Recette – Sauce bolognaise

Pour réussir à faire manger des légumes aux enfants, quoi de mieux que préparer des spaghettis sauce bolognaise.

Voici ma recette de sauce bolognaise pour 8 personnes :

Versez 4 cuillères à soupe d’huile dans un wok ou une casserole ou une sauteuse.

Faites cuire 1 kg de haché préparé en remuant souvent jusqu’à ce que la viande soit cuite.

Epluchez 4 carottes et coupez-les en lamelles de 5 mm, ensuite ajoutez-les dans le wok, la casserole ou la sauteuse.

Coupez 500 gr de champignons de Paris en lamelles de 5 mm, ensuite ajoutez-les dans le wok, la casserole ou la sauteuse.

Epluchez 2 oignons et hachez-les grossièrement, ensuite ajoutez-les dans le wok, la casserole ou la sauteuse.

Epluchez 2 gousses d’ail et hachez-les grossièrement, ensuite ajoutez-les dans le wok, la casserole ou la sauteuse. Vous pouvez aussi mettre 2 cuillères à soupe d’ail en poudre si vous n’avez pas de gousses d’ail.

Ajoutez un cube de bouillon de bœuf dans le wok, la casserole ou la sauteuse.

Ajoutez un cube de bouillon de légumes dans le wok, la casserole ou la sauteuse.

Ajoutez dans le wok, la casserole ou la sauteuse, 3 boites de tomates pelées découpées en dés.

Ajoutez dans le wok, la casserole ou la sauteuse, 1 petite boite de concentré de tomates.

Bien mélanger le tout et laissez mijoter pendant 1h30.

Une recette appréciée par les petits et les grands, facile à faire et bon marché !!!

Bon appétit !

La violence physique

La violence physique est un acte avec pour intention ou conséquence la douleur et/ou une blessure physique.

Elles peuvent intervenir de façon régulière, ponctuelle ou de manière exceptionnelle.

  1. Exemple de violences physiques
  • Bousculer, pincer son conjoint, donner des coups de poing,
  • Donner des coups de pied, gifler, étrangler, tordre le bras,
  • Brûler avec une cigarette ou autres, frapper, mordre,
  • Jeter quelqu’un contre un mur, blesser quelqu’un avec une arme,

2. Que faire en cas de violences physiques

  • Parler à quelqu’un en qui vous avez confiance (famille, amis),
  • Parler à quelqu’un d’une association spécialisée dans les violences,
  • Consulter un médecin et demander un certificat médical (il sera la preuve des lésions subies et d’une incapacité de travail possible),
  • Déposer plainte à la police, quitter le domicile conjugal,
  • Demander à votre conjoint de quitter le domicile conjugal.

3. Les 4 cycles de la violence physique

  • La tension : Le conjoint se montre impatient, nerveux, irritable, de mauvaise humeur, silencieux, a des gestes brusques, un regard noir, boude.

Votre sentiment en tant que victime : « J’ai peur de faire une erreur», « Je marche sur des œufs pour ne pas l’énerver plus », « Il va se passer quelque chose », « Je me sens mal à l’aise ».

  • L’explosion : Le conjoint se montre violent physiquement (Voir les exemples ci-dessus).

Votre sentiment en tant que victime : « J’ai honte », « Je suis en colère », « Je ressens de l’humiliation », « Je suis triste ».

  • La justification : Le conjoint se justifie et rejette la faute sur la victime, minimise ce qu’il a fait ou nie ce qui s’est passé, trouve des justifications extérieures (problèmes au travail, fatigue, …).

Votre sentiment en tant que victime : « Je me sens coupable et ma colère disparait », « Je comprends ses excuses », « En modifiant mon propre comportement, cela n’arrivera plus ».

  • La lune de miel : Le conjoint violent regrette, promet de ne plus recommencer, souhaite oublier l’incident, est aux petits soins, fait tout pour se faire pardonner (Cadeaux, fleurs, bijoux, …)

Votre sentiment en tant que victime : « Je lui donne une seconde chance », « Je dois l’aider à changer », « Je crois en ses promesses ».

4. Qui appeler pour avoir de l’aide ?

  • La ligne Ecoute Violences Conjugales au 0800/30.030
  • Le 101 pour une intervention de la police
  • Le 112 pour une urgence médicale
  • Violences Pluri’Elles au 010/39.50.85
  • Le 107 pour parler à quelqu’un tout en gardant l’anonymat

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« Nous ne devons pas laisser notre protestation créatrice dégénérer en violence physique. »

(Martin Luther King)

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