes, Budget : Cher.

Bon appétit !!!